Puget-Théniers, le 10 novembre 2014
Poème « Par la puissance de Saint-Michel »
Cessez angoisses mortelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez peines perpétuelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez larmes continuelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez réclusions éternelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez pathologies nouvelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez fausses hirondelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez cruelles coccinelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez immondes ritournelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez persécutions pestilentielles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez paroles pleines de fiel, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez pensées infidèles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez doutes démentiels, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez tentations torrentielles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez paradis artificiels, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez illusions et faux ciels, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez calomnies criminelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez accusations irrationnelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez insensés sensationnels, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez dépressions résiduelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez Gargantua et Pantagruel, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez encenseurs d’Azazel, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez Asmodées qui ensorcellent, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez mauvais sorts habituels, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez châtiments occasionnels, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez plaies sempiternelles, par la puissance de Saint-Michel !
Cessez solitudes officielles, par la puissance de Saint-Michel !
Par le Saint Nom de Jésus, Notre Seigneur Immortel,
Le Grand Prêtre Éternel, le Rédempteur providentiel ;
Par le Cœur Immaculé de Marie et Sa Tendresse Maternelle,
Qui écrase la tête de satan et nous revêt d’une aube nouvelle,
Que tristesses et tourments disparaissent aux pieds de l’autel !