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  • : In hoc signo vinces. Parousie by ROBLES Patrick
  • : Blog Parousie de Patrick ROBLES (Montbéliard, Franche-Comté, France)
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  • Patrick ROBLES
  • Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)
  • Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)

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12 août 2008 2 12 /08 /août /2008 19:22

 

 


Les invocations de ce chapelet ont été révélées par Notre Seigneur Jésus Christ à Soeur Amalia, l'une des huit fondatrices de l'Institut missionnaire du Divin Crucifié, à Bahia, au Brésil (le 8 novembre 1929).
Paroles de Notre Seigneur Jésus-Christ à Soeur Amalia : "Ma fille, tout ce que les hommes Me demandent, eu égard aux Larmes de Ma Mère, Je suis obligé de le leur accorder de la façon la plus aimable. Ma Mère donnera plus tard ce trésor à votre Institut, comme un aimant de Miséricorde."
La Mère de Dieu remit ce chapelet à Soeur Amalia, le 8 Mars 1930. Les grains de ce chapelet, qui avaient la blancheur de la neige, brillaient comme des soleils.
Paroles de la Mère de Dieu : "Voici le Chapelet de mes Larmes. Mon Fils vous en a déjà révélé les invocations. Il veut qu'on m'honore d'une façon particulière par cette prière, et il accordera volontiers, au nom de mes Larmes, de grandes grâces. Ce chapelet servira pour la conversion de beaucoup de pécheurs... Le diable sera vaincu par ce chapelet et son empire infernal détruit."
Prières et dévotions

 

 

 

 

Chapelet des Larmes de la Très Sainte-Vierge

 

 

 

A la place du : "Je crois en Dieu" : "Ô Jésus, notre Divin Sauveur Crucifié ! Prosternés à Vos pieds, nous Vous offrons les Larmes de Celle qui Vous a accompagné durant Votre Chemin de Croix si douloureux, avec un Amour si ardent et si compatissant. Exaucez, Ô Bon Maître, nos supplications et nos demandes, par amour pour les Larmes de Votre Très Sainte Mère. Accordez-nous la grâce de comprendre les enseignements douloureux que nous donnent les Larmes de cette bonne Mère, afin que, accomplissant toujours sur terre Votre Sainte Volonté, nous soyons jugés dignes de Vous louer et de Vous glorifier éternellement dans le Ciel. Ainsi soit-il."

Sur les gros grains :
V. - "Ô Jésus ! Prenez en considération les Larmes de Celle qui Vous a aimé le plus sur terre."
R. - "Et qui Vous aime le plus ardemment au Ciel."

Sur les petits grains :
V. - "Ô Jésus ! Exaucez nos supplications et nos demandes."
R. - "Par amour pour les Larmes de Votre Sainte Mère."

Sur les 3 petits grains qui suivent la médaille :
"Ô Jésus ! Prenez en considération... " (c'est-à-dire l'invocation comme sur les gros grains.)

A la fin du chapelet, dire la prière suivante :
"Ô Marie ! Mère du bel Amour, Mère de douleur et Mère de toute Miséricorde ! Nous Vous demandons d'unir nos supplications aux Vôtres, afin que Votre Divin Fils, auquel nous nous adressons avec confiance en vertu de Vos larmes, exauce nos supplications et nous accorde, en plus des grâces que nous Lui demandons, la couronne de gloire durant l'éternité. Ainsi soit-il."

 

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En Guadeloupe, la Sainte-Vierge a fait une apparition le 9 mai 1977 et une autre le 3 juin de la même année .
Un oratoire a été construit sur la berge opposée à la route, avec une avancée dans la rivière. Une inscription est portée sur l'édifice :
"Ici la vierge Marie est apparue. Tous ceux qui viendront ici avec beaucoup de foi et de confiance sans curiosité recevront des grâces et ici il y aura beaucoup de miracles"


 

 

 

 

 

 

 

 

Sanctuaire Notre-Dame des Larmes
Guadeloupe

 







 
La Vierge Marie est apparue à plusieurs reprises à quatre jeunes femmes en Martinique, le 26 décembre 1892. Ce miracle, authentifié et validé par les autorités religieuses de l'époque, a fait l'objet d'un minutieux rapport rédigé par un prêtre qui procéda à un interrogatoire serré des témoins de ces événements. Ce fut une longue et difficile bataille pour faire reconnaître ces apparitions, dans un contexte difficile marqué par l'éruption de la montagne Pelée qui fit trente mille morts et détruisit jusqu'aux archives de l'évêché relatives à ces faits.


Notre-Dame de la Délivrande
Martinique


 
S'il est une commune de Martinique où le phénomène religieux revêt une certaine importance, c'est bien la commune du Morne rouge. En effet, l'Eglise Notre-Dame de la Délivrande occupe une place particulière à la Martinique. Créée en 1851 par le Père Le Heurpeur, nouvellement nommé évêque de la Martinique, elle est le siège de la Sainte Patronne de la Martinique. De fait, chaque année, l'église Notre-Dame de la Délivrande accueille, le 30 Août, le pèlerinage diocésain. Pas moins de 20 000 personnes participent à ce moment fort de la vie catholique à la Martinique.


En réalité, ce pèlerinage ne marque pas seulement une étape pour le Morne-Rouge ; mais s'inscrit dans une stratégie de développement pour la commune, basée sur le tourisme religieux. Par tourisme religieux, il faut entendre toutes les activités liées à l'église et aux dates importantes de la liturgie.
Cette orientation politique repose sur deux grandes actions :
- d'une part l'aménagement et l ‘amélioration des sites religieux,
- d'autre part l'accueil des pèlerins.


Le Morne-Rouge


Le 13 décembre 1851, Mgr Le Herpeur premier évêque de la Martinique écrivait : « Considérant qu'il a plu à Notre Seigneur de répandre la dévotion à la Sainte Vierge dans toutes les paroisses et dans les cœurs de la Martinique (...) La chapelle du Morne-Rouge portera désormais le titre de Notre-Dame de la Délivrande (...) Nous voulons que la Mère de Dieu soit la Patronne, la Maîtresse, la Reine et la Mère du diocèse et de chacune des âmes qui nous sont confiées ». La dévotion à Notre-Dame de la Délivrande tire son origine du diocèse de Bayeux dont Mgr Le Herpeur était originaire. En Normandie (à Douvres-la-Délivrande, dans le calvados), se trouve un sanctuaire célèbre dans tout le pays et centre de pèlerinages incessants, c'est Notre-Dame de la Délivrande. Son origine se perd, comme on dit couramment, dans la nuit des âges.










 
Halos dans le soleil martiniquais (2005)


C'est en 1851 que l'abbé Le Herpeur fut nommé évêque de la Martinique. Le conseil des colonies s'était décidé, sur les instances du Père Libermann supérieur de la congrégation du, Saint-Esprit ( les spiritains ), à la création d'évêchés dans les Antilles Françaises, pour y réorganiser la vie religieuse qui laissait trop à désirer. L'abbé Le Herpeur fut proposé pour le nouvel évêché de Martinique et agréé par le Pape Pie IX. Il partit de la Délivrande, le cœur débordant de confiance. Cette confiance envers Notre-Dame de la Délivrande, il allait l'exercer presque aussitôt, et ce fut là l'occasion qui donna naissance au pèlerinage de la Délivrande de la Martinique. Cette occasion paraît avoir été préparée et voulue par la Sainte-Vierge qui semble vraiment avoir choisi son serviteur pour aller propager son culte aux Antilles.















Le bateau qui emmenait Mgr Le Herpeur ainsi que des prêtres et des séminaristes vers son nouveau diocèse, fut pris dix jours durant dans une tempête. Une nuit, le capitaine fit avertir l'évêque de la gravité et de l'imminence du péril. On se confessa comme pour la dernière fois et l'on attendit la mort. Le lendemain, 25 mars, fête de l'Annonciation de la Sainte-Vierge, la mer se calma. Que s'était-il passé ? Au plus fort de la tempête, Mgr Le Herpeur fit vœu à la Sainte Vierge, si le bateau échappait à la tempête, d'établir une église en Martinique à la Grande Patronne du diocèse de Bayeux et d'en établir le culte dans son nouveau diocèse. Mgr Le Herpeur arriva en Martinique le 25 avril. Son premier soin dut être de réaliser son vœu car on voit qu'il se met en quête d'un terrain. Il choisit le Morne-Rouge à la suite d'un fait qui lui rappelait les grandes interventions de la Sainte Vierge de la Délivrande. Une épidémie de fièvre jaune se déclara à Saint-Pierre, siège du diocèse, et décima le clergé. L'évêque, nouvellement arrivé et, par conséquent en danger d'être atteint, fut obligé de se réfugier précisément au Morne-Rouge dont le climat sain le mettait à l'abri de l'épidémie. Là, le prélat pria pour ses menacés. Tous ceux d'ailleurs qui le pouvaient l'avaient suivi, en particulier les séminaristes. Il ne restait en ville que ceux qu'un long séjour aux Antilles avait immunisé contre la fièvre jaune. L'évêque s'adressa avec confiance à la Vierge de la Délivrande et se décida à remplir son vœu au plus vite. Un jour, on l'entendit s'écrier : « Je n'hésite plus, c'est ici que sera Notre-Dame de la Délivrande ». Sa résolution était prise et rien ne le fit changer d'avis. On eût dit que la Sainte-Vierge l'avait conduit, comme par la main, de la Délivrande de Normandie à la Délivrance du Morne Rouge.
La fièvre jaune disparut peu après, comme si Notre-Dame avait entendu les prières de son serviteur et dès le mois de décembre, Mgr Le Herpeur put revenir à Saint-Pierre d'où il écrivit le décret cité au début de l'article.
La Sainte-Vierge marqua par des signes très certains son désire d'être la Patronne de la Martinique et d'être particulièrement honorée dans ce diocèse ; à nous donc, en ce 150ème anniversaire du décret de Mgr Le Herpeur, de répondre par une dévotion mariale toujours plus grande pour que Marie soit vraiment « la Patronne, la Maîtresse, la Reine du diocèse et de chacune de nos âmes ».
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