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  • : Blog Parousie de Patrick ROBLES (Montbéliard, Franche-Comté, France)
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  • Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)
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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 13:59

Serviteur-de-Dieu-Jacques-Fesch--parousie.over-blog.fr--7-.jpgJacques Fesch

né le 6 avril 1930 à Saint-Germain-en-Laye

guillotiné le 1er octobre 1957 à Paris (Prison de la Santé)

 

 

Blason-Saint-Germain-en-Laye.png

 

 

Jacques Fesch, braqueur, assassin malgré lui, sera condamné à mort et guillotiné le 1er octobre 1957, à 27 ans et demi, le jour de la fête de Sainte-Thérèse de Lisieux, qu'il vénérait temps, comme son "Pranzini" à elle, criminel converti. Sa courte vie et ses écrits bouleversants illustrent sa conversion en prison, la Grâce de la rédemption d'un pauvre pécheur dont Jésus, par la Vierge Marie, lui a fait Grâce, comme le Bon Larron des temps nouveaux.

"Dans cinq heures je verrai Jésus" : rien que le titre de son journal de prison fait frémir, comme un Christ qui vécut la nuit de la Passion avant Sa Crucifixion.

Jésus est venu pour les malades, les pécheurs malades du péché, pas pour les justes !

Sa Miséricorde est inconcevable !

Gloire à Dieu pour les siècles des siècles !

 

Patrick

 

Serviteur-de-Dieu-Jacques-Fesch--parousie.over-blog.fr--5-.jpg

 

"17 Ce que Jésus ayant entendu, il leur dit : Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs."

 

Marc 2:17 (Bible Louis Segond).

 

 

"12 Ce que Jésus ayant entendu, il dit : Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades.

 

13 Allez, et apprenez ce que signifie : Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs."

 

Matthieu 9:12-13 (Bible Louis Segond).

 

 

 

« J'espère qu'il sera un jour vénéré

comme une figure de sainteté. »

 

Cardinal Lustiger, Archevêque de Paris, décembre 1993.

Une instance en béatification a été déposée le 21 septembre 1987 par l'Archevêché de Paris, dont le Postulateur de la Cause était le Père Moreau.

Monseigneur Lustiger a ouvert l'enquête préliminaire à la béatification de Jacques Fesch en décembre 1993.

 

 

 

La petite Thérèse de Lisieux, troisième dévotion de Jacques Fesch, après Jésus et Marie :

 

"Je lui parle tous les soirs comme si c’était une sœur bien-aimée."

 

 

"Le 6 avril 1930, Dimanche de la Passion, naît Jacques Fesch. Le 6 avril 1957, veille de la Passion, il est condamné à mort."

 

 

Le mercredi 3 décembre 2009, le Pape Benoît XVI a rencontré la soeur aînée de Jacques Fesch : Monique Fesch, avec le biographe Ruggiero Francavilla, en présence du Cardinal Angelo Comastri qui a déclaré : "C'est un prisonnier, quand j'étais aumônier à Regina Coeli (la prison de Rome), qui m'a fait connaître l'histoire fascinante de Fesch."... "C'est un témoignage unique : jeune décalé d'une famille riche, il devient assassin et est condamné à mort. Il avait 27 ans. En prison, il connaît une conversion radicale, fulgurante, atteignant des sommets de spiritualité."

Monique Fesch a déclaré : "Avec mon frère, nous nous entendions très bien. De 8 ans plus âgée que lui, j'ai été sa marraine de baptême et, en lui rendant visite en prison, j'ai suivi de près son extraordinaire conversion."

 

Traduit de l'espagnol d'après zenit.org du 3 décembre 2009.


-Assasaint---livre-de-Gilbert-Collard--Serviteur-de-Dieu-Ja.jpg

"Assasaint", livre de Gilbert Collard

 

 

 

Paroles de Jacques Fesch

 

"Je vais pouvoir offrir ma mort pour tous ceux que j’aime."

 

"La croix que je porte, infamante aux yeux des hommes,

est aussi glorieuse que celle du moine ou du missionnaire."

 

"En aurais-je la possibilité que je ne changerais pas mon sort

contre celui d’un roi du pétrole !"

 

"Tu es appelée à la sainteté, comme moi, comme tous, ne l’oublie pas."

Jacques à sa belle-mère.

 

"Chaque journée est tellement riche en Dieu

que j’ai l’impression de vivre un an en vingt-quatre heures."

 

 

Prison-de-la-Sante--2e-division--Serviteur-de-Dieu-Jacques.jpg

Prison de la Santé, 2e division, à l'époque

 

 

 

Biographie sur Wikipédia

 

Jacques Fesch (né le 6 avril 1930 à Saint-Germain-en-Laye - mort guillotiné le 1er octobre 1957 à Paris) condamné pour un braquage commis le 25 février 1954 à Paris, suivi par son meurtre d'un policier.

 

 

Sommaire

 

* 1 L'origine sociale

* 2 Le meurtre

* 3 Le procès

* 4 La prison

* 5 La sentence

* 6 La postérité

* 7 Bibliographie

* 8 Filmographie

* 9 Théâtre

* 10 Lien externe : site Internet du spectacle

* 11 Association

* 12 Notes et références

 

 

L'origine sociale

 

Il est le fils de Georges Fesch, directeur de banque et artiste belge (issu de la même famille que le cardinal Joseph Fesch, oncle maternel de Napoléon Bonaparte) [1] et de Marthe Hallez. Son père, qui dirige une banque belge pour étrangers, s'installe avec sa famille dans les années 20 à Paris puis à Saint-Germain-en-Laye. Jacques reçoit dans son enfance une éducation religieuse dont il se détache assez tôt. Il fait ses études à l’école Saint-Erembert de 1938 à 1947, puis intègre le lycée Claude-Debussy. Tout au long de son enfance, il reste marqué par la forte personnalité de son père, par sa profonde érudition ainsi que par son affirmation d'homme athée. Les rapports difficiles entre ses parents instaurent dans la durée un climat familial instable. De 1950 à 1951, il accomplit son service militaire dont il sort avec le grade de caporal et un certificat de bonne conduite. De son mariage il eut une fille Véronique et, à la suite d'une aventure, un fils prénommé Gérard.

 

 

Le meurtre

 

En rupture avec son environnement immédiat, en quête d'évasion et d'horizons lointains, il projette d'acheter un voilier. Le 25 février 1954 à Paris, il attaque le changeur Silberstein pour lui voler des pièces d'or, et tente de l'assommer. Mais la victime a le temps d'appeler à l'aide, et Fesch est poursuivi dans la rue par un agent de police, Jean-Baptiste Vergne. Perdant ses lunettes dans sa fuite, Fesch, malgré sa forte myopie, se retourne et tire au jugé de la poche de son imperméable [2], touchant en plein cœur le policier qui décède. Fesch est arrêté quelques minutes plus tard dans le métro.

 

 

Le procès

 

La mort d'un agent de police est l'un des crimes les plus sévèrement réprimés par la Justice, le procès a lieu dans un climat particulier, l'opinion publique, entretenue par les articles des journaux, se prononce pour l'exécution de Jacques Fesch qui est défendu par l'avocat Paul Baudet [3].

 

 

La prison

 

Pendant son incarcération, il retrouve la foi perdue dans sa jeunesse, change complètement, devient mystique et pieux, écrit des textes spirituels et regrette son crime [4]. Il s'entretient régulièrement avec le Père Devoyod, aumônier de la prison. Malgré une culpabilité établie lors du procès, cet acte commis dans un moment de panique n'avait pas été intentionnel [5]. Pendant ses années de détention, il entretient une correspondance régulière avec des proches, notamment le frère Thomas, sa belle-mère et recueille ses pensées dans un journal. En 1956, il apprend, en détention, le décès de sa mère à la suite d'une maladie [6]. La demande de grâce auprès du président René Coty est rejetée. Il accepte son sort avec sérénité [7]. À la veille de son exécution, conformément à sa foi et au lien qu'il entend consacrer avec son épouse au-delà même de la mort, il complète son mariage civil par un mariage religieux.

 

 

La sentence

 

Condamné le 6 avril 1957 à la peine de mort par la cour d'assises de la Seine, il est guillotiné le 1er octobre dans la cour de la prison de la Santé par le bourreau André Obrecht [8].

 

 

La postérité

 

Depuis sa mort, Fesch est considéré par certains catholiques et par l'Eglise comme un exemple de rédemption par la religion. Pendant des années, sa veuve et sa fille respectent et défendent sa mémoire. Avec leur accord, et grâce au travail effectué par le Père Augustin-Michel Lemonnier dans les années 70, par une carmélite, Sœur Véronique dans les années 80, elles font publier les écrits de Jacques Fesch afin de transmettre ce témoignage au public [9]. Le 21 septembre 1987, une instance en béatification est mise en place par l'archevêché de Paris afin d'étudier les faits relatifs à la vie et à la conversion de Jacques Fesch. Selon le Père Moreau, postulateur de la cause en béatification, ce qui distingue particulièrement le cas de Jacques Fesch, en comparaison d'autres conversions, et qui en constitue la singularité et fait que l'on en parle encore plus de cinquante ans après sa disparition, est, qu'en plus d'une grande force spirituelle manifestée dans ses écrits, la personne de Jacques Fesch a bénéficié d'une réputation de sainteté qui est apparue dès le départ, au moment même de son incarcération, et qui a perduré de façon continue et avec la même intensité, jusqu'à nos jours. L'autre point important assez significatif est le caractère actuel du personnage de Jacques Fesch auquel il est possible de s'identifier, motif qui a incité le cardinal Lustiger à en parler pour la première fois publiquement auprès des détenus de la prison de la Santé lors d'une visite dans cette prison en novembre 1986.

 

En décembre 1993, le cardinal Lustiger, archevêque de Paris, ouvre l'enquête préliminaire à la béatification de Jacques Fesch : « J'espère, a-t-il dit, qu'il sera un jour vénéré comme une figure de sainteté. »

 

 

Bibliographie

 

Ecrits de Jacques Fesch :

 

* Lumière sur l'échafaud : lettres de prison de Jacques Fesch, guillotiné le 1er octobre 1957 à 27 ans (présentées par Augustin-Michel Lemonnier), Éditions Ouvrières, coll. « Visages du Christ » n° 9, Paris, 1972, 144 p.

* Lumière sur l'échafaud ; suivi de Cellule 18 : lettres de prison de Jacques Fesch, guillotiné le 1er octobre 1957 à 27 ans (présentées par Augustin-Michel Lemonnier), Éditions Ouvrières, coll. « Á pleine vie », Paris, 1991, 320 p. (ISBN 2-7082-2833-1)

 

Réédition en 2007 chez Pierre Téqui éditeur.

 

* Dans cinq heures je verrai Jésus (Journal de prison)

* Première édition avec préface du père André Manaranche (Éditions Sarment-Fayard, Paris ,1989) ; deuxième édition avec préface du père Daniel-Ange (Éditions Sarment-Jubilé).

o Edition en disque CD de quelques extraits de lettres interprétés par Luc Reydel, avec la participation de Claire Meunier et de Michael Lonsdale, par les Éditions Jade (1994-2007).

 

Ouvrages traitant du sujet :

 

* Francisque Oeschger, Jacques Fesch : le guillotiné de Dieu, Éditions du Rocher, coll. « Investigations », Monaco et Paris, 1994, 187 p.-[16] p. de pl. (ISBN 2-268-01805-9)

* Jean Duchesne et Bernard Gouley, L'Affaire Jacques Fesch, Éditions de Fallois, Paris, 1994, 248 p. (ISBN 2-87706-220-1)

* André Manaranche, Jacques Fesch : du non sens à la tendresse (contient un choix de textes de Jacques Fesch)

o 1re édition : Le Sarment-Fayard, coll. « Lumière », série « Témoins de la lumière », Paris, 1995, 289 p. (ISBN 2-86679-188-6)

o 2e édition revue et augmentée : Éditions du Jubilé, coll. « Trésors de la spiritualité chrétienne », Paris, 2003, 346 p. (ISBN 2-86679-365-X)

* Gilbert Collard, Assasaint : Jacques Fesch : l'histoire du bon larron moderne, Presses de la Renaissance, Paris, 2002, 225 p. (ISBN 2-85616-734-9)

 

 

Filmographie

 

* 1989 : Le glaive et la balance de Charles Villeneuve, émission diffusée sur M6. Entretien avec Pierrette Fesch, veuve de Jacques Fesch.

* 1995 : Retour en grâce de José Dessart et Léon Michaux, film documentaire diffusé sur Planète. Critique dans Télérama du 28 juin 1995. Présentation de l'histoire de Jacques Fesch et ensemble d'entretiens sur ce sujet dont un avec Pierrette Fesch.

* 2000 : L' Affaire Jacques Fesch de Dominique Adt, film documentaire diffusé sur France 3.

* 2009 - 2010 : L' Affaire Jacques Fesch de Patricia Valeix, film documentaire diffusé sur 13ème rue. Histoire de l'affaire Fesch et ensemble d'entretiens avec différents intervenants tels le Frère Thomas, Pierrette et Véronique Fesch. Critique dans Télérama datée de la semaine du 2 au 8 janvier 2010.

 

 

Théâtre

 

* 2009 : Lumière sur l'échafaud avec Alain Sportiello. Mise en scène de Maria Blanco. Des représentations ont été données à Paris dans la crypte de l'église Saint-Sulpice puis au théâtre du Ménilmontant. La pièce est jouée à Paris au théâtre Essaion du 10 mai au 1er juillet 2010.

 

 

Lien externe : site Internet du spectacle

 

* Site

 

 

Association

 

* 2009 : création de l’association Les Amis de Jacques Fesch en souvenir du parcours spirituel d’exception de Jacques Fesch, de son exemple de rédemption et de son message d’espoir pour les autres. Association de loi 1901 à caractère culturel, social, éducatif et caritatif. Site internet de l’Association en cours de construction.

 

 

Notes et références

 

1. ↑ Le Cardinal Fesch [archive]

2. ↑ Francisque Oeschger, Jacques Fesch : le guillotiné de Dieu, Éditions du Rocher, coll. « Investigations », Monaco et Paris, 1994, 187 p.-[16] p. de pl. (ISBN 2-268-01805-9) ; page 16. Jean Duchesne et Bernard Gouley, L'Affaire Jacques Fesch, Éditions de Fallois, Paris, 1994, 248 p. (ISBN 2-87706-220-1) page 21. André Manaranche, Jacques Fesch : du non sens à la tendresse (contient un choix de textes de Jacques Fesch) ; page 128. 1re édition : le Sarment-Fayard, coll. « Lumière », série « Témoins de la lumière », Paris, 1995, 289 p. (ISBN 2-86679-188-6) 2e édition revue et augmentée : Éditions du Jubilé, coll. « Trésors de la spiritualité chrétienne », Paris, 2003, 346 p. (ISBN 2-86679-365-X) Gilbert Collard, Assasaint : Jacques Fesch : l'histoire du bon larron moderne, Presses de la Renaissance, Paris, 2002, 225 p. (ISBN 2-85616-734-9) ; page 70.

3. ↑ Plaidoirie de Maître Baudet lors du procès: "Jacques Fesch est un être que le hasard a pris dans une action tragique. Il a agi dans l'affolement. Il a tiré dans la folie de la poursuite. Est-ce que, vraiment, il doit être promis à la mort ? La mort que l'on souhaite pour lui est-elle proportionnée à celle qu'il a donnée ? Hier, lorsqu'on le poursuivait, c'était la mort dans le tumulte, dans la déraison. Demain, à l'échafaud, ce sera la mort raisonnée et froide. Hier, c'était la faillite de la volonté trompée par l'instinct animal. Demain, ce sera la froide détermination de vos volontés qui conduira à la guillotine." Plaidoirie reproduite dans l'ouvrage de Jean Duchesne et Bernard Gouley, L'Affaire Jacques Fesch, Éditions de Fallois, Paris, 1994, à la page 140.

4. ↑ Jean Duchesne et Bernard Gouley, L'Affaire Jacques Fesch, Éditions de Fallois, Paris, 1994: page 81 "Ce que j'ai fait est abominable...", "J'ai perdu la tête, je ne comprends pas pourquoi j'ai fait cela, comment j'en suis arrivé là..." Jacques Fesch. - André Manaranche, Jacques Fesch : du non sens à la tendresse (contient un choix de textes de Jacques Fesch) Page 129 : "J'étais complètement affolé. J'avais complètement perdu le contrôle de moi-même. Tout cela est du noir pour moi. Quant à l'agent de police, c'était une vague forme pour moi. Je mourais de peur." Jacques Fesch. Page 184 : "Que de malheurs j'ai pu provoquer ! Que de drames pour en arriver là. Que de conséquences ne dois-je pas et ne devrai-je pas supporter toute ma vie : la mort d'un homme, le malheur d'une femme et d'une jeune fille, deux enfants qui vont souffrir, une orpheline ! Que de mal ai-je pu faire autour de moi par mon égoïsme et mon inconscience !" Page 276 : "Je présente mes excuses à Madame Vergne. Oh Madame ! Vous êtes en droit de me haïr, mais je vous dis mes regrets les plus sincères, comme à tous ceux à qui j'ai fait..." Jacques Fesch.

5. ↑ Plaidoirie de Maître Baudet : "Vous laisserez-vous prendre à la fable que l'on veut vous imposer ? Croyez-vous que tout s'est passé avec la volonté de meurtre que l'on prête aujourd'hui à mon client ? Qu'il a voulu tuer un agent ? Où aurait-il pris la haine de cet agent ?" ..."Il s'agit de faire un exemple. Le mot n'est pas de moi, mais de l'avocat général."

6. ↑ Jean Duchesne et Bernard Gouley, L'Affaire Jacques Fesch, Éditions de Fallois, Paris, 1994. Page 104 : "...la mort de Madame Fesch mère, survenue le 7 juin 1956." Jacques Fesch : le guillotiné de Dieu, Éditions du Rocher, coll. « Investigations », Monaco et Paris, 1994. Page 86 : "En juin 1956, sa mère est au plus mal. Elle souffre d'un cancer et va bientôt mourir." André Manaranche, Jacques Fesch : du non sens à la tendresse (contient un choix de textes de Jacques Fesch) Page 75 : "Je t'écris juste un petit mot pour te faire part de la grande perte et douleur que j'éprouve : ma mère est morte hier matin à l'aube..." (Lettre de Jacques Fesch au Frère Thomas datée du 8 juin 1956).

7. ↑ Jean Duchesne et Bernard Gouley, L'Affaire Jacques Fesch, Éditions de Fallois, Paris, 1994. Page 205: "Je me sens en paix." (Jacques Fesch ; lettre du mardi 24 septembre 1957).

8. ↑ André Manaranche, Jacques Fesch : du non sens à la tendresse Page 308: Lettre et témoignage de Monsieur Mariani, directeur de la prison de la Santé de 1954 à 1960, au sujet du détenu Jacques Fesch : "...Jacques a été exécuté le 1er octobre 1957 : je peux affirmer que, lors des derniers moments de son existence, il a fait preuve d'un formidable courage et d'une grande correction vis-à-vis des personnes obligées d'assister à l'exécution ; je me rappelle qu'il a tenu à adresser ses remerciements à Maître Baudet, au Père Devoyod et à moi-même. (...) Il m'est arrivé, lorsque je faisais ma tournée en détention et au quartier des condamnés à mort, de bavarder avec Fesch et d'essayer de remonter son moral. Je peux donc dire que son comportement vis-à-vis du personnel a été exemplaire et que tous ceux qui l'ont côtoyé avaient le même sentiment que moi, c'est-à-dire que Fesch regrettait sincèrement son crime et était parfaitement amendable. C'est également l'avis de Maître Baudet et du Père Devoyod qui connaissaient mieux Fesch que moi et avaient avec lui des rapports plus fréquents que les miens. Je crois aussi me rappeler... que Fesch a reçu le soutien total de sa famille. Pour terminer, je voudrais vous faire part de ce que je pense encore aujourd'hui au sujet de Fesch : c'est qu'il aurait été grâcié si sa victime n'avait pas été un agent de la force publique."

9. ↑ Jean Duchesne et Bernard Gouley, L'Affaire Jacques Fesch, Éditions de Fallois, Paris, 1994 ; page 228 à 235: "Avec Paul Baudet et le Père Thomas, la famille de Jacques Fesch a tout de suite commencé à dépouiller et à lire les écrits transmis par l'administration pénitentiaire (...) Une religieuse carmélite vient heureusement prendre le relais (...) .Il est fait appel à un religieux de la même famille spirituelle : le Père carme Augustin-Michel Lemonnier. Il rédige quatre premiers chapitre sobres, rappelant les faits et les origines du condamné, en utilisant quelques coupures de presse de l'époque... Les chapitres suivants permettent de suivre l'évolution spirituelle du prisonnier, à travers ce qu'il confie à son ami bénédictin (Lettres de Jacques Fesch au Frère Thomas)"... Les Éditions Ouvrières, où le Père Lemonnier est connu, acceptent le manuscrit. Un titre est trouvé. Ce sera Lumière sur l'échafaud. (...). L'écho rencontré par Lumière sur l'échafaud conduira Pierrette et Véronique Fesch, Soeur Véronique, le Père Lemonnier et les Éditions Ouvrières à préparer un second volume, non sans scrupules, mais pour répondre à une attente. Ce sera en 1980, Cellule 18. Ce sont cette fois des lettres à sa belle-mère, Marinette Polack, la Maman de Pierrette, qui constituent l'essentiel." Page : 234-235 : "Père salésien,... Giacomo Maria Medica s'est passionné pour Jacques Fesch. Il fera la connaissance de Sœur Véronique et de la famille. Il accédera ainsi aux documents inédits et obtiendra le premier, dès 1982, une traduction italienne du dernier Journal de Jacques. (...) Le Journal sera finalement édité en France par les éditions Le Sarment-Fayard en 1989, sous le titre "Dans Cinq heures je verrai Jésus". Et le cas de Jacques Fesch gagnera à cette occasion le soutien d'un avocat d'envergure, à la fois enthousiaste et conscient des difficultés, en la personne du Père jésuite André Manaranche." - André Manaranche, Jacques Fesch : du non sens à la tendresse ; Éditions du Jubilé ; Paris, 2003. Au sujet de la parution du journal spirituel intitulé "Dans cinq heures je verrai Jésus". Page 314 : "Merci à Véronique Fesch d'avoir, après trente ans de silence, estimé en son âme et conscience, qu'elle pouvait, qu'elle devait, sans trahir Jacques, livrer à de nombreux lecteurs le réconfort de ces pages bouleversantes."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Catalunya

 

 

 

 

Jacques Fesch (6 abril 1930 - 1 octubre 1957) va ser fill de bona família, era fill de Georges Fesch, banquer i artista belga (de la mateixa família que el cardenal Joseph Fesch, oncle matern de Napoleó Bonaparte) i Marthe Hallez. El seu pare, cap d'un banc belga als estrangers, es van instal·lar amb la seva família en 20 anys a París y Saint-Germain-en-Laye.

El jove Jacques es troba en els seus inicis amb educació religiosa que es separaria amb el temps. Va estudiar a l'Escola Sant Erembert de 1938 a 1947 i després es va sumar el Liceu Claude Debussy. Al llarg de la seva infància, continua sent marcat per la forta personalitat del seu pare, per la seva profunda erudició i la seva afirmació d'home ateu. La difícil relació entre els seus pares amb el temps crear un ambient familiar inestable. De 1950 a 1951, compleix el seu servei militar amb el rang de terme i un certificat de bona conducta. El 5 de juny de 1951, es va casar amb Pierrette Estrasburg. Va ser pare d'una filla Veronique.

Trencant amb el seu entorn immediat a la recerca d'escapament i llunyans horitzons, que projecta la idea de comprar un veler. El 25 de febrer de 1954 a París, el canviador d'atacs per robar Sylberstein monedes d'or, i tracta de cridar. No obstant això, la víctima té temps per demanar ajuda, Fesch i es continua al carrer per un oficial de policia, el Sr Vergne. Fesch, tornejat, manté la seva arma a la butxaca i dispara va celebrar (és molt curta de mires i la pèrdua de les seves ulleres). Per desgràcia, mata el policia al cor. Va ser detingut minuts després al metro.

Durant el seu empresonament, canvia totalment, convertint-se en una profunda pietat i lamentant amargament el seu delicte. Aquest acte comès en un moment de pànic, mai havia estat intencional. Però la mort d'un agent de policia és un dels més severament castigats per la Justícia. El judici té lloc en un clima detestable. L'opinió pública, alimentada pels articles als diaris, és obertament per la seva execució. Jacques Fesch és defensat per advocat Paul Baudet.

A la presó, es va convertir en un místic i autor d'escrits espirituals. Va trobar la fe perduda en la seva joventut i va viure durant tres anys i mig un veritable místic viatge cap a l'interior d'una revolució completa. Durant aquests anys de detenció, que manté una correspondència regular amb els seus familiars, incloent el Germà Tomàs, i la seva madrastra, i recull els seus pensaments en un diari. El 1956, es va assabentar de la mort en custòdia de la seva mare, es va produir després d'una malaltia. La petició de clemència al president René Coty va ser rebutjada, Fesch accepta el seu destí. Va demostrar valentia excepcional en la cara dels fets, deixant la imatge d'un home serè i alleujada. Alumne de la mort, religiosament units amb la seva dona Pierrette la vigília de la seva execució.

Condemnat el 6 d'abril de 1957 a la pena de mort pel Tribunal del Sena, va ser guillotinat l'1 d'octubre al pati de la presó de la Santé pel botxí André Obrecht.

Des de la seva mort, Fesch va ser considerat pels catòlics com un exemple de la redempció a través de la religió. Durant anys, la seva vídua i filla, amb dignitat i discreció, respecte i valentia va defensar la seva memòria. Ho van fer des del principi, quan la seva imatge pública es honnie, i poca gent volia. A través dels seus acords i al treball efectuat per una monja carmelita, Sor Verònica, els escrits de Jacques Fesch es van publicar. Aquests textos han provocat una gran comoditat i suport, moral o espiritual, a un nombre dels seus lectors.

El 21 de setembre de 1987, un cas de beatificació està configurat per estudiar els fets de la vida i la conversió de Jacques Fesch. El desembre de 1993, el cardenal Jean-Marie Lustiger, arquebisbe de París, va obrir la investigació preliminar de la beatificació de Jacques Fesch: "Espero, va dir, que un dia es venera com una figura de la santedat."

 

 

Bibliografia i correspondència

 

Augustin-Michel Lemonnier: Llum sobre el patíbul i Cèl 18. Cartes des de la presó de Jacques Fesch. Collecció: varis pastoral i catequesi; Editions Ouvrières (1972 i 1991).

Diari de Presó de Jacques Fesch: «D'aquí a cinc hores veuré a Jesús». Edicions Paraula / Astor (Madrid, 1995).

 

Viquipèdia

 

 

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Jacques Fesch (* 6. April 1930 in Saint-Germain-en-Laye; † 1. Oktober 1957 in La Santé) war der Sohn eines vermögenden Bankiers aus Belgien. Am 24. Februar 1954 überfiel Fesch die Wechselstube von Alexandre Silberstein in Paris. Silberstein wehrte sich und alarmierte die Polizei. Fesch schoss wild um sich und tötete dabei den Polizisten Jean Vergne. Er konnte zwar zunächst in die Metro entkommen, wurde dort aber von der Polizei verhaftet. Am 6. April 1957 verurteilte ihn ein Pariser Gericht zum Tod durch die Guillotine. Am 1. Oktober 1957 wurde er im Gefängnishof von Santé vom Scharfrichter André Obrecht hingerichtet und auf dem alten Friedhof von Saint-Germain-en-Laye[1] beigesetzt. In den drei Jahren seines Gefängnisaufenthalts bis zur Vollstreckung der Todesstrafe fand Jacques Fesch nach eigenen Angaben zum christlichen Glauben zurück.[2] 36 Jahre nach seiner Hinrichtung eröffnete der damalige Kardinal und Erzbischof von Paris, Jean-Marie Lustiger, ein Seligsprechungsverfahren für ihn.

 


Inhaltsverzeichnis


1 Familie und Bildung

2 Beantragte Seligsprechung

3 Auf der Bühne und im Film

4 Werke

5 Literatur

6 Weblinks

7 Einzelnachweise

 


Familie und Bildung

 

Zu den Vorfahren der Familie Fesch zählten auch Verwandte von Kardinal Joseph Fesch, einem Onkel von Napoleon Bonaparte. Von 1938 bis 1947 erhielt Fesch seine Schulausbildung an der Ecole Saint-Erembert und später am Lycée Claude Debussy in Paris. Von 1950 bis 1951 leistete er seinen Militärdienst bei den Französischen Streitkräften in Deutschland.

1951 heiratete Fesch und wurde Vater einer Tochter. Später gab er seine Arbeit in der Bank des Vaters auf und verließ seine Frau wegen einer anderen, mit der er einen Sohn namens Gérard[3] hatte. Sein Traum war eine Reise mit einem Boot in den Südpazifik. Seine vermögenden Eltern weigerten sich aber, ihm eine solche Reise zu finanzieren.

 


Beantragte Seligsprechung

 

In den drei Jahren seines Gefängnisaufenthalts bis zur Vollstreckung der Todesstrafe verfasste Jacques Fesch mystische Schriften. Im Gefängnis versöhnte er sich mit seiner Familie. Sein letzter Tagebucheintrag endete mit den Worten: In fünf Stunden werde ich Jesus Christus sehen.

Seit seinem Tod wird Fesch von manchen Katholiken als ein Beispiel für die Erlösung durch die christliche Religion betrachtet. Seine Witwe und seine Tochter Veronique verwalten den Nachlass seiner Schriften, die er in seiner Gefängniszeit schrieb. Mit ihrer Zustimmung bearbeiteten Pater Augustin-Michel Lemonnier, die Karmelitin Schwester Veronika und Pater Giacomo Maria Medica SDB Feschs literarischen Nachlass. In den 70er Jahren wurden Feschs Schriften erstmals veröffentlicht und seither öfter neu aufgelegt und in viele Sprachen übersetzt. Am 21. September 1987 reichte seine Witwe Schriften und Petitionen beim Erzbischof von Paris ein, um ein Seligsprechungsverfahren einleiten zu lassen. Dieses Verfahren eröffnete Jean-Marie Lustiger im Dezember 1993.

 


Auf der Bühne und im Film

 

Die Geschichte seiner Konversion wurde in Frankreich zweimal verfilmt: Le glaive et la balance (1989) und Retour en grâce (1995).

2009 wurde in Paris ein Theaterstück unter der Regie Maria Blanco uraufgeführt, das seine Konversion zum Thema hat. Den Jacques spielte Alain Sportiello.[4][5]

 


Werke

 

Jacques Fesch: Lumière sur l'échafaud ; suivi de Cellule 18 : lettres de prison de Jacques Fesch, guillotiné le 1er octobre 1957 à 27 ans. Paris: Éditions Ouvrières 1991, ISBN 978-2-7082-2833-7

(englisch): Light over the Scaffold and Cell 18: The Prison Letters of Jacques Fesch. Alba House, New York 1996. ISBN 9780818907500

(deutsch): Du nimmst mich an: Briefe aus d. Todeszelle. Hrsg. von Augustin-Michel Lemonnier. Vorwort von Michel Quoist. Herder, Freiburg 1975 (2. Aufl.). ISBN 3-451-17086-8

weitere Übersetzungen ins Polnische, Slowenische und Spanische

Jacques Fesch: Dans 5 heures je verrai Jésus!: Journal de prison, 3rd, Fayard - Le Sarment 1998, ISBN 978-2-86679-168-1

 

 

Literatur

 

Gilbert Collard: Assasaint : L'histoire du bon larron moderne. Presses de la Renaissance, Paris 2007, ISBN 978-2750903688.

André Manaranche: Jacques Fesch, du non-sens à la tendresse. Editions le Sarment, Paris 2003, ISBN 978-2866793654.

Francisque Oeschger: Jacques Fesch, le guillotiné de Dieu. Editions du Rocher, Monaco 1994, ISBN 978-2268018058.

Jean Duchesne, Bernard Gouley: L'affaire Jacques Fesch. Editions de Fallois, Paris 1994, ISBN 978-2877062206.

Gérard Droniou: Fesch, mon nom guillotiné. Editions du Rocher, Monaco 2001. ISBN 978-2268039473 (Buch des unehelichen Sohnes, der um die Namensführung kämpfte)

Gérard Fesch (= Gérard Droniou): Mon enfance guillotiné. Récit. Archipel, Paris 2009, ISBN 2-8098-0197-5

 


Weblinks

 

„Bekehrung in der Todeszelle“ (Biographie von 2006)

Website über sein Leben und das Theaterstück Lumière sur l'échafaud (französisch)

Saints Misbehavin'. Wiedergabe eines Artikel aus dem Wall Street Journal von 2006 (englisch)

Biographie von 2002 (englisch)

ZENIT: Papst begrüßt Schwester eines Mörders im Seligsprechungsprozeß

 


Einzelnachweise

 

↑ Find A Grave

↑ ZENIT: Papst begrüßt Schwester eines Mörders im Seligsprechungsprozeß abgerufen 9. Dezember 2009

↑ Süddeutsche Zeitung: Frankreich - Mein Vater, der Mörder vom 30. Januar 2007 abgerufen 8. Dezember 2009

↑ Rezension: Assa-saint aus Les Trois Coups

↑ Rezension:Théâtre: Lumière sur l'échafaud - Jacques Fesch

 

Wikipedia

 

 

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Jacques Fesch (1930-1957) foi um jovem crimonoso francês e um caráter místico, encarcerado durante três anos à prisão da Santé, célebre prisão de Paris, e guilhotinado aos 27 anos, 1 de Outubro de 1957, para um duplo crime em fevereiro de 1954: assalto de um cambista acompanhamento ea morte de um polícia.

Jacques Fesch nasceu em 6 de Abril de 1930 em Saint-Germain-en-Laye. Ele é de origem belga e da mesma família como do Cardeal Joseph Fesch. O pai, Georges Fesch, era diretor de um banco belga para estrangeiros instalada em França.

Aos vintes anos, prestando serviço militar na Alemanha, casa-se como uma moça de Saint Germain-en-Laye, sua cidade natal. Nasce uma menina, Verónica.

Decepcionado por uma vida sem ideal, consciente de sua decadência, tendo perdido tudo, acha que enontrará a salvação numa viagem em volta ao mundo. Queria comprar un barco para navegar.

O sonho se transforma em idéia fixa, que vai levá-lo a trágica agressão.

Na prisão, despetertou-se-ihe a fé, há muito adormecida. Fé que cresceu com sua conversão, vivificouse interiormente e, passo e passo, conduzui-o por ásperas veredas no ascendente caminho da ascese, até fazê-lo atingir os cumes da mística. Sua ascensão espiritual é realmente excepcional.

Em 1987, um processo de beatificação foi aberto pelo Cardeal Jean-Marie Lustiger, Arcebispo de Paris.

 


Bibliografia

Jacques Fesch, cartas da prisão: Luz sobre o andaime e célula 18

Jacques Fesch, diário de prisão: Em cinco horas eu vou ver Jesus.

 

Wikipédia

 

 

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Jacques Fesch (April 6, 1930, Saint-Germain-en-Laye – October 1, 1957, La Santé Prison, Paris) was the murderer of a French police officer, who became such a devout Roman Catholic while in prison awaiting execution that he has been proposed for canonization as a saint.

 

 

Contents


1 Early life

2 The Crime

3 Religious conversion

4 Legacy

5 Bibliography

6 References

 

 

Early life

 

Fesch's father was a wealthy banker of Belgian origin, an artist and atheist, distant from his son and unfaithful to his wife, whom he ultimately divorced. Jacques was an idler; brought up a Roman Catholic, he abandoned religion by the age of 17. At 21, he married his pregnant girlfriend Pierrette in a civil ceremony. He gave up a position at his father's bank, lived the life of a playboy, left his wife and their daughter, and fathered an illegitimate son with another woman. Disillusioned with his life, he dreamed of escaping to sail around the South Pacific Ocean, but his parents refused to pay for a boat.

 

 

The Crime

 

On 24 February 1954, to fund the purchase of a boat, he went to rob Alexandre Sylberstein, a money changer, of gold coins. Sylberstein was struck but not unconscious, and raised the alarm. Fesch fled, losing his glasses, and shot wildly at Jean Vergne, a pursuing police officer, killing him. Minutes later he was arrested. Murdering a police officer was a heinous crime and public opinion, inflamed by newspaper reports, was strongly in favour of his execution. The Cour d'assises of Paris condemned him to death on 6 April 1957.

 

 

Religious conversion

 

At first Fesch was indifferent to his plight and mocked his lawyer's Catholic faith. However, after a year in prison, he experienced a profound mystical conversion, became very pious, and bitterly regretted his crime. He corresponded regularly with his family, notably his brother and stepmother, and kept a spiritual journal. He accepted his punishment serenely and was reconciled to his wife the night before his execution. His last journal entry was "In five hours, I will see Jesus!". An appeal for clemency to President René Coty failed, and he was guillotined.

 

 

Legacy

 

After his death his wife and daughter honoured his memory as an example of redemption. At first he was excoriated by the public, but with the work of Soeur Véronique, a Carmelite nun, and Fathers Augustin-Michel Lemonnier, the family effected publication of his writings, and from the 1970s these served as an inspiration to many.

On September 21, 1987 the Archbishop of Paris, Cardinal Jean-Marie Lustiger, opened a diocesan inquiry into his life; the cause for his beatification was formally opened in 1993. This has proved controversial, with those who feel his early crimes make him unfitting as a role model opposed to those who emphasize the hope of his final conversion.

 

 

Bibliography

 

Translation: Light over the Scaffold and Cell 18: The Prison Letters of Jacques Fesch. Alba House, 1996.

Fesch, Jacques; preface Père Daniel-Ange (1998) (in French). Dans 5 heures je verrai Jésus!: Journal de prison (3rd ed.). Fayard - Le Sarment. ISBN 978-2-86679-168-1.

Translation: In five hours I will see Jesus (spiritual diary) of Jacques Fesch.

 

 

References

 

Craughwell, Thomas J. (October 27, 2006). "Saints Misbehavin'". Wall Street Journal. Retrieved 2007-04-03. republished on Catholic Education Resource Center

"A Saint who killed:Jacques Fesch was executed for murder in 1957. Now the Church is considering his beatification.". Retrieved 2007-04-04. by Fr. Oliviero Bruno, Catholic Chaplain in Poggioreale Jail in Naples

 

Wikipedia

 

 

 

 

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Jacques Fesch (Saint-Germain-en-Laye, 6 aprile 1930 – Parigi, 1 ottobre 1957) è stato un criminale francese, che in carcere si convertì al punto che è stato introdotto il processo di canonizzazione da parte della Chiesa Cattolica.

 


Indice


1 Biografia

2 Note

3 Bibliografia

4 Voci correlate

5 Altri progetti

6 Collegamenti esterni

 


Biografia

 

Nasce in una famiglia dell'alta borghesia (annovera tra i suoi avi il cardinale Joseph Fesch) ed i suoi genitori si erano trasferiti recentemente dal Belgio. Cresciuto ed educato nella fede cristiana, all'età di 17 anni abbandona la fede.

Chiamato al servizio militare viene assegnato ad una caserma della città di Strasburgo. Qui incontra Pierrette Polack e nel 1951 si sposano. Da questa unione nasce Véronique.

Per l'acquisto di una barca, il 25 febbraio 1954 tenta una rapina in un negozio di cambiavalute di rue Vivienne 9. Nella colluttazione anche Jacques viene ferito leggermente poi fugge con una cospicua somma di danaro. Il quartiere viene circondato e, braccato, cerca di aprirsi un varco a colpi di rivoltella. Ferisce un passante, un agente di polizia ed, infine, un altro, quest'ultimo però colpito mortalmente. Al processo, tuttavia, disse agli inquirenti di avere mirato alle gambe e che non c'era una vera e propria volontà di uccidere.

Acciuffato poche ore più tardi all'uscita del metrò, viene rinchiuso in carcere e processato. Il verdetto non lascia appello e l'esecuzione della pena capitale tramite ghigliottina, come era uso in Francia, viene eseguita nel 1957, anno del suo ventisettesimo compleanno.

Dopo la sua morte sono state date alle stampe il suo diario in Italia Il Giornale Intimo (LDC Torino-Leumann), tenuto in carcere e le lettere inviate agli amici e parenti dal carcere, che testimoniano la sua conversione. Giacomo Maria Medica (padre Salesiano) fu il primo a credere in questa Santità ne fu anche il Promotore per la Beatificazione nel 1986 inviando molte lettere a vescovi e Cardinali. Un giovane per cui ebbe una forte amicizia al Don Medica e di rilievo sostegno su Jacques Fesch fu Ruggiero Francavilla (postulante Carmelitano),dopo un periodo di solitudine e riflessione nella Certosa di Farneta.

Le testimonianze raccontano che nel momento di salire il patibolo Jacques Fesch non pronunciò che queste parole a mezza voce: "Signore, non abbandonarmi". L'eccezionale nobiltà del suo atteggiamento, la calma del volto e dello sguardo parvero soprannaturali.

Uno scrittore [senza fonte] ebbe a scrivere contro questa giustizia e contro la pena di morte in generale:

« Jacques Fesch, in prigione, è stato rivoltato dal suo interno come un guanto, dallo Spirito Santo. E quando si è letta la sua fine, prima del momento supremo sul patibolo, ci si chiede ora se la società non ha ghigliottinato un uomo nuovo,...forse un santo »

Il 2 dicembre 2009,dopo l'incontro avutosi con il Cardinale Angelo Comastri, in Piazza San Pietro il Papa Benedetto XVI al termine dell'udienza ha salutato Monique Fesch, sorella di Jacques, e Ruggiero Francavilla, suo amico e biografo. Hanno donato al Santo Padre il libro Jacques Fesch Le Mystére (2004 ed.P.Téqui) e Jacques Fesch" L'avventura della fede di un condannato a morte (Ed.Paoline 2006). Inoltre un libro in lingua tedesca su Jacques Fesch (Du nimmst mich an, Verlag Herder, 1974) che Ruggiero Francavilla teneva nel suo archivio. Al termine hanno mostrato al Santo Padre, lettere che Jacques scrisse durante la sua prigionia per le sue sorelle Monique e Nicole, e i suoi genitori[1].

 


Note

 

Notizia su zenit.org

 


Bibliografia

 

Luce sul patibolo di Jacques Fesch in attesa della ghigliottina, Edizione LDC 1978

Jacques Fesch Cella 18, Edizione LDC 1981

Jacques Fesch,Giornale intimo, Edizione LDC 1982

Giacomo Maria Medica, Jacques Fesch,Racconta la sua vita, Edizione LDC 1988

Ruggiero Francavilla, Jacques Fesch. L'avventura della fede di un condannato a morte, Edizione Paoline, febbraio 2006

Voci correlate

 

Pena di morte in Francia

Altri progetti

 

Wikiquote contiene citazioni di o su Jacques Fesch

Collegamenti esterni

 

Appunti sulla vita di Jacques Fesch

 

Wikipedia

 

 

Il Papa Benedetto XVI ha salutato Monique Fesch, sorella di Jacques

 

 

Jacques Fesch, da ghigliottinato a Beato

 


 

 

 

 

 

 

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Jacques Fesch (6 de abril de 1930, Saint-Germain-en-Laye - 1 de octubre de 1957, Prisión de La Santé, en París) fue el asesino de un policía francés, que se convirtió en un devoto católico romano, mientras se encontraba en la cárcel a la espera de ejecución y que se ha propuesto para su canonización como santo.

 


Contenido


1 Primeros años

2 El Crimen

3 Conversión religiosa

4 Legado

5 Bibliografía y correspondencia

 

 

Primeros años

 

Fesch padre era un rico banquero de origen belga, artista y ateo, distante de su hijo e infiel a su esposa, de quien en última instancia, se divorció. Jacques era un ocioso; educado como católico romano, abandonó la religión a la edad de 17 años. A los 21 años, se casó con su novia embarazada, Pierrette, en una ceremonia civil. El padre de ella le consiguió un puesto en su banco, viviendo la vida de un playboy. Dejó a su esposa y su hija y fue padre de un hijo ilegítimo con otra mujer. Desilusionado con su vida, soñaba con escapar a navegar alrededor del Pacífico Sur, pero sus padres se negaron a pagarle un barco.

 


El Crimen

 

El 24 de febrero de 1954, para financiar la compra de su barco, fue a robar a Alexandre Sylberstein, un cambista, unas monedas de oro. Sylberstein fue golpeado, pero aún consciente, logró dar la alarma. Fesch huyó, perdiendo sus gafas. Durante la huida disparó contra Jean Vergne, un oficial de policía que le perseguía, matandole. Minutos más tarde fue detenido. Asesinar a un oficial de policía era un crimen atroz y la opinión pública, inflamada por los informes de prensa, se manifestó decididamente a favor de su ejecución. La Cour d'Assises de París lo condenó a muerte el 6 de abril de 1957.

 


Conversión religiosa

 

Al principio a Fesch le era indiferente su situación y se burló de la fe católica de su abogado. Sin embargo, después de un año de prisión, en la que experimentó una conversión mística profunda, se hizo muy piadoso, y se arrepintió amargamente de su crimen. Se carteaba regularmente con su familia, en particular, su hermano y su madrastra y llevaba un diario espiritual. Él aceptó su castigo con serenidad y se reconcilió con su esposa la noche antes de su ejecución. Su última entrada del diario fue "En cinco horas, voy a ver a Jesús". Un llamamiento a la clemencia al presidente René Coty fracasó, y fue guillotinado.

 


Legado

 

Después de su muerte, su esposa y su hija honraron su memoria como un ejemplo de redención. Al principio fue despreciada por el público, pero con el trabajo de la hermana Véronique, una monja carmelita, y el Padre Augustin-Michel Lemonnier, la familia llevó cabo la publicación de sus escritos, y desde la década de 1970 estos servido de inspiración para muchos.

El 21 de septiembre de 1987, el arzobispo de París, Cardenal Jean-Marie Lustiger, ha abierto una investigación diocesana sobre su vida; la causa de su beatificación fue abierta formalmente en 1993. Ha sido objeto de controversia por los que sienten que sus crímenes lo hacen indigno como modelo a seguir frente a quienes hacen hincapié en la esperanza de su conversión final.

 


Bibliografía y correspondencia

 

Diario de Prisión de Jacques Fesch : « Dentro de cinco horas veré a Jesús ». Ediciones Palabra / Astor (Madrid, 1995)

Augustin-Michel Lemonnier: Luz sobre el patíbulo y Célula 18. Cartas desde la cárcel de Jacques Fesch. Colección: varios pastoral y catequesis; Editions Ouvrières (1972 y 1991).

http://www.fluvium.org/textos/dolor/dol68.htm

http://www.alfayomega.es/Revista/1996/037/desdelafe/reportaje2.htm

Libro sobre la vida de Jacques Fesch: Javier Sicilia. El reflejo de lo oscuro. Colección Tierra Firme ; (México, 1997)

 

Wikipedia

 

 

 

 

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