Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)
* CV semble vouloir dire Chant de Victoire (‘’Canto’’ (ou ‘’Cântico’’, ou ‘’Canção’’) de Vitória), et malgré de nombreuses recherches, je n’ai pas pu trouver le CV n°50 en langue portugaise. Aussi, je vous propose le Chant de Victoire n°50 en français.
Sources de l’hymne :
Hymne officielle originale en portugais « Hino da (futura) Beata Isabel Cristina », écrite par José Mário Santana Barbosa, et mise en musique par Wallace Gabriel Moura da Silva.
Hymne traduite en espagnol « Canto en honor a la (futura) beata Isabel Cristina » sur le site aciprensa.com
Très Auguste Mère de Dieu, qui daignez écouter, dans cette sainte Chapelle, les prières de toutes les personnes qui implorent votre secours, veuillez m'obtenir le pardon de mes péchés ; je les déteste de tout mon cœur, avec un sensible regret de les avoir commis, et dans la ferme résolution de plutôt mourir que d'y retomber jamais.
Si les personnes qui vous ont invoquée avec confiance, dans quelque endroit de l'univers qu'elles fussent, ont obtenu leur demande, j'espère de votre bonté maternelle que, quelque grandes que soient mes fautes, vous ne me refuserez pas cette grâce devant votre Image miraculeuse. Vous êtes mon unique espérance après Jésus-Christ qui vous a donné le pouvoir de faire tant de prodiges dans cette (sainte)Chapelle. C'est vous qui l'avez rendue si célèbre par les grâces continuelles qu'on y reçoit ; car personne n'en sort sans avoir obtenu quelque faveur ; vous y consolez les affligés, vous y guérissez les malades, vous obtenez la conversion des pécheurs, vous procurez la persévérance aux justes et la vocation aux jeunes gens.
Je vous prie de guérir les maladies de mon âme qui sont les plus dangereuses, puisqu'elles peuvent me conduire à une mort éternelle. Daignez accompagner cette première grâce d'une seconde, en me soulageant dans les incommodités dont mon corps est affligé. (exposer ici ses souffrances. ‘’On peut exposer un autre besoin’’). Comme c'est pour mon salut que je dois les endurer, veuillez me procurer la patience de les supporter, pour y trouver l'expiation de tous les péchés de ma vie passée.
Je ne cesserai jamais de vous invoquer, ô Très Sainte Vierge ! J'ai fait tant de fois la consolante expérience de vos bontés ! Aussi je vous promets, par reconnaissance, de prendre vos intérêts à l'avenir en toute occasion, et de publier partout et toujours vos louanges.
Je voudrais pouvoir les célébrer à chaque instant de ma vie, autant qu'elles l'ont été et qu'elles le seront pendant toute l'éternité.
Souffrez encore, très puissante Reine du ciel et de la terre , que mon cœur, animé de cette pleine et vive confiance que lui inspire votre Image miraculeuse, vous sollicite avec toute sa tendresse, d'obtenir de Dieu la grâce finale, pour moi et pour toutes les personnes qui me sont attachées par les liens du sang et par la charité, afin qu'aucune ne soit damnée, (et) que nous puissions tous ensemble vous voir un jour dans le ciel, et vous y remercier , après Dieu, de notre glorieuse prédestination, pendant toute l'éternité.
Mère d'un grand amour miséricordieux, pose ton doux regard sur tes enfants qui se sont rassemblés ici près de Toi.
Tu nous ouvres tes bras, Mère de bonté et d'amour.
Nous te confions nos cœurs. Immerge-les pour nous dans les profondeurs de ton Cœur maternel, afin qu'ils restent toujours purs et pleins de paix.
Aide-nous, Ô notre Reine, à aimer Jésus et tous tes enfants blessés que Tu appelles à ton jardin d'amour. Aide-nous à panser leurs blessures par notre amour sincère.
Puissions-nous ne jamais rejeter celui que Tu nous envoies, mais toujours lui ouvrir notre cœur.
Envoie-nous là où nous devons semer l'amour de Dieu, la parole et la lumière de Dieu, la joie de Dieu, la paix et la réconciliation de Dieu.
Bénis-nous, Ô Marie, et guide nos pas ; que tous ceux que nous rencontrons se laissent toucher par le grand amour de Dieu qui guérit.
"La foi fut me phare lumineux de toute sa vie ; il n'agissait que pour plaire à Dieu et procurer sa gloire en sauvant les âmes. A cette foi vive il joignait une grande pureté de mœurs qu'il conserva toute sa vie. Son humilité était profonde ; c'était un autre saint François d'Assise, un autre saint Vincent de Paul. Il fut simple, sans fard, craignant Dieu, ne cherchant pas à plaire aux hommes, mais à faire le bien. L'obéissance, c'était son mot, sa vertu de prédilection dont il faisait dépendre toute vertu. Son zèle ne connaissait pas d'obstacle ; avec cette charité qui croit tout possible, il disait : Je puis tout en celui qui me fortifie. Sa vertu ne s'est jamais démentie, il a paru comme un soleil brillant à son aurore et qui monte croissant en splendeur. Dieu l'a honoré par ses travaux et les a couronnés du plus grand succès..."
« Le règne de l’humanité, c’est l’oubli de Dieu ; la révolte contre lui, c’est le crime de Lucifer, le crime qui a précipité le tiers des anges dans l’enfer. C’est ce crime même qui amènera le règne de l’Antéchrist. Oui, quand l’humanité aura chassé Dieu dans une certaine mesure, alors viendra la fin du monde, l’Antéchrist sera le fruit de cet amour de soi, égoïste, monstrueux, horrible. »
"Oh ! oui, c’était un saint ; jamais nous ne l’avons vu se rechercher lui-même, mais toujours nous l’avons vu occupé à chercher la volonté de Dieu, et à l’accomplir. Oh ! oui, c’était un saint orné de toutes les vertus chrétiennes, sacerdotales et apostoliques, qu’il suffisait de voir pour respecter et aimer la religion ; c’était le modèle des prêtres, une copie admirable de Notre Seigneur Jésus Christ. Et le Seigneur lui-même n’a-t-il pas voulu témoigner la sainteté de M. Garicoïts, en l’appelant à lui le jour même de l’Ascension, à trois heures du matin, heure à laquelle ce vaillant ouvrier commençait sa journée…"
Cette photo, « virale » sur les réseaux sociaux et dans les médias, c’est l’histoire du petit Vlad (Vladislav Ivanovitch DRAGOUN, Владислав Іванович Драгун), 6 ans (né le 19 février 2016), près de la tombe de sa maman, Marina Anatolyivna NAOUMETS(S) (Марина Анатолïівна Наумець), née le 15 juin 1988, décrite dans un 1er temps comme s’appelant Irina « Ira » TANYOUK (Ірина Танюк), à Boutcha, ville tragiquement et mondialement connue pour les « présumées » exactions des troupes russes dans cette région de Kiev.
Marina, cette mère de 3 enfants, assistante maternelle de 34 ans, serait morte de faim et de stress (aigu, post-traumatique) de guerre, d’après les médias ‘’The Daily Telegraph’’ et ‘’USA News Agency’’, bien qu’elle ait pu être victime d’une exécution, de sévices, d’un bombardement ou de dommages collatéraux d’armes russes.
Je pense que la seconde hypothèse de mort due au stress est la plus probable : comment ne pas être dans l’angoisse pathogène la plus profonde sous les bombardements, dans la terreur, avec 3 enfants, privée de tout.
Quoi qu’il en soit, cette pauvre Marina est enterrée sommairement dans le jardin de sa maison, aux côtés de la sépulture d’un de ses voisins.
Le petit Vlad, dernier né de Marina de d’Ivan Volodimirovitch Dragoun (Іван Володимирович Драгун), né le 25 décembre 1981, est parfois aux côtés de ses frères Sofia Naoumets (Софія Наумець), 13 ans, et Volodimio Naoumets (Володимио Наумець), 10 ans, sans doute nés d’une précédente union puisqu’ils portent le nom de leur mère, déposant de la nourriture sur la tombe de sa (leur) mère comme pour lui dire qu’elle n’aura plus jamais faim.
Une photo bouleversante, symbole presque pudique de la guerre en Ukraine et de ses carnages, et en particulier la boucherie de Boutcha, une photo à graver dans sa mémoire, pour une aspiration affligée et impatiente à une paix rapide et durable, une photo à méditer sans fin avec une infinie compassion, une photo pour implorer la Miséricorde de Dieu afin que cesse ce massacre fratricide insensé.
Patrick ROBLES « Parousie », le samedi 9 avril 2022.
Que par Tes mains nous soit donnée la Miséricorde Divine
pour qu’Elle sanctifie notre cœur et celui des pécheurs,
les rendant semblables à celui de Jésus.
Par Ton intercession, ô Marie,
fortifie notre foi et ravive notre charité.
Amen.
Le 11 décembre 1836, l'abbé Charles-Éléonore Dufriche-Desgenettes, curé de Notre-Dame-des-Victoires à Paris, consacra sa paroisse au Cœur Immaculé de Marie, une première pour l'époque. Son action fut en réponse à une locution intérieure qu'il aurait eu quelques jours plus tôt, lui disant :