Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)
« Cher petit Auguste (…), demande, pour (tes contemporains) le respect, l’attrait de la vocation sacerdotale ; sois le promoteur d’une éclosion de jeunes lévites* prêts à tout sacrifier pour le service de Dieu ; demande aussi pour leurs parents le sentiment de l’honneur fait à leur foyer quand un de leurs fils répond à l’appel du Seigneur. »
Source :« Le "Deo gratias" d'un "Tout petit". Auguste Magne 1920-1929 - Dessins de Maryel », par Y. d'Isné (pseudonyme d’Inès YVON, écrivaine, directrice de la revue française "Vaillante jeunesse" de 1906 à 1940) ;précédé d'un poème de Jacques Norbert : "À la mémoire d'Auguste Magne"- Collection "Parvuli", 1.
Prière pour la canonisation du Bienheureux Carlo Acutis
Ô Père, Vous qui nous avez donné le témoignage brûlant du jeune Bienheureux Carlo Acutis, lui qui a fait de l’Eucharistie le centre de sa vie et la force de son engagement quotidien, pour que les autres Vous aiment par-dessus tout, faites qu’il compte bientôt parmi les Saints de Votre Église.
Confirmez ma foi, nourrissez mon espoir, revigorez ma charité, à l’image du jeune Carlo qui, en grandissant dans ces vertus, vit maintenant avec Vous.
Accordez-moi la grâce dont j’ai tant besoin…
J’ai confiance en Vous, mon Père, et en Votre Fils bien-aimé Jésus, dans la Vierge Marie, notre plus douce Mère, et dans l’intercession de Votre serviteur, Carlo Acutis. Amen.
Ô Dieu, notre Père, merci de nous avoir donné Carlo, modèle de vie pour les jeunes, et messager d’amour pour tous.
Vous l’avez fait tomber amoureux de Votre Fils Jésus ; il a fait de l’Eucharistie sa « route vers le Ciel ».
Vous lui avez donné Marie comme une Mère bien-aimée, et vous en avez fait avec le Rosaire un chantre de Sa tendresse.
Acceptez sa prière pour nous. Regardez surtout les pauvres, qu’il a aimés et sauvés.
Moi aussi, par son intercession, je demande la grâce…
Faites en sorte que notre joie soit complète, en plaçant Carlo parmi les Saints de Votre Sainte Église, pour que son sourire brille à nouveau pour nous à la gloire de Votre Nom. Amen.
"...Hier, à Assise, a été béatifié Carlo Acutis, un garçon âgé de quinze ans, amoureux de l’Eucharistie. Il ne s’est pas contenté d’un immobilisme confortable, mais il a saisi les besoins de son temps, car il voyait le visage du Christ dans les plus faibles. Son témoignage indique aux jeunes d’aujourd’hui que le vrai bonheur se trouve en mettant Dieu à la première place et en le servant chez nos frères, en particulier les derniers. Un applaudissement pour le nouveau jeune bienheureux millennial*!..."
* Note de "Parousie" : comprenez "millénaire" (adjectif du même nom).
"...Par exemple, il est vrai que le monde numérique peut t’exposer au risque du repli sur soi, de l’isolement ou du plaisir vide. Mais n’oublie pas qu’il y a des jeunes qui sont aussi créatifs, et parfois géniaux, dans cet environnement. C’est ce que faisait le jeune Vénérable Carlo Acutis.
105. Il savait très bien que ces mécanismes de la communication, de la publicité et des réseaux sociaux peuvent être utilisés pour faire de nous des êtres endormis, dépendants de la consommation et des nouveautés que nous pouvons acquérir, obsédés du temps libre et prisonniers de la négativité. Cependant, il a été capable d’utiliser les nouvelles techniques de communication pour transmettre l’Evangile, pour communiquer valeurs et beauté.
106. Il n’est pas tombé dans le piège. Il voyait que beaucoup de jeunes, même s’ils semblent différents, finissent en réalité par se ressembler, en courant derrière ce que les puissants leur imposent à travers les mécanismes de consommation et d’abrutissement. C’est ainsi qu’ils ne laissent pas jaillir les dons que le Seigneur leur a faits ; ils n’offrent pas à ce monde ces talents si personnels et si uniques que le Seigneur a semés en chacun. Ainsi, disait Carlo, il arrive que “tous les hommes naissent comme des originaux, mais beaucoup meurent comme des photocopies”. Ne permets pas que cela t’arrive !..."
"Donné à Lorette, près du Sanctuaire de la Sainte Maison, le 25 mars, Solennité de l’Annonciation du Seigneur de l’année 2019, la septième de mon Pontificat."
"Beyond Walls", "Au-delà des Murs", projet pharaonique de l'artiste belfortain "Saype" : des mains entrelacées avec une peinture écologique et biodégradable ; un périple qui a commencé en juin 2019 au Champ-de-Mars à Paris et qui va se poursuivre pendant 5 ans dans 30 villes dans le monde, afin de symboliser la paix, la fraternité, la solidarité...
In memoriam Samuel Paty, professeur, atrocement assassiné le 16 octobre 2020 à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines - France), et en hommage à toutes les victimes de la barbarie.
Nazaire vient de Nazaréen qui signifie consacré, pur ; séparé, fleuri, ou gardant. Dans l’homme, on trouve cinq facultés : la pensée, l’affection, l’intention, l’action et la parole. Or, la pensée doit être sainte, l’affection pure, l’intention droite, l’action juste, la parole modérée. Toutes ces qualités se sont rencontrées dans le bienheureux saint Nazaire ; sa pensée fut sainte, de là il est appelé consacré ; son affection pure, et il est appelé pur ; son intention droite, de là le nom de séparé ; car l’intention détermine les œuvres. Avec un œil simple et pur, tout le corps est éclairé, et avec un œil mauvais et obscurci, tout le corps est ténébreux. Ses actions furent justes, c'est pour cela qu'il est nommé fleuri, car le juste fleurira comme le lys ; sa parole fut modérée, de là le nom de gardant, parce qu'il garda ses voies afin de ne point pécher par la langue.
Celse, excelsus, élevé, parce qu'il s'éleva au-dessus de lui-même ; par la force de son courage, il s'éleva au-dessus de la faiblesse de son jeune âge. On dit que saint Ambroise trouva la vie et la relation du martyre de ces deux saints dans le livre des saints Gervais et Protais ; mais on lit dans quelques ouvrages qu'un philosophe plein de dévotion à saint Nazaire a écrit son martyre que Cératius plaça à leur chevet en ensevelissant les corps de ces saints *.
Nazaire était fils d'un personnage très illustre, mais juif nommé Africanus, et de la bienheureuse Perpétue, femme très chrétienne et d'une famille des plus distinguées de Rome. Elle avait été baptisée par l’apôtre saint Pierre. A l’âge de neuf ans, Nazaire était fort étonné de voir son père et sa mère apporter tant de divergence dans leurs pratiques religieuses ; puisque sa mère suivait la loi du baptême et son père la loi du sabbat. Il balançait beaucoup sur le parti auquel il se rattacherait, car l’un et l’autre de ses parents s'efforçaient de l’attirer à sa croyance.
Enfin Dieu permit qu'il marchât sur les traces de sa mère, et il reçut le saint baptême du bienheureux Lin, pape. Son père, en ayant été instruit, tenta de le détourner de sa sainte résolution, en lui exposant, l’un après l’autre, les différents tourments qu'on infligeait aux chrétiens. Quant au fait de son baptême qu'on dit lui avoir été conféré par le pape saint Lin, l’on veut dire sans doute que celui-ci devait être pape plus tard, car il ne l’était pas encore.
Puisque, comme il sera facile de s'en convaincre par la suite, saint Nazaire vécut nombre d'années après son baptême et fut martyrisé par Néron qui fit crucifier saint Pierre, la dernière année de son règne ; or, saint Lin fut pape après la mort de saint Pierre. Au lieu de céder aux instances de son père, Nazaire prêchait J.-C. avec la plus grande constance ; alors ses parents, qui craignaient beaucoup qu'il ne fût tué, obtinrent par leurs prières qu'il sortirait de la ville de Rome ; il prit donc sept sommiers chargés des richesses de ses parents, parcourut les villes d'Italie et donna tout aux pauvres.
Dix ans après son départ, il vint à Plaisance et de là à Milan où il trouva détenus en prison saint Gervais et saint Protais. Or, quand on apprit que Nazaire encourageait ces martyrs, on le traîna aussitôt au préfet, et comme il persistait à confesser J.-C., il fut battu de verges et chassé de la ville. Tandis qu'il allait d'un lieu à un autre, sa mère, qui était morte, lui apparut, et après l’avoir encouragé, elle l’avertit de se diriger vers les Gaules. Quand il arriva à une ville de la Gaule nommée Gemellus **, il y convertit beaucoup de monde ; et une dame lui offrit son fils nommé Celse, qui était un charmant enfant, avec prière de le baptiser et de l’emmener avec lui.
Quand le préfet des Gaules apprit cela, il le fit prendre avec Celse ; on lui lia les mains derrière le dos, on lui attacha une chaîne au cou et on le jeta en prison afin que le lendemain il fût tourmenté dans les supplices. Mais la femme du préfet envoya dire à son mari que c'était une injustice de condamner à mort des innocents, et qu'il ne fallait pas se charger de la vengeance des dieux tout-puissants.
Le président se rendit à ces paroles ; il renvoya les saints absous, en leur recommandant expressément de ne pas prêcher dans la ville. Nazaire vint donc à Trèves où le premier, il annonça J.-C. Après y avoir converti beaucoup de personnes à la foi, il s'y bâtit une église. Corneille, vicaire de Néron, instruit de cela, le manda à cet empereur qui envoya cent hommes pour le prendre. Ils le trouvèrent à côté de l’oratoire qu'il s'était construit, lui lièrent les mains et lui dirent : « Le grand Néron t'appelle. » Nazaire leur répondit : « Un roi inconvenant a des soldats inconvenants ; car à votre arrivée, pourquoi ne m’avez-vous pas dit honnêtement : Néron t'appelle ? Je serais venu. » Ils le conduisirent donc enchaîné à Néron.
Quant au petit Celse qui pleurait, ils lui donnaient des soufflets pour le forcer de suivre. Néron, les ayant vus, les fit mettre en prison, jusqu'à ce qu'il eût réfléchi sur la manière de les faire périr. Dans cet intervalle, une fois que Néron avait envoyé des chasseurs pour prendre des bêtes sauvages, une troupe de ces animaux entra subitement dans le verger de ce prince, où elle blessa beaucoup de personnes et en tua nombre d'autres, au point que Néron, effrayé, prit la fuite et rentra dans son palais, après s'être fait une blessure au pied. La douleur le retint de longues journées couché ; enfin il se souvint de Nazaire et de Celse ; il pensa que les dieux étaient irrités contre lui pour avoir laissé vivre si longtemps ces prisonniers.
Par l’ordre donc de l’empereur, des soldats firent sortir Nazaire de la prison, en le chassant à coups de pied, et Celse en le frappant ; et ils les amenèrent devant l’empereur. Néron, voyant la figure de Nazaire brillante comme le soleil, se crut le jouet d'une illusion et lui ordonna de cesser ses sortilèges, puis de sacrifier aux dieux. Nazaire ayant été conduit au temple, pria tout le monde de se retirer, et pendant qu'il y faisait sa prière, toutes les idoles furent brisées. A cette nouvelle, Néron ordonna de le précipiter dans la mer, avec ordre de le reprendre, s'il parvenait à s'échapper, de le faire mourir ensuite dans les flammes et de jeter ses cendres dans la mer.
Nazaire donc et le jeune Celse sont embarqués sur un navire, et quand ils eurent atteint la haute mer, ils furent précipités dans les flots. Mais aussitôt, il s'éleva autour du bâtiment une tempête extraordinaire, quand le plus grand calme régnait autour des saints. Les matelots craignaient de périr et se repentaient des méchancetés qu'ils avaient commises contre les martyrs, mais voici que Nazaire, avec le petit Celse, leur apparaît marchant d'un air gai sur les eaux, et monte sur le navire (Les matelots croyaient déjà en Dieu). Nazaire, par une prière, calma les flots, et vint de là avec eux débarquer auprès de la ville de Gênes éloignée de six cents pas. Après y avoir, prêché longtemps, il vint enfin à Milan où il avait laissé saint Gervais et saint Protais.
Lorsque le préfet Anolinus l’eut appris, il l’envoya en exil et Celse resta dans la maison d'une dame. Quant à Nazaire, il revint à Rome où il trouva son père déjà parvenu à la vieillesse et chrétien. Il lui demanda comment il avait été converti. Son père lui dit que saint Pierre, apôtre, lui était apparu et lui avait donné le conseil de suivre sa femme et son fils qui l’avaient précédé dans la foi de J.-C.
Ensuite, Nazaire, après avoir éprouvé de mauvais traitements à Milan, d'où il avait été envoyé à Rome, est forcé par les prêtres des idoles de revenir et il y fut traduit devant le président avec l’enfant. On le conduisit hors de la porte de Rome dans un lieu appelé les Trois Murs, et il fut décapité avec le jeune Celse. Les chrétiens enlevèrent leurs corps et les placèrent dans leurs jardins ; mais cette nuit-là même, les martyrs apparurent à un saint homme nommé Cératius et lui recommandèrent d'ensevelir leurs corps dans un endroit retiré de sa maison, par rapport à l’empereur. Cératius leur dit : « Je vous en prie, mes seigneurs, guérissez auparavant ma fille paralytique. » Et comme elle fut guérie à l’instant, il prit leurs corps et les ensevelit comme ils le lui avaient recommandé.
Longtemps après, le Seigneur révéla à saint Ambroise ou se trouvaient leurs restes. Celui-ci laissa Celse où il était. Le corps de Nazaire fut trouvé avec son sang frais comme s'il venait d'être enseveli et répandant une merveilleuse odeur ; il était entier, sans corruption, avec ses cheveux et sa barbe. Il en fit la translation à l’église des apôtres et l’ensevelit avec honneur. Dans la suite, il fit aussi l’élévation de saint Celse qu'il plaça dans la même église.
Ils souffrirent sous Néron, qui commença, à régner vers l’an du Seigneur 57 ***.
Au sujet de ce martyr, voici ce que saint Ambroise dit dans la Préface :
« Le saint martyr Nazaire, illustre par le sang généreux qu'il a répandu, a mérité de monter au royaume du ciel. En souffrant tout ce que les tourments ont de plus cruel, il surmontait la rage des tyrans par sa constance et il ne céda jamais devant les menaces des persécuteurs, car il avait pour le soutenir au milieu de ses combats N.-S. J.-C. qui combattait avec lui.
Alors il est conduit au temple pour immoler aux idoles profanes, mais fort du secours divin, il est à peine entré que ces simulacres sont réduits par lui en poussière. Pour ce fait, il est conduit au milieu de la mer, et, soutenu par les anges, il marche à pied sec sur les flots.
O heureux et noble combattant du Seigneur, qui en attaquant le prince du monde, a rendu une multitude innombrable de peuple participante de la vie éternelle !
O grand et ineffable mystère, qu'il y ait plus de joie dans l’Église de ce qu'ils ont mérité le salut, qu'il n'y a d'allégresse dans le monde pour les avoir punis !
O bienheureuse mère qui tire de la gloire des tourments de ses enfants qu'elle conduit au tombeau sans pleurs et sans gémissements, et sans cesser de célébrer leurs louanges, quand ils sont passés aux royaumes célestes !
O témoin merveilleux, resplendissant d'un éclat céleste, dont les vertus répandent une odeur plus pénétrante et plus suave que les aromates de Saba ! » — Saint Ambroise, lors de l’invention de ce saint, le proposa comme patron, et médecin, comme le défenseur de la foi, et le champion des combats sacrés.
Elle était cachée depuis longtemps dans la poussière cette dragme trouvée avec la lumière que te prête l’assistance merveilleuse du ciel, afin, ô Jésus, que les récompenses que vous accordez à tous vos élus soient manifestées et que l’œil de l’homme puisse voir les visages des anges.
« L'endroit est isolé, la pente raide, les rochers volumineux, les abîmes impressionnants, les eaux noires. Pas âme qui vive en hiver. Imaginez le brouillard se poser sur ces terres sauvages. Le diable ne pouvait qu'y trouver asile : la légende voudrait que Satan tourmentât les habitants du lieu, effrayant les femmes et les enfants. Mais une sainte personne veillait : Saint-Nazaire. Il n'était pas homme à se laisser impressionner par le Malin. Il organisa une procession avec des habitants courageux et des enfants téméraires. Et ils rencontrèrent le Démon : Saint Nazaire lui jeta de l'eau bénite, Satan recula en ricanant et s'enfuit à grandes enjambées.
Faites à pied le parcours qui sépare le parking de la statue du saint et, sur une pierre, vous remarquerez l'empreinte du pied fourchu du Malin. Aujourd'hui, il n'existe aucune trace du village et de l'église qui occupèrent le lieu. L'endroit serait désert à tout jamais si l'abbé Boyer, curé de Saint-Julien-près-Bort*, n'avait eu l'idée de redonner vie au site : en 1894, il mit sur pied un chemin de croix et, le dimanche 28 avril 1901, 3 000 personnes vinrent se prosterner devant la statue de Saint Nazaire dressée pour l'occasion. Un pèlerinage annuel fut organisé pour le 1er dimanche de septembre. L'eau de la fontaine devant laquelle vous passerez avait la vertu de guérir de tous les maux ! »
Glorioso San Nazario, che, unitamente a San Celso, operaste infiniti miracoli a favore dei vostri veneratori, specialmente dopo che Sant’Ambrogio, trasferendo trionfalmente nella insigne basilica dei Santi Apostoli i sacri vostri corpi, ne dispensò ai devoti fedeli le gloriose reliquie; ottenete a noi tutti la grazia che, a misura del nostro fervore nell’onorare la vostra memoria, proviamo ancora l’efficacia della vostra potentissima protezione. Così sia!
8 Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier.
9 Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage.
10 Mais le septième jour est le jour du repos de l'Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes.
11 Car en six jours l'Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour : c'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du repos et l'a sanctifié.