Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)
« Je me réjouis maintenant dans mes souffrances pour vous ; et ce qui manque aux souffrances de Christ, je l'achève en ma chair, pour son corps, qui est l'Église. »
‘’I now rejoice in my sufferings for you, and fill up that which is lacking of the afflictions of Christ in my flesh, for His body’s sake, which is the church,’’
Colossians 1, 24 (21st Century King James Version)
Progressivement paralysée de la colonne vertébrale dès l’âge de 4 ans, elle revivait la Passion du Christ les vendredis, et notamment chaque 1er vendredi du mois et le Vendredi Saint.
Elle a commencé à porter en sa chair les stigmates aux mains, aux pieds, à la tête et sur le côté, le 9 juin 1944, jour de la 1ère Messe (« Messe de prémices ») de son frère prêtre, le Père Bernard Toman. Elle a également eu des traces de flagellation dans le dos.
Elle a aussi reçu la grâce d’autres charismes.
Elle a volontairement offert ses souffrances au Christ, en particulier pour son pays, pour la guérison des malades (ainsi que pour son frère Bernard qui avait du mal à marcher, et qui guérira le lendemain de l’oblation d’Anna pour lui), pour les vocations et la sainteté des prêtres, en ces temps troublés du communisme athée et anticlérical.
Le chanoine Antonín Ludvík Stříž(sur la photo ci-dessous des funérailles d’Anna)a été le dernier guide spirituel d’Anna jusqu’à la mort de la stigmatisée en 1957, à 49 ans.
Résumé de la biographie d’Anna Bohuslava Tomanová par Patrick ROBLES à partir de plusieurs sources en langue tchèque, à Montbéliard le 10 janvier 2024.
"Giungerò a Gesù per un piccolo sentiero, breve, molto breve, tracciatomi dalla piccola Teresa. Eccolo: Umiltà, Abbandono, Amore."
« Je rejoindrai Jésus par un petit sentier, bref, très bref, qui m’a été tracé par la petite Thérèse (de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face). Le voilà : Humilité, Abandon, Amour. »
En mai 1927, Cecilia commence la rédaction autobiographique de ‘’Storia di un Pagliaccio’’ (« Histoire d’un Clown »).
En effet, après une visite du Confesseur de Cecilia, le Père Alessandro Natale Roschini(Frère Gabriele Maria, O.S.M.) au Cardinal Alexis-Henri-Marie Lépicier, ce dernier avait demandé au Père Gabriele Maria de convaincre Cecilia d’écrire son autobiographie, ce qu’elle fera d’abord par (la sainte) obéissance, comme elle l’écrit dès le début de son manuscrit.
En 1927, année où Sainte Thérèse de Lisieux a été proclamée Patronne des Missions par l’Église, la sainte carmélite est apparue en rêve à CeciliaEusepi pour lui annoncer la date de sa mort prochaine, l’année d’après, en 1928 (à 18 ans et demi !), de tuberculose comme Sainte-Thérèse, un 1er octobre, jour choisi par l’Église pour fêter Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face !
Le Père (et Frère) Franco Maria Azzali, O.S.M., est le Postulateur Général de l’Ordre des Servites de Marie, et donc de la cause de la Bienheureuse Cecilia Eusepi, qui avait rejoint cet ordre à l’âge de 12 ans !
« Mamma Paolina », mère de Cecilia, née Mannucci, épouse d’Antonio Eusepi (mort un mois et demi après la naissance de Cecilia)
Elle est née le 4 juin 1864 à Monte Romano(Viterbe, Latium)
Elle est morte le 13 février 1947 à Cagli di Secchiano(Pesaro et Urbino, Marches)
Preghiere alla beata Cecilia Eusepi
Grazie, Signore, per averci fatto intravedere, attraverso la testimonianza di Cecilia Eusepi, che non ci sono limiti di età perché l’Amore possa essere scoperto, goduto, cantato.
È il dono di cui abbiamo maggiormente bisogno per sentirci vivi e apprezzare sempre e comunque la vita come il bene più grande.
Accendi di passione la nostra fede perché possa fiorire e brillare la giovinezza delle ragazze e dei ragazzi a cui la Beatificazione di questa sorella dischiude il segreto nuovo e antico della vera libertà e della gioia.
La Missione giovanile diocesana risvegli i cuori al desiderio di Te e accenda nelle nostre Comunità la speranza di una Chiesa sempre più viva e più bella.
Padre santo, che hai rivelato i misteri del tuo Figlio alla beata Cecilia, tua umile serva, donandole di viverli fedelmente, per sua intercessione, concedi a noi la sapienza del cuore, per crescere ogni giorno nell’amore di Cristo e seguirlo, come la Vergine Maria, fino alla Croce. Egli è Dio.
Lors de l'attaque terroriste massive du Hamas depuis la banda de Gaza en Israël le samedi 7 octobre 2023, Itaï et Hadar Berdichevsky, époux d'une trentaine d'années, ont mis en sécurité leurs bébés, jumeaux (jumelles ?) de 10 mois dans un mamad (miklat), dans leur kibboutz de Kfar Gaza (Kfar Aza), avant d'être assassinés par les terroristes du Hamas.
Les bébés sont restés pendant près de 14 heures enfermés seuls en sécurité, avant d'être évacués par les secours israéliens et confiés à leur grand-mère.
Meritxell de la montagne, apprenez-nous à admirer.
Meritxell des neiges, apprenez-nous à ne pas mentir, à ne pas nous mentir.
Meritxell de l'églantier, apprenez-nous la joie de donner, de nous donner.
Meritxell des narcisses des poètes*, apprenez-nous la douceur de la vie.
Meritxell du ciel pur et du soleil resplendissant, apprenez-nous la Lumière.
Meritxell, voisine des prés et des maisons de campagne, apprenez-nous la simplicité.
Meritxell de la souffrance, apprenez-nous à prier.
Meritxell des enfants, apprenez-nous à sourire.
Meritxell de la paix, apprenez-nous la solidarité.
Meritxell, Mère des Andorrans, apprenez-nous l'unité.
Meritxell, Mère de Dieu, apprenez-nous à aimer.
N.B. :Prière écrite par le Père Ramon Rossell i Serra (« Mossèn Ramon ‘’de Canillo’’»), né le 19 octobre 1939 à Bellcaire d’Urgell, ordonné en 1963, Prêtre de la paroisse de Canillo ; Recteur du Sanctuaire de Meritxell depuis 1966, initiateur en 1976 de l’œuvre AINA (‘’Casa de Colònies’’), principalement axée sur des activités d’éducation et de loisirs pour les jeunes d’Andorre et de la région. À 82 ans, il est toujours actif.
* Narcisses des poètes (‘’Narcissus poeticus’’, « grandalles » en catalan). Cette narcisse est la fleur nationale de la Principauté d’Andorre.
Avant-propos : Tous les textes de cet article et certaines photos (la photo du Père Jobic se trouve dans le tome II, p. 6) sont tirés du livre manuscrit du Père Joseph-Marie Jacq (1922-1991), le « Père Jobic(k) », « Petit Joseph » en breton, un « fascicule » inédit (et donc jamais publié) de 333 pages, achevé le jour de la Saint-Joseph, le 19 mars 1988 (p. 327) , et intitulé :
né le 27 mars 1906 à Kerveur-en-Plogoff (Finistère)
morte le 2 mai 1968 à Kerveur-en-Plogoff
sur son prie-Dieu aux pieds de la "Mère Abbesse" et de l'Enfant-Jésus
Monastère des Bénédictines du Saint-Sacrement
16, rue Tournefort - Paris 5e
photo p. 33
Hymne à la petite Olive,
l’amante de Jésus
Comme le Lys parmi les épines,
ainsi la petite Olive
parmi les filles d’Ève.
Tu es toute belle, ô Marick*,
et, hormis la tache originelle,
il n’y eut point de souillure en toi.
Tu es la Gloire de l’Église,
la Joie de la France,
l’Honneur de la Bretagne.
Tu es l’Amie de Jésus,
la Confidente de Son Cœur,
l’Apôtre du Christ-Roi,
Prince de la Paix,
Maître des Nations
et l’Avocate des pécheurs.
Ô Marick,
Ô petite Olive,
Ô Fleur de France,
épanouie au Jardin de Bretagne,
Vierge innocente et pure,
Douce petite Colombe,
Victime immolée,
Aie pitié de nous !
Tu as conservé tout l’éclat
de Ton Innocence Baptismale ;
Ô Lys bien-aimé,
Ouvre-nous l’entrée du Ciel !
Ô Heureuse Oliva**,
Petite Épouse bien-aimée de Jésus,
Enfant très chérie de Maman-Marie,
reçois les éloges
que la piété donne à tes vertus !
Puissent nos cœurs, nos esprits et nos corps
devenir purs par ton intercession !
Nos vœux et nos prières te le demandent.
Que ton sourire et ton Innocence enfantine
nous obtiennent Grâce
pour l’Éternité !
Ô Pure Marick !
Ô Douce Oliva !
Ô Aimable Lys de France !
Priez pour la France,
Sauvez la France !
« De ‘’Jobic’’ à ‘’Marick’’. »
(p. 277)
* « Marick », ‘’Petite Marie’’ en breton.
Dans cette strophe, il est fait allusion au « Tota pulchra es ».
** Oliva, sans doute en référence à l’un des attributs de la petite Olive que Jésus lui révélait en latin : « Sancta Oliva Galliaæ », ‘’Sainte Olive de France’’ (de(s) Gaule(s)).
Avec un cœur passionné et débordant de miséricorde, il s’efforçait de conduire chacun par le chemin de la confiance et de l’amour et ceux qui se sont approchés de lui ont pu goûter l’abondance de Ta tendre Miséricorde.
Son amour du Christ et de Marie Sa mère, son service ecclésial au sein de l’Ordre des Capucins et son charisme d’apôtre de l’Ordre Franciscain Séculier ont fait de lui un modèle pour notre temps.
Si telle est Ta Volonté, permets que l’Église reconnaisse sa sainteté. Accorde-nous cette faveur et cette grâce (la formuler ici) que nous Te demandons par son intercession.