Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)
The Infant Jesus, like the priests at the altar, is dressed in robes in the colour of current liturgical season according to the church calendar. Generally, four basic colours are used: white, red, purple and green.
On the day of the Coronation celebration, the Infant Jesus is dressed in royal robes with an ermine cloak. On special occasions, other colours are used: pink, gold and blue.
El Niño Jesús es como un sacerdote en el altar: cambia los colores de su vestimenta según el calendario de la iglesia. En general suele utilizar cuatro colores básicos: blanco, rojo, violeta y verde.
En el día de las fiestas de Coronación del Niño Jesús se utilizan los vestidos con vestiduras reales y el manto de armiño. En ocasiones especiales, también se utilizan otros colores: rosa, oro y azul.
BLANC : La couleur de la gloire, de la pureté, de la sainteté ; pour les célébrations, pour Noël et Pâques.
WHITE: The colour of glory, purity, and holiness; for celebrations, Christmas and Easter.
BLANCO: Color de gloria, pureza y santidad, en fiestas de Pascua y Navidad.
ROUGE : Couleur du sang et du feu ; pour la Semaine Sainte, la Pentecôte et les Fêtes de la Sainte Croix.
RED: The colour of blood and fire; for Holy Week, Pentecost and Feasts of the Holy Cross.
ROJO: El color de la sangre y del fuego; para la Semana Santa, Pentecostés y la Fiesta de la Santa Cruz.
VIOLET : Couleur de la pénitence ; pour le Carême et l’Avent.
PURPLE: The colour of penance, for Lent and Advent.
VIOLETA: Color de arrepentimiento, para el período de Adviento y Cuaresma.
VERT : Couleur de la vie et de l’espoir ; pour le temps liturgique ordinaire (couleur la plus courante).
GREEN: The colour of life and hope, for ordinary time (the most common colour).
VERDE: El color de la vida y de la esperanza, durante el entretiempo litúrgico (el color más común).
ROSE : Couleur de la joie silencieuse ; peut être utilisée lors du 3e Dimanche de l’Avent et pour le 4e Dimanche de Carême.
PINK: The colour of muted joy, can be used for the third Advent Sunday and the fourth Sunday in Lent.
ROSA: Color de la alegría silenciada, puede ser utilizado por el tercer domingo de Adviento y cuarto domingo de Cuaresma.
OR : Couleur de la fête, qui peut remplacer d’autres couleurs.
GOLD: The colour of feast, can substitute other colours.
ORO: De color festivo, puede sustituir a otros colores.
BLEU : Parfois utilisée comme couleur de célébration, en particulier pour les Fêtes mariales.
BLUE: Can be sometimes used as a celebration colour, especially for the Feast of Our Lady.
AZUL: Se utiliza a veces como un color festivo, especialmente para Fiestas Marianas.
… « La “conversion” de Jeanne Delanoue, survenue dans le temps de Pentecôte, est inséparable du sanctuaire Notre-Dame des Ardilliers, à Saumur, dont une fervente et pauvre pèlerine, Françoise Souchet, lui transmet des exhortations dans lesquelles Jeanne reconnaît l’appel de l’Esprit de charité. Jeanne Delanoue gardera une familiarité mystique avec la Vierge Marie. Et l’exemple du jeune Père Grignion de Montfort ne pouvait que l’encourager dans cette voie…
Sainte Jeanne Delanoue, la dernière de douze enfants, est venue elle aussi au secours des familles, mais ce fut dans le contexte de sa ville de Saumur, en cette fin du XVIIe siècle marquée par de grandes difficultés matérielles et sociales, aggravées par les famines, les mauvaises récoltes, les hivers rigoureux. On retiendra surtout son aide efficace aux plus pauvres. Elle qu’on connaissait surtout comme une commerçante prudente et intéressée, elle devint soudain “une très grande prodigue en la charité”, quand l’Esprit Saint, éteignant “le feu de son avarice”, lui fit comprendre que sa foi ardente requérait aussi “le feu de cette charité”, en lui découvrant l’étendue de la pauvreté. Le livre d’Isaïe nous disait à l’instant : “Partage ton pain avec celui qui a faim, recueille chez toi le malheureux sans abri, couvre celui que tu verras sans vêtements, ne te dérobe pas à ton semblable”.
C’est ce que réalise à la lettre Jeanne Delanoue : elle visite ceux qui vivent comme des bêtes dans les étables creusées dans le coteau, leur porte nourriture et vêtements, lave leurs habits et leur donne au besoin les siens, se met en peine de chauffer ces abris précaires, distribue largement à ceux qui passent, commence à les accueillir dans son propre logement, puis aménage successivement trois maisons qu’on lui prête et qu’elle nomme “Providences”, pour y recevoir des enfants orphelins, des jeunes filles livrées à elles-mêmes, des femmes dans la détresse, des vieillards, des indigents de toute sorte, saisis par la faim et le froid, bref tous ceux qui pourraient lui dire au jour du jugement : j’avais faim, soif, j’étais nu, malade, sans abri*. Elle n’aime pas faire de distinction entre les pauvres méritants ou non. Elle les secourt tous, mais elle veut aussi les faire participer aux travaux, apprendre un métier aux enfants et aux jeunes filles.
Bien plus, Jeanne Delanoue fait l’expérience des humiliations des pauvres, se risquant parfois à mendier elle-même, prenant une nourriture souvent pire que la leur, sans compter ses jeûnes continuels, ses nuits écourtées et inconfortables. Elle veut que ses Sœurs partagent la même maison que les pauvres, mangent comme eux, soient traitées comme eux en cas de maladie, et vêtues d’un humble habit gris. Quant à ses pauvres, elle sait les entourer de tendresse, parfois leur procurer des repas de fête, exige que ses Sœurs les saluent avec respect, en les servant avant elles.
Les bourgeois de sa ville, des prêtres même, critiqueront ses austérités “excessives” et ses charités “désordonnées”. Mais rien ne l’arrêtera, pas même l’effondrement de son premier logis d’accueil : “Je veux vivre et mourir avec mes chers frères les Pauvres”.
D’autres initiatives, comme celles nées de la charité de saint Vincent de Paul, s’étaient déjà répandues en France. Mais à l’époque, Saumur manquait encore d’hospice et Jeanne Delanoue voulait créer un grand service de charité pour les indigents et les malades abandonnés à eux-mêmes, organiser leur visite, et éventuellement ouvrir de petites écoles pour leurs enfants. En son temps, avec les moyens à sa disposition, elle entendait remédier à la pauvreté et au vagabondage. Son exemple ne manquera pas d’interpeller aussi notre monde moderne. Tant de pays vivent dans une grande pauvreté ! Et même les nations industrialisées n’échappent pas aux soucis matériels ; elles ont leurs pauvres, de toute sorte. On s’attachera peut-être davantage aujourd’hui à détecter les causes de ces misères, à créer des conditions plus justes pour tous, à établir des mesures de prévoyance, à aider les pauvres à se prendre eux-mêmes en charge sans se laisser seulement assister. Mais l’attention aux indigents, l’amour des pauvres, le secours immédiat et efficace demeurent aussi fondamentaux pour remédier à la dureté que connaît notre monde.
C’est à ce prix, dit Isaïe, que la “lumière se lèvera dans les ténèbres”.
Enfin, lorsque nous proclamons la sainteté de Jeanne Delanoue, il importe de chercher à comprendre le secret spirituel de son dévouement hors pair. Il ne semble pas que son tempérament la portait vers les pauvres par sentimentalisme ou par pitié. Mais, l’Esprit Saint lui fit voir le Christ dans ces pauvres, le Christ-Enfant dans leurs enfants - elle avait une dévotion particulière envers Lui -, le Christ Ami des pauvres, le Christ lui-même humilié, crucifié. Et avec le Christ, elle voulait montrer aux pauvres la tendresse du Père. A ce Dieu, elle recourait avec une audace d’enfant, attendant tout de lui, de sa Providence, nom qui devait désigner ses maisons et sa fondation à l’origine : la Congrégation de Sainte-Anne de la Providence.
Sa dévotion constante à Marie était inséparable de la Sainte Trinité. Le mystère eucharistique était aussi au cœur de sa vie. Tout cela était bien loin du jansénisme ambiant. Son attachement à l’Église la dissuadait de prendre de nouveaux chemins sans consulter ses confesseurs et l’Évêque du diocèse. Mais il serait bien insuffisant ici de parler d’une saine théologie, d’une riche spiritualité, héritée d’ailleurs du meilleur de l’Ecole française. Très vite Jeanne Delanoue a atteint, non seulement l’héroïcité des vertus évangéliques, celles du Sermon sur la montagne, mais aussi une profonde contemplation des personnes divines, avec des signes mystiques de la plus haute union à Dieu, selon la voie unitive, brûlant notamment d’amour pour Jésus, “son Époux”. C’est bien là que prennent leur inspiration et leur achèvement la “folie” de sa charité, l’audace de ses initiatives. Que l’Église d’aujourd’hui se garde de l’oublier : comme en ce XVIIe siècle finissant ou en ce début du XVIIIe, il n’y aura pas aujourd’hui de vraie réforme ni de mouvements féconds sans un authentique courant mystique !... »
Dieu, ami des humbles et des pauvres, Tu as mis en lumière la charité de Sainte Jeanne Delanoue.
Fais-nous la grâce, en vivant comme elle, de reconnaître le Christ en notre prochain et de le servir avec fidélité.
Nous te le demandons par Jésus-Christ, notre Seigneur.
Paroles de Sainte Jeanne Delanouë
« Dès aussitôt que vous serez levé(es), mettez-vous à genoux pour adorer Dieu par des paroles semblables :
‘’Je Vous adore, Ô mon Dieu, en toutes Vos grandeurs ; je Vous aime en toutes Vos bontés et je Vous loue en toutes Vos bontés et perfections et m’abandonne à Votre Esprit pour opérer en la pureté de Vos voies, ne voulant adhérer qu’à sa seule lumière et à ses mouvements.’’ »
Aux Sœurs de Jeanne Delanoue
…« Vous êtes la voix des “sans voix” que sont les pauvres, les malades, les personnes âgées, les lépreux, les handicapés, les migrants, les clochards, des villes et des campagnes, qu’il s’agisse des familles à visiter, des enfants à instruire, ou des indigents à recueillir en hospice. »…
Source :extrait du discours du Pape Jean-Paul II aux pèlerins réunis pour la canonisation des Bienheureuses Marguerite Bourgeoys et Jeanne Delanoue, le samedi 30 octobre 1982.
Vierge de la Charité del Cobre, Patronne de Cuba !
Que Dieu te sauve, Marie, pleine de grâce !
Tu es la fille aimée du Père, la Mère du Christ, notre Dieu,
le Temple vivant du Saint-Esprit.
Tu portes dans ton nom, Vierge de la Charité,
la mémoire du Dieu qui est Amour,
le souvenir du commandement nouveau de Jésus,
l’évocation du Saint-Esprit :
amour reversé dans nos cœurs,
feu de charité envoyé à la Pentecôte sur l’Église,
don de la pleine liberté des enfants de Dieu.
Tu es bénie entre toutes les femmes et Jésus,
le fruit de tes entrailles est béni !
Tu es venue rendre visite à notre peuple
et tu as voulu demeurer avec nous
comme Mère et Dame de Cuba,
au cours de ton pèlerinage sur les chemins de l’histoire.
Ton nom et ton image sont gravés
dans l’esprit et dans le cœur de tous les Cubains,
dans la Patrie et en dehors,
comme signe d’espérance
et centre de communion fraternelle.
Sainte Marie, Mère de Dieu et notre Mère !
Prie pour nous devant ton Fils Jésus Christ,
intercède pour nous avec ton cœur maternel,
inondé de la charité de l’Esprit.
Fais grandir notre foi, ravive l’espérance,
fais croître et renforce en nous l’amour.
Garde nos familles,
protège les jeunes et les enfants,
réconforte ceux qui souffrent.
Sois mère des fidèles et des pasteurs de l’Église,
modèle et étoile de la nouvelle évangélisation.
Mère de la réconciliation !
Réunis ton peuple dispersé dans le monde.
Fais de la nation cubaine
une maison de frères et de sœurs
afin que ce peuple ouvre grand son esprit,
son cœur et sa vie au Christ,
unique Sauveur et Rédempteur,
qui vit et règne avec le Père et le Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles.
Amen.
N.B : Le Pape François a fait cette prière dans le sanctuaire dédié à la Vierge de la Charité du Cuivre à Santiago de Cuba, le lundi 21 septembre 2015, lors de son voyage apostolique à Cuba du 19 au 28 septembre 2015.
Au cours de son voyage apostolique à Cuba du 21 au 26 janvier 1998, Le Pape Jean-Paul II avait déjà fait cette prière lors d'une concélébration eucharistique dans l'Archidiocèse de Santiago de Cuba, devant plus de 5000 fidèles, le samedi 24 janvier 1998, où il avait également couronné l'image miraculeuse de la Vierge Marie Patronne de Cuba, apparue en 1612 (ou 1613) à 3 personnes : Juan Moreno, âgé de 10 ans ("el negrito de la Caridad", "le petit noir de la Charité"), et à 2 frères, indiens esclaves : Juan et Rodrigo de Hoyos, qui jurèrent tous trois avoir vu de leur canoë flotter sur la mer une image de la Vierge au-dessus d'une petite planche, au lieu-dit "Cayo Francés" ("Bahía de Nipe"), où était écrit :
"Je suis la Vierge de la Charité" ("Yo soy la Virgen de la Caridad").
Oración de SS Juan Pablo II en la Celebración Eucarística en la Arquidiócesis de Santiago de Cuba, 24 de Enero de 1998
Dieu tout-puissant, avec joie vos fidèles se confient à la protection du Nom de la sainte Vierge Marie : sur son intercession bienveillante, faites donc qu’ils soient affranchis de tous les malheurs d’ici-bas et méritent d’obtenir les joies éternelles du ciel. Par notre Seigneur Jésus-Christ.
Vous êtes bénie et digne de vénération, ô Vierge Marie ! Sans que pâlit l’éclat de votre virginité, vous êtes devenue la Mère du Sauveur.
V. Vierge Mère de Dieu, celui que le monde entier ne peut contenir, en s’incarnant, s’est renfermé dans votre sein. Alléluia, alléluia.
R. Après la naissance de votre Fils, vous êtes demeurée vierge toute pure : Mère de Dieu, intercédez pour nous. Alléluia.
Hymne à la Mater Dolorosa
1. Que le soir tombe rapidement et que le soleil hâte la fin de ce jour épouvantable, alors que je rappelle la mort cruelle et le trépas humiliant de l’Homme-Dieu, ce drame divin.
2. Ô Mère, vous étiez là, présente à son supplice, accablée de douleur, mais le cœur ferme et sans défaillance, pendant que votre Fils, suspendu à la croix, poussait un grand cri.
3. Sous vos yeux, votre Fils est attaché à la Croix, labouré de coups atroces, sillonné de plaies béantes : innombrables sont les traits qui pénètrent et percent votre cœur.
4. Ô oui ! les crachats, les soufflets, les verges, les blessures, les clous, le fiel, l’aloës, l’éponge, la lance, la soif, les épines, le sang répandu, voilà les multiples douleurs qui ont cruellement blessé votre cœur.
5. Cependant, vaillante entre tous les Martyrs, la Vierge se tient debout, meurt en tant que mère, mais sans que la mort mette un terme à sa souffrance de crucifiée.
6. Gloire, louange, honneur à la Trinité divine, à qui je demande humblement, en une instante prière, de pouvoir imiter la force d’âme de Marie, par mon courage dans l’adversité. Amen.
V. Reine des Martyrs, priez pour nous.
R. Vous qui vous teniez debout au pied de la Croix de Jésus.
Mon Dieu, c’est pendant votre Passion que, selon ce qu’avait prédit Siméon, un glaive de douleur transperça l’âme très aimante de la glorieuse Vierge Marie, votre Mère : faites donc, dans votre bonté, qu’en honorant pieusement ses douleurs, nous recueillions les heureux effets de votre Passion. Vous qui, étant Dieu, vivez et régnez.
Dieu, vous avez admirablement préservé du péché originel dès sa conception la Mère de votre Fils unique : nous vous en prions, faites, que, soutenus par son intercession, nous puissions dans la pureté du cœur prendre part à sa fête. Par le même Jésus-Christ notre Seigneur.
Prières à l’Immaculée Conception
Dès l’origine, au commencement de la création, le Seigneur m’a possédée. Dès l’éternité et dès les temps anciens, avant la création du monde, le Seigneur m’a établie. Les abîmes n’étaient pas encore, et déjà j’étais conçue.
Dieu, par la Conception immaculée de la sainte Vierge, vous avez préparé une digne demeure à votre Fils, et, en prévision des mérites de la mort de ce même Fils, vous avez préservé sa mère de toute souillure : que l’intercession de celle-ci nous purifie nous aussi et nous aide à monter jusqu’à vous. Par le même Jésus-Christ notre Seigneur.
Seigneur, daignez agréer le sacrifice du salut que nous vous offrons en la solennité de la conception immaculée de la bienheureuse Vierge Marie ; faites qu’en la proclamant exempte de toute souillure par un effet de votre grâce, nous soyons, sur son intercession, délivrés de tous nos péchés. Par notre Seigneur Jésus-Christ, votre Fils.
Seigneur Dieu, faites que la réception des saints mystères nous guérisse des blessures de ce péché originel dont vous avez, par un privilège unique, préservé la Conception immaculée de la bienheureuse Vierge Marie. Par notre Seigneur Jésus-Christ.
Source :« Missel quotidien et vespéral » : page 777 (« 7 décembre - Vigile de l’Immaculée Conception de la T. Se Vierge Marie », ‘Collecte’) ; pages 779-783 (« 8 décembre – Fête de l’Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge Marie », ‘Capitule’, ‘Collecte’, ‘Secrète’ et ‘Postcommunion’) ; pages 1088-1089 (« 12 septembre - Le Saint Nom de Marie », ‘Collecte’ et ‘Graduel-Benedicta’), et pages 1093-1094 (« 15 septembre - Fête des VII Douleurs de la Très Sainte Vierge », ‘Hymne’ et ‘A la messe’) » ; éditions Brepols, Turnhout (Belgique).
Prières retranscrites en novembre-décembre 2017 par Patrick ROBLES.
Marie, toi qui es apparue à Bernadette dans le creux du rocher, dans le froid et l’ombre de l’hiver,
tu apportais la chaleur d’une présence, l’amitié d’un sourire, la lumière et la beauté de la grâce.
Dans le creux de nos vies souvent obscures, dans le creux de ce monde où le Mal est puissant, apporte l’espérance, redonne la confiance.
Toi qui as dit à Bernadette "Je suis l’Immaculée Conception", viens en aide aux pécheurs que nous sommes.
Donne-nous le courage de la conversion, l’humilité de la pénitence et la persévérance de la prière.
Nous te confions tous ceux que nous portons dans notre cœur et, particulièrement, les malades et les désespérés, toi qui es "Notre-Dame du Bon Secours".
Toi qui as guidé Bernadette à la découverte de la source, guide-nous vers Celui qui est la source de la vie éternelle, Celui qui nous a donné l’Esprit Saint pour que nous osions dire :
Notre Père qui es aux cieux.....
Très Sainte Vierge Marie, nous croyons qu’à la fin de ta vie terrestre, tu as été élevée corps et âme au Ciel, parce que tu es la Mère de Dieu, Immaculée.
La Très Sainte Trinité t'a couronnée Reine de l’univers.
Avec tous les anges et les saints du Ciel, tu intercèdes pour nous, pèlerins de la terre, et pour les âmes des défunts qui ont encore besoin de purification.
Aide-nous à orienter notre vie vers Dieu qui a un Dessein d’amour sur chacun de nous.
Aide-nous à prier, à recourir aux sacrements de l’Église et à faire le bien, pour notre bonheur véritable dès ici-bas.
Donne-nous une foi et une espérance inébranlables en l’Amour infini de Dieu, au milieu des luttes et des épreuves inévitables et nécessaires de cette vie.
Car les souffrances du temps présent ne sont rien en comparaison du bonheur qui nous attend. Amen.
Seigneur, tu appelles tous les chrétiens à être de vrais témoins de ta vie et de ton amour. Aujourd’hui, nous te rendons grâce pour nos voyants, pour leur mission de témoigner des messages de la Reine de la Paix. Nous te confions tous leurs besoins et nous prions pour chacun d’eux personnellement, afin que tu leur sois proche et qu’ils puissent sans cesse grandir dans l’expérience de Ta force. Nous te prions : guide-les à travers une prière plus profonde et plus humble vers le témoignage de plus en plus authentique de la présence de la Gospa en ce lieu. Amen.
Seigneur, Tu es la seule source de la vie, le seul qui peux étancher notre soif d’amour et d’amitié. Merci pour ton humilité par laquelle tu te donnes à ton peuple à travers la personne du prêtre qui n’est qu’un homme, par laquelle tu te donnes dans la Sainte Messe, dans les sacrements, dans la bénédiction… Aujourd’hui, nous te prions tout particulièrement pour tous les prêtres au service du sanctuaire de la Reine de la Paix, afin qu’ils puissent découvrir davantage la puissance de la foi, par laquelle tu feras tout ce qu’ils te demanderont. Fais d’eux de vrais artisans de paix, et que ce soit un fruit de leur amitié de plus en plus grande avec Toi. Amen.
Merci, Seigneur, pour ton amour ; merci pour l’appel à demeurer dans ton amour avec notre cœur et à porter beaucoup de fruit. Merci d’avoir tout particulièrement choisi cette paroisse, en lui envoyant ta Mère, la Reine de la Paix, pour – à partir de ce lieu – appeler le monde à la paix et à la réconciliation, à la conversion à travers le jeûne et la prière… Merci pour l’ouverture de chaque cœur qui a su accueillir Marie et qui est devenu son image, au service de tous ceux qui viennent en ce lieu. Aujourd’hui, nous te prions, Seigneur, de faire de cette paroisse un signe plus grand encore du Royaume de Dieu et d’aider ses habitants à être de joyeux et saints fruits de la présence de la Gospa. Amen.
Merci, Seigneur, de nous avoir donné l’Eglise pour Mère et Epouse, afin qu’elle nous conduise vers toi sur un chemin de lumière. Merci, parce qu’en elle, nous sommes tous frères et membres d’un même corps mystique. Nous te prions aujourd’hui pour tous ceux qui guident l’Eglise, afin qu’ils renouvellent intérieurement sans cesse leur alliance avec toi, la seule et vraie Tête, pour ainsi devenir de fidèles et joyeux porteurs de la paix et de la Vérité dans ce monde inquiet. Amen.
Nos vies, Seigneur, sont entre tes mains. Toi seul sais ce dont nous avons besoin pour être sauvés. Nous te remercions de nous l’apprendre ici, à Medjugorje, depuis 20 ans déjà, à travers Marie, ta Mère, qui est venue pour nous conduire sur un nouveau chemin, le chemin du salut. Bénis et fortifie tous ceux qui ont commencé à marcher ici sur le chemin de la conversion et de la prière. Fortifie leur foi, leur espérance et leur charité, afin qu’ils ne renient jamais leur alliance avec toi. Amen.
Ce n’est pas nous qui t’avons choisi, mais c’est toi, Seigneur, qui nous as choisis ! Toi seul connais tous ces petits qui recevront la révélation de ton amour à travers ta Mère, ici à Medjugorje. Nous te prions pour tous les pèlerins qui viendront ici, afin que tu protèges leurs cœurs de toute attaque satanique et que tu les rendes ouverts à toutes les inspirations de ton Cœur et du Cœur de Marie. Amen.
L’amour est le signe selon lequel on reconnaît tes disciples, Seigneur. Merci pour toute réponse d’amour faite à travers le don et le service des autres. Nous te prions pour tous les membres des groupes de prière de Medjugorje et pour tous les Centres de Paix, afin qu’ils puissent montrer ce chemin étroit, le seul qui mène à Toi. Qu’ils le fassent ensemble avec ta Mère, dans les lieux et les familles où ils vivent, avec de plus en plus de courage et de détermination. Aide-les à grandir de jour en jour jusqu’à la plénitude de ton Amour ! Amen.
Merci, Père, de nous avoir donné ton Fils et Marie, sa Mère, afin qu’aucun de ceux qui croient en eux et qui les écoutent, ne se perdent. Merci de prendre soin de chaque homme et, dans ta miséricorde, de ne juger personne. Nous te prions aujourd’hui pour tout ce que la Gospa t’a demandé, pour toutes les grâces qui se sont déversées ici et qui se sont déversées sur le monde à partir de ce lieu, afin qu’elles portent le fruit de sainteté et servent ton plan du salut. Amen.
Merci, ô Père, pour le don de la prière, par laquelle nous pouvons toucher ton cœur, la prière dans laquelle tu te donnes entièrement à nous, et nous apprends à nous donner entièrement à toi. Aujourd’hui, nous te prions pour toutes les intentions de la Reine de la Paix, pour tout ce qui est nécessaire pour que le monde, par Marie, puisse entrer dans Ta gloire, la gloire de la Très Sainte Trinité. Amen.
« Notre cher frère Slavko ! Nous rendons grâce à Dieu de t’avoir eu. Nous rendons grâce à Dieu de t’avoir appelé dans cette communauté franciscaine. Nous rendons grâce à Dieu pour tous les dons qu’il t’a accordés et que tu as utilisés au maximum. Nous rendons grâce à ta famille de t’avoir donné à cette Province, pour laquelle tu seras une des figures les plus lumineuses. Nous croyons que nous avons en toi un intercesseur au ciel, une aide et un guérisseur de toutes ces blessures qui oppressent ce peuple et cette Eglise, mais aussi un réconciliateur qui implore la paix du Christ, la paix du Christ-Roi pour nous tous. »
GOSPA/MADONNA pr. Wayne Films, New York / Marianfilm, Toronto / Jadran film, 1994. – r. Jakov Sedlar, sc. Ivan Aralica, Paul Gronseth (savjetnik na scenariju: Barry Morrow) – k. Vjekoslav Vrdoljak – gl. David Stewart, Nona Hendrix – mt. John Grover – sgf. Željko Senečić, Joso Špralja – kgf. – ul. Martin Sheen, Morgan Fairchild, Ray Girardin, Paul Guilfoyle, Michael York, George Coe, William Hootkins, Tony Zazula, Vasek C. Simek, Tonko Lonza, Boris Miholjević, Mustafa Nadarević, Božidar Orešković, Ranko Zidarić, Vanja Drach – dugometražni igrani – 35 mm, 3150 m, boja.
Many hundreds of thousands, if not millions of people, throughout the world, believe that the Blessed Virgin Mary has been appearing, since 25th June 1981, to six young people in Medjugorje, a village in Bosnia-Herzegovina.
On the second day she revealed herself to the children as being the Mother of God and the Queen of Peace. The group of six children all initially saw Our Lady daily. Currently, three of them still see her daily and the others now see her less often but at specific times during the year.
Our Lady, known as “The Gospa” to the local Croatian speakers, brings a specific and urgent message to mankind:
‘I have come to tell the world that God exists.
He is the fullness of life,
and to obtain this fullness and obtain peace,
you must return to God.’
Our Lady says that the world is in a state of crisis and that ‘Mankind must be reconciled with God, and one another.’ The messages are meant for the entire world, and as at Fatima in 1917, she restates the conditions for peace and gives us her plan. She asks us to return to God through individual conversion of the heart and she invites us to attend Holy Mass, to read Holy Scripture, to pray with the heart, to say the Rosary, to make monthly confession and also to fast. Our Lady Queen of Peace says that peace begins in our own hearts:
(Região do Centro, "Região das Beiras", Baixo Mondego - Portugal)
Prière pour la béatification de la Servante de Dieu
Sœur Marie Lucie de Jésus et du Cœur Immaculé
Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, je Vous adore profondément et je Vous rends grâce pour les apparitions de la Très Sainte Vierge à Fatima pour manifester au monde les richesses de Son Cœur Immaculé.
Par les mérites infinis du Très Sacré Cœur de Jésus et du Cœur Immaculé de Marie, je Vous prie afin que, si c’est pour Votre plus grande Gloire et pour le bien de nos âmes, Vous daigniez glorifier Sœur Lucie, pastourelle de Fatima, sur les autels de la Sainte Église, en nous accordant, par son intercession, la grâce que nous Vous demandons. Amen.
Santíssima Trindade, Pai, Filho e Espírito Santo, adoro-Vos profundamente e Vos agradeço as aparições da Santíssima Virgem em Fátima para manifestar ao mundo as riquezas do seu Coração Imaculado.
Pelos méritos infinitos do Santíssimo Coração de Jesus e do Coração Imaculado de Maria, peço-Vos que, se for para vossa maior glória e bem das nossas almas, Vos digneis glorificar, diante da Santa Igreja, a Irmã Lúcia, pastorinha de Fátima, concedendo-nos, por sua intercessão, a graça que Vos pedimos. Amem.
Pai-nosso. Avé Maria. Glória.
Com autorização eclesiástica.
Postulador da Causa de Beatificação da Irmã Lúcia:
Santísima Trinidad, Padre, Hijo y Espíritu Santo, os adoro profundamente y os agradezco las apariciones de la Santísima Virgen en Fátima para manifestar al mundo las riquezas de su Corazón Inmaculado.
Por los méritos infinitos del Santísimo Corazón de Jesús y del Corazón Inmaculado de María, os pido que, si es para vuestra mayor gloria y bien de nuestras almas, os dignéis glorificar ante la Santa Iglesia a la Hermana Lucía, pastorcita de Fátima, concediéndonos, por su intercesión, la gracia que os pedimos. Amén.
Padre Nuestro. Ave María. Gloria.
Con autorización eclesiástica.
Se ruega a quienes obtengan gracias por su intercesión las comuniquen al:
Santissima Trinità, Padre, Figlio e Spirito Santo, Ti adoro profondamente e Ti ringrazio per le apparizioni della Santissima Vergine Maria a Fatima per manifestare al mondo le ricchezze del suo Cuore Immacolato.
Per i meriti infiniti del Sacratissimo Cuore di Gesù e del Cuore Immacolato di Maria, Ti chiedo, se dovesse essere a maggior tua gloria e di beneficio alle nostre anime, di glorificare Suor Lucia, la pastorella di Fatima, concedendoci per sua intercessione la grazia che Ti chiediamo. Amen.
Padre Nostro. Ave Maria. Gloria.
Con approvazione eclesiastica.
Si prega di comunicare le grazie ricevute per sua intercessione:
Most Holy Trinity, Father, Son and Holy Spirit, I adore you profoundly and I thank you for the Apparitions of the Blessed Virgin Mary in Fatima, that revealed to the world the riches of her Immaculate Heart.
By the infinite merits of the Sacred Heart of Jesus and through the intercession of the Immaculate Heart of Mary, I implore You, if it should be for Your greater glory and the good of our souls, to glorify Sr. Lucy, one of the Shepherds of Fatima, by granting us the grace which we implore through her intercession. Amen.
Our Father, Hail Mary, Glory Be…
With Ecclesiastical approval.
Please send details of any favours received though her intercession to: