Blog Parousie de Patrick ROBLES (Puget-Théniers, Alpes-Maritimes - FRANCE)
Avant-propos : Tous les textes de cet article et certaines photos (la photo du Père Jobic se trouve dans le tome II, p. 6) sont tirés du livre manuscrit du Père Joseph-Marie Jacq (1922-1991), le « Père Jobic(k) », « Petit Joseph » en breton, un « fascicule » inédit (et donc jamais publié) de 333 pages, achevé le jour de la Saint-Joseph, le 19 mars 1988 (p. 327) , et intitulé :
« L'Âme du fond de la Bretagne.
Marie-Catherine Olive Danzé.
en religion Sœur Marie du Christ-Roi
par le Père Joseph-Marie Jacq.
M.E.P. » (Missions Étrangères de Paris).
Une copie de ce livre peut être obtenue auprès des Archives Départementales du Finistère.
Le Père Jobic a également écrit en 1989, soit environ 2 ans avant sa mort, un 2e tome manuscrit inédit de 415 pages :
1926-1927
II
Marie-Catherine Olive Danzé : 1906-1968,
en religion : Sœur Marie du Christ-Roi,
petite Fleur de France, éclose au Jardin de Bretagne. »
Remerciements à Pascale C.-B.
Marie Catherine Olive Danzé
né le 27 mars 1906 à Kerveur-en-Plogoff (Finistère)
morte le 2 mai 1968 à Kerveur-en-Plogoff
sur son prie-Dieu aux pieds de la "Mère Abbesse" et de l'Enfant-Jésus
Monastère des Bénédictines du Saint-Sacrement
16, rue Tournefort - Paris 5e
photo p. 33
Hymne à la petite Olive,
l’amante de Jésus
Comme le Lys parmi les épines,
ainsi la petite Olive
parmi les filles d’Ève.
Tu es toute belle, ô Marick*,
et, hormis la tache originelle,
il n’y eut point de souillure en toi.
Tu es la Gloire de l’Église,
la Joie de la France,
l’Honneur de la Bretagne.
Tu es l’Amie de Jésus,
la Confidente de Son Cœur,
l’Apôtre du Christ-Roi,
Prince de la Paix,
Maître des Nations
et l’Avocate des pécheurs.
Ô Marick,
Ô petite Olive,
Ô Fleur de France,
épanouie au Jardin de Bretagne,
Vierge innocente et pure,
Douce petite Colombe,
Victime immolée,
Aie pitié de nous !
Tu as conservé tout l’éclat
de Ton Innocence Baptismale ;
Ô Lys bien-aimé,
Ouvre-nous l’entrée du Ciel !
Ô Heureuse Oliva**,
Petite Épouse bien-aimée de Jésus,
Enfant très chérie de Maman-Marie,
reçois les éloges
que la piété donne à tes vertus !
Puissent nos cœurs, nos esprits et nos corps
devenir purs par ton intercession !
Nos vœux et nos prières te le demandent.
Que ton sourire et ton Innocence enfantine
nous obtiennent Grâce
pour l’Éternité !
Ô Pure Marick !
Ô Douce Oliva !
Ô Aimable Lys de France !
Priez pour la France,
Sauvez la France !
« De ‘’Jobic’’ à ‘’Marick’’. »
(p. 277)
* « Marick », ‘’Petite Marie’’ en breton.
Dans cette strophe, il est fait allusion au « Tota pulchra es ».
** Oliva, sans doute en référence à l’un des attributs de la petite Olive que Jésus lui révélait en latin : « Sancta Oliva Galliaæ », ‘’Sainte Olive de France’’ (de(s) Gaule(s)).
Détail de Soeur Olive
agrandie d'après la photo ci-dessus
« Prière pour la glorification de Sœur Marie du Christ-Roi »
« Ô Dieu,
Providence Souveraine et Père Très Miséricordieux,
Qui aimez l’Innocence et La faites recouvrer,
Vous qui avez suscité en ces derniers temps,
au fin fond de la Bretagne,
Votre humble ‘’Petite Colombe’’,
Sœur Marie du Christ-Roi,
Pour l’exaltation en ce monde
de Notre Seigneur Jésus-Christ,
Roi d’Amour et de Miséricorde,
Prince de La Paix et
Maître des Nations,
et Qui, jusqu’à sa mort,
ayant préservé avec Tendresse
l’Intégrité de Son Innocence Baptismale,
avez voulu
qu’elle devînt cette petite ‘’Olive broyée’’,
instrument privilégié
de Votre Toute-Puissance Salvatrice,
daignez nous accorder la grâce…. …. … … …
afin que,
reconnue par Notre Mère, la Sainte Église,
Sa Sainteté
brille comme l’Étoile du Matin,
à l’aube du prochain millénaire,
pour Votre plus Grande Gloire
et le Salut des âmes.
Par Jésus-Christ, Notre Seigneur et Notre Dieu,
qui vit et règne avec Vous,
dans l’Unité du Saint-Esprit,
maintenant, et pour les siècles des siècles.
Amen. »
‘’Prière à usage privé, en famille, ou en petit comité,
jusqu’à sa reconnaissance par l’Église.’’
p. 325
"Père Jobic"
né le 18 avril 1922 à Kérautret-en-Plouédern (Finistère)
mort le 14 janvier 1991 à la Maison (de retraite) Saint-Raphaël
de Montbeton (Tarn-et-Garonne) où il est enterré
photo dans tome II, p. 6
Notre-Dame des Naufragés
de la Pointe du Raz
« I(n)tro(u)n varia beg ar raz »
Refrain - Diskan
Notre-Dame de la Pointe du Raz,
Devant Vous est la mer immense ;
Sur nos barques, sur nos bateaux,
Levez Votre Main pleine de Grâces.
1.
Sur la terre de Plogoff*, à la Pointe du Raz,
De chaque côté on voit l’océan immense ;
À la Vierge Marie a été élevé
Une magnifique statue en marbre.
2.
Marie, sur son bras puissant,
Porte Son Fils Jésus ;
À Ses pieds, à demi noyé,
Un marin est agenouillé.
4.
Il voit l’Enfant-Jésus,
Si doux et si bienveillant,
Qui tend Ses petites Mains
Pour le sortir des flots.
5.
Et la Vierge, si douce, si bonne,
Comme Son Fils Jésus,
Jette un regard de pitié
Vers le pauvre naufragé.
7.
Ô Mère de Dieu, très honorée,
Vous êtes l’Étoile de la mer,
Vous êtes la Mère des Marins
Et le secours de tous les Bretons.
14.
Sur l’Océan du Monde, Ô Mère de Dieu,
Protégez bien Vos enfants,
Conduisez-les tous au Paradis,
Là où Jésus les attend.
p. 159
* On trouve aussi ‘’Plougon’’ pour traduire Plogoff
Attributs de la petite Olive
donnés par Jésus et Marie
« Petits Noms d’Amour et de Tendresse »
(Liste non exhaustive)
p. 312-315
« donnés par la Très Sainte Vierge Marie »
« donnés à Sœur Olive par Jésus Lui-même »
Sainte Olive des Gaules
(Appellation étonnante, extraordinaire, qui semble contenir toute une mission pour la France.)
Christ-Roi tel que le voyait la petite Olive
"Image peinte sur les indications de Jésus Lui-même"
p. 317
« Extrait du Colloque de Jésus avec sa ‘’petite fleur’’,
le mardi 6 septembre 1927 : »
« … Non, ma petite Reine,
Tu ne seras pas novice.
Ma Volonté est que tu restes
comme tu es.
Tu es Reine,
Tu es Sainte,
Tu es Oblate enfantine,
Tu es ma petite Fleur,
Tu ne dois pas grandir
…….
« Blanche Fleur,
Pur Lys,
Sainte Enfant,
Patronne des enfants et des innocents,
Fleur des âmes pures,
Reine de France,
Victoire des combats,
Soutien des combattants,
Modèle des enfants,
Vie sacrifiée
Voilà, ma petite Fleur, tous les titres que tu recevras bientôt, une fois absente de ce monde. »