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Blog Parousie de Patrick ROBLES (Puget-Théniers, Alpes-Maritimes - FRANCE)

Confesse ton avortement et tu sauveras ton âme !

Aiguilles-a-tricoter--non-a-l-avortement--knitting-needle.jpg

 

 

La Vie est sacrée, elle est un Don de Dieu. Un bébé conçu dans l'amour grandit dans l'amour et en l'Amour, qui est Dieu.

Aimez vos enfants, éduquez-les, ne les abandonnez pas, ne les maltraitez pas, ne les laissez pas livrés à eux-mêmes, sans amour, car c'est la certitude qu'ils tomberont entre les griffes du Malin, qu'ils développeront des déséquilibres psychiques et des pathologies parfois criminogènes.

Même un enfant non désiré ou issu d'un viol doit vivre. Il est de la responsabilité de tout un chacun, et en particulier des structures médicales et sociales, d'accompagner les futures mamans désemparées et de préserver le futur enfant béni de Dieu, qui ne demande qu'à vivre et avoir des parents d'amour, notamment des parents stériles ou altruistes qui attendent depuis très longtemps pour adopter et chérir des "petites têtes blondes".

Rien ne saurait justifier le génocide de l'avortement, ni des raisons financières, ni une soirée trop arrosée, ni des critères confessionnels, ni la jeunesse ou l'insouciance des filles enceintes, ni le refus des familles ou l'abandon du papa.

En effet, les justifications à ces crimes sont toujours égoïstes, illégitimes, criminelles et mortelles aux yeux de Dieu.

J'ACCUSE les états qui légalisent et cautionnent ce génocide, comme la France, d'être complices de génocide et de crime contre l'humanité, avec les circonstances aggravantes qu'ils sont censés être civilisés et souvent de culture chrétienne. La barbarie de l'acte d'avortement lui-même en est une illustration, bien qu'il ne soit plus éxécuté avec une aiguille à tricoter comme jadis.

 

Pour les petits bébés ! Pour la Vie ! Prolife!

 

Patrick, l'auteur du blog.

 

 

Femme-enceinte-et-le-futur-papa--parousie.over-blog.fr.jpg

 

 

 

 

  "Louise"

Gérard Berliner

 

Mais qui a soulagé sa peine,

Porté son bois, porté les seaux,

Offert une écharpe de laine

Le jour de la foire aux chevaux ?

 

Et qui a pris soin de son âme,

Et l’a bercée dedans son lit ?

Qui l’a traitée comme une femme,

Au moins une fois dans sa vie ?

 

Le bois que portait Louise,

C’est le Bon Dieu qui le portait,

Le froid dont souffrait Louise,

C’est le Bon Dieu qui le souffrait.

 

C’n’était qu’un homme des équipes,

Du chantier des chemins de fer,

À l’heure laissée aux domestiques,

Elle le rejoignait près des barrières.

 

Me voudras-tu, moi qui sais coudre,

Signer mon nom et puis compter ?

L’homme à sa taille sur la route

Passait son bras, la promenait.

 

L’amour qui tenait Louise,

C’est le Bon Dieu qui le tenait,

Le regard bleu sur Louise,

C’est le Bon Dieu qui l’éclairait.

 

Ils sont partis vaille que vaille,

Mourir quatre ans dans les tranchées,

Et l’on raconte leurs batailles

Dans le salon après le thé.

 

Les lettres qu’attendait Louise,

C’est le Bon Dieu qui les portait,

La guerre qui séparait Louise,

C’est le Bon Dieu qui la voyait.

 

Un soir d’hiver sous la charpente,

Dans son lit-cage elle a tué

L’amour tout au fond de son ventre,

Par une aiguille à tricoter.

 

 

Foetus--parousie.over-blog.fr.jpg

 

 

Si je vous garde Louise en place,

C’est en cuisine, pas devant moi,

Ma fille prie très fort pour que s’efface

Ce que l’curé m’a appris là.

 

Et la honte que cachait Louise,

C’est le Bon Dieu qui l’a cachée,

Le soldat qu’attendait Louise,

C’est le Bon Dieu qui l’a vu tomber.

 

Y a cinquante ans, c’était en France,

Dans un village de l’Allier,

On n’accordait pas d’importance

  À une servante sans fiancé.

 

Le deuil qu’a porté Louise,

C’est le Bon Dieu qui l’a porté,

La vie qu’a travaillé Louise,

C’est le Bon Dieu qui l’a aidée.

 

 

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