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Blog Parousie de Patrick ROBLES (Puget-Théniers, Alpes-Maritimes - FRANCE)

Les 70 miraculés reconnus de Lourdes

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Maria Bernada Sobirós

Sainte-Bernadette éternelle

 

 

 

Source de l'article : http://fr.lourdes-france.org

 

 

N'oublions pas les millions de dévots et pèlerins de Lourdes qui ont été guéris, notamment psychologiquement, réconfortés, qui ont pardonné ou été convertis ; sans parler des innombrables guérisons physiques depuis 1858, qui n'ont pas fait l'objet d'examens officiels approfondis.

 

Patrick, l'auteur du blog

 

 

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Notre-Dame de Lourdes

Gibraltar

 

 

 

Sur quelque 7000 dossiers de guérison déposés à Lourdes depuis les apparitions, 67 cas ont à ce jour été reconnus miraculeux par l'Eglise.

 

 

PETITES STATISTIQUES

SUR LES 67 MIRACULÉS

 

 

80% des miraculés sont des femmes.

 

Le plus jeune miraculé avait 2 ans.

 

Les pays d'origine des miraculés sont la France (55 miraculés), l'Italie (6), la Belgique (3), l'Allemagne (1), l'Autriche (1) et la Suisse (1).

 

6 miraculés affirment avoir été guéris par l’intercession de Notre-Dame de Lourdes alors qu’ils n’étaient pas venus à Lourdes.

 

La majorité des miraculés a été guérie au contact de l'eau de Lourdes (49 miraculés parmi lesquels 39 guéris aux piscines).

 

 

 

68ème miraculé de Lourdes

 

Dimanche 27 mars 2011, Mgr Emmanuel Delmas, évêque du diocèse d'Angers (Maine-et-Loire, France), a reconnu la guérison "remarquable" à Lourdes (le 12 avril 2002) de Serge François. Voici la déclaration de Mgr Delmas.

 

La déclaration qui suit concerne la guérison dont a bénéficié à Lourdes, en 2002, un homme du diocèse d’Angers, domicilié à La Salle-et-Chapelle-Aubry.

 

 

LE FAIT DE LA GUÉRISON

 

Le 12 avril 2002, à Lourdes, au cours du pèlerinage diocésain auquel il participait comme « hospitalier-malade », M. Serge François, alors âgé de 56 ans, a été guéri d’une maladie invalidante dont il souffrait depuis plusieurs années. Cette maladie a été identifiée par les médecins comme étant une algie sciatique de topographie S1 gauche qui nécessitait un important traitement antalgique quotidien et était cause d’une invalidité lombaire marquée, occasionnant un retentissement sur son caractère. Les médecins, qui l’ont examiné après l’événement survenu à Lourdes, en 2002, ont constaté que cette guérison avait été subite, complète sur le plan fonctionnel, sans relation avec une thérapeutique particulière, et durable jusqu’à ce jour, soit depuis huit ans.

 

 

L'INTERPRÉTATION CHRÉTIENNE DE CETTE GUÉRISON

 

En tant qu’évêque du diocèse d’Angers, où réside M. Serge François, j’ai aujourd’hui la responsabilité de faire connaître l’interprétation que l’Eglise se juge autorisée à donner à cette guérison subite, inattendue et durable. Cette interprétation s’appuie sur le témoignage donné par M. Serge François lui-même, à la suite de l’événement survenu pour lui ; à Lourdes, le 12 avril 2002. Elle comporte une lecture et une compréhension de ce témoignage à la lumière de la foi. Il est certain que M. Serge François a été totalement et durablement guéri à Lourdes, c’est-à-dire qu’il a été délivré du mal dont il souffrait et qu’il mène une vie normale sans aucun traitement. Après des expertises approfondies, le Comité Médical International de Lourdes (CMIL) a conclu qu’il s’agissait « d’une observation remarquable », d’une guérison inexpliquée, dans l’état actuel de la science. C’est pourquoi, après avoir pris connaissance des conclusions du Comité Médical International de Lourdes (CMIL) et après avoir entendu une commission canonique réunie le 30 septembre 2010, Au nom de l’Eglise, je reconnais publiquement le caractère « remarquable » de la guérison dont a bénéficié Monsieur Serge François, à Lourdes, le 12 avril 2002. Cette guérison peut être considérée comme un don personnel de Dieu pour cet homme, comme un événement de grâce, comme un signe du Christ Sauveur".

 

S’étant produite au cours d’un pèlerinage à Lourdes, au moment où M. Serge François après avoir prié devant la Grotte et s’être rendu aux fontaines pour boire et se laver le visage, quittait le domaine, on peut voir dans cette guérison une prévenance particulière de la Vierge Marie à l’égard de cet homme. Cette reconnaissance publique sera proclamée le 27 mars 2011, au cours d’une célébration eucharistique dans le sanctuaire de Notre-Dame des Gardes. J’invite tous les fidèles à rendre grâce pour cet événement et à s’unir d’intention, lors de l’eucharistie qui sera célébrée au cours du pèlerinage diocésain à Lourdes, du 3 au 8 mai 2011, lieu privilégié de l’humble prière à Marie et avec Marie.

 

Fait à Angers, le 27 mars 2011

Mgr Emmanuel Delmas, évêque d’Angers (France)

 

 

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Serge François

 

 

 

69ème et 70ème miraculées

article du blog mis à jour le 6 octobre 2012

 

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Danila Castelli et Notre-Dame de Lourdes

 

 

Guérison de Mme Danila CASTELLI, née le 16 janvier 1946, vivant à Bereguardo (Pavia - Italie)

Date de la guérison : le 4 mai 1989 - Déclaration de la guérison : août 1989

Mme Castelli a mené jusqu'à l'âge de 35 ans (1981) une vie plus ou moins normale, quand elle a commencé à manifester des crises hypertensives spontanées graves. Elle a effectué quelques examens de laboratoire et de radiologie suspectant un phéochromocytome. Les résultats se sont révélés tous négatifs. En 1982, les examens radiologiques et les échographies mettent en évidence une masse para-utérine droite et un utérus fibromateux. La patiente a subi une hystérectomie et une annexectomie droite. En novembre 1982, pancréatectomie partielle. Nouveau scanner en 1983. On a ensuite réalisé une scintigraphie avec méta-I-131 benzilguanidine dans l'espace vésico-rectal, la vessie et le vagin.

Plusieurs interventions chirurgicales ont été réalisées dans l'espoir d'éliminer les points provoquant les crises jusqu'en 1988. Pas de résultats cliniques. Le seul traitement contre les crises de tension artérielle (>22/12) est le régitin (nom générique : fentolamine) qui est un antagoniste alpha-adrénergique non sélectif.

En mai 1989, durant un pèlerinage à Lourdes, Mme Castelli ressent un extraordinaire bien être. Elle vient déclarer au Bureau des constatations médicales du sanctuaire de Lourdes avoir été guérie le 4 mai 1989 de « hypertension artérielle avec de graves et récurrentes crises hypertensives (néoplasie endocrine produisant catécholamines ou hypertension d'autre nature). » Depuis ce moment, Mme Castelli a pu reprendre une vie normale.

Première réunion du Bureau des constatations médicales le 12 octobre 1989 (décision d'ouvrir un dossier).

Autres réunions du Bureau des constatations médicales : le 13 avril 1992 (on décide d'obtenir un complément d'information afin d'approfondir le dossier) ; le 12 octobre 1994 et le 4 août 1997.

Cinquième réunion du Bureau des constatations médicales, le 29 septembre 2010. Le Bureau a confirmé la guérison par un vote formel et unanime : « Mme Castelli est guérie, du syndrome dont elle souffrait depuis son pèlerinage à Lourdes il a vingt-et-un ans, en 1989, et sans améliorations liées aux interventions et aux traitements ».

 

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Le CMIL (Comité Médical International de Lourdes), dans sa séance du 19 novembre 2011 à Paris, d'après le rapport du Professeur Fausto Santeusanio, par vote secret avec plus des deux tiers des voix, a certifié que le mode de cette guérison reste inexpliqué dans l'état actuel des connaissances scientifiques.


 

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Soeur Luigina Traverso

 

 

Guérison de Sœur Luigina Traverso, née le 22 août 1934 à Novi Ligure (Alessandria - Italie)

Date de la guérison : le 23 juillet 1965 - Déclaration de la guérison : juillet 1965

Sœur Traverso a mené une vie complètement normale, sans aucun problème et en bonne santé jusqu'en 1960, quand elle a ressenti une douleur intense dans la jambe gauche et en 1961, à l'Institut orthopédique G. P. de M., on a diagnostiqué les prémisses d'une lombosciatique gauche paralysante. Les symptômes persistent. En 1962, elle est à nouveau hospitalisée afin de lui placer un corset plâtré. Les symptômes s'aggravent jusqu'en 1963. Elle est alors admise à l'hôpital civil de T. où elle commence un traitement intra-thécal, à base de cortisone. Pas d'amélioration. Lasègue : positif. Finalement, elle a subi une hémi-laminectomie L4-L5 par voie extradurale d'une hernie discale. Pas de rémission des symptômes douloureux. Plusieurs interventions chirurgicales sur la colonne vertébrale n'améliorent ni les fonctions orthopédiques et neurochirurgicales ni l’état clinique. Son état clinique oblige la patiente à rester alitée pendant la plus grande partie de la journée en position antalgique. Au contrôle clinique du 30 juin 1965, on note : « Patiente en souffrance : pâle, tension basse, cicatrice chirurgicale fraîche et sèche avec douleurs au toucher, signe de Delitala positif. Raideur et contraction du trait lombosacré de la colonne vertébrale. Mobilité du pied réduite par paresthésie du muscle tibial antérieur, extenseur du gros orteil, extenseur commun des orteils, diminution de force du triceps sural et du tibial postérieur. Péroné inerte. Position fœtale obligatoire ».

Elle demande alors à sa Mère supérieure l'autorisation d'aller à Lourdes en pèlerinage. Elle part en juillet 1965 (du 20 au 26). Elle participe à toutes les célébrations en brancard, car elle ne peut pas se tenir droite. Sœur Traverso pendant la célébration de l'Eucharistie, au passage du Très Saint Sacrement, a ressenti une forte sensation de chaleur et de bien être avec l'envie de se lever et soudainement la reprise de la mobilité du pied et la disparition de la douleur.

Deuxième visite au Bureau des constatations médicales du sanctuaire de Lourdes le 28 juillet 1966 et première réunion du Bureau des constatations médicales le 28 juillet 1966 (décision d'ouvrir un dossier).

Deuxième réunion du Bureau des constatations médicales le 31 juillet 1984.

Troisième réunion du Bureau des constatations médicales le 28 juillet 2010 (convoqué pour la présentation de nouveaux scanners, IRM rachis lombo-sacré 22.02.2010, scanner lombo-sacré 29.10.2009). Le Bureau des constatations médicales a confirmé la guérison par un vote formel et unanime.

Le CMIL (Comité Médical International de Lourdes), dans sa séance du 19 novembre 2011 à Paris, d'après le rapport du Professeur Franco Balzaretti (qui avait obtenu en octobre 2010, en complément de dossier, un électromyogramme ainsi que des expertises neurologiques, neurochirurgicales et orthopédiques et un examen collégiale, le 30 avril 2011, avec lui même et des spécialistes chirurgiens et un médecin spécialiste en rhumatologie) par vote secret, avec plus des deux tiers des voix, a certifié que le mode de cette guérison reste inexpliqué dans l'état actuel des connaissances scientifiques.

 

Source : Site officiel du Sanctuaire de Lourdes

 

 

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Voir "Lourdes Magazine" n°188 (pages 34-35)

 

 

 

 

 

 

Sœur Marie Simon-Pierre,

la miraculée du Pape Jean-Paul II

 

 

 

67 miraculés reconnus

 

- Catherine LATAPIE de Loubajac (France). Paralysie de type cubital, par élongation traumatique du plexus brachial, depuis 18 mois. 38 ans environ au 01-03-1858. Diocèse et date de reconnaissance : Tarbes, Mandement de Mgr Laurence, du 18-01-1862.

 

Le jour de sa guérison, elle accouche d'un futur prêtre

Dans la nuit du 28 février 1858, mue par une inspiration soudaine, Catherine se lève à 3 heures du matin, réveille ses jeunes enfants et se met en route à pied pour Lourdes. Depuis pratiquement deux ans, son rôle de mère de famille est devenu trop lourd à porter. Elle doit assumer ses tâches comme avant, malgré l’invalidité de sa main droite après cette chute d'un arbre, en octobre 1856. A l'aube du 1er mars 1858, elle arrive à la Grotte, s'agenouille et prie. Et puis très simplement, elle baigne sa main dans ce mince filet d’eau boueuse qu’est encore la source, seulement trois jours après sa mise à jour par Bernadette sur les indications de « la dame ». Aussitôt ses doigts se redressent et retrouvent leur souplesse. Elle peut à nouveau les allonger, les fléchir, s'en servir avec autant de facilité qu'avant l'accident. Mais elle doit entrer chez elle… et le jour même - c’est ce qui permet d’affirmer le jour de sa guérison – elle met au monde son troisième enfant, Jean-Baptiste, qui, en 1882, deviendra prêtre.

 

- Louis BOURIETTE de Lourdes (France). Traumatisme de l'oeil droit datant de 20 ans, avec amaurose depuis 2 ans. 54 ans en mars 1858. Diocèse et date de reconnaissance : Tarbes, Mandement de Mgr Laurence, du 18-01-1862.

 

- Blaisette CAZENAVE de Lourdes (France). Chémosis ou ophtalmie chronique, avec ectropion depuis trois années. 50 ans environ en mars 1858. Diocèse et date de reconnaissance : Tarbes, Mandement de Mgr Laurence, du 18-01-1862.

 

- Henri BUSQUET de Nay (France). Adénite fistulisée (sans doute tuberculeuse) base du cou, depuis 15 mois. 15 ans environ au 28-04-1858. Diocèse et date de reconnaissance : Tarbes, Mandement de Mgr Laurence, du 18-01-1862.

 

- Justin BOUHORT de Lourdes (France). Hypothrepsie chronique post infectieuse, avec retard du développement moteur. Diagnostic d'alors : "consomption". 2 ans au 06-07-1858. Diocèse et date de reconnaissance : Tarbes, Mandement de Mgr Laurence, du 18-01-1862.

 

- Madeleine RIZAN de Nay (France). Hémiplégie gauche depuis 24 ans. 58 ans environ au 17-10-1858. Diocèse et date de reconnaissance : Tarbes, Mandement de Mgr Laurence, du 18-01-1862.

 

- Marie MOREAU de Tartas (France). Diminution très importante de la vue, avec lésions inflammatoires, surtout oeil droit, évoluant depuis 10 mois. 17 ans environ au 09-11-1858. Diocèse et date de reconnaissance : Tarbes, Mandement de Mgr Laurence, du 18-01-1862.

 

- Pierre DE RUDDER de Jabbeke (Belgique). Fracture ouverte de la jambe gauche, avec pseudarthrose. 52 ans au 07-04-1875. Diocèse et date de reconnaissance : Bruges (Belgique) 25-07-1908.

 

- Joachime DEHANT de Gesves (Belgique). Ulcère de jambe droit avec gangrène très étendue. 29 ans au 13-09-1878. Diocèse et date de reconnaissance : Namur (Belgique) 25-04-1908.

 

- Elisa SEISSON de Rognonas (France). Hypertrophie coeur, oedèmes membres inférieurs. 27 ans au 29-08-1882. Diocèse et date de reconnaissance : Aix-en-Provence 02-07-1912.

 

- Soeur Eugenia (Marie MABILLE) de Bernay (France). Abcès du petit bassin avec fistules vésicale et colique. Phlébite bilatérale. 28 ans au 21-08-1883. Diocèse et date de reconnaissance : Evreux 30-08-1908.

 

- Soeur Julienne (Aline BRUYERE) de La Roque (France). Tuberculose pulmonaire cavitaire. 25 ans au 01-09-1889. Diocèse et date de reconnaissance : Tulle 07-03-1912.

 

- Soeur Joséphine-Marie (Anne JOURDAIN) de Goincourt (France). Tuberculose pulmonaire. 36 ans au 21-08-1890. Diocèse et date de reconnaissance : Beauvais 10-10-1908.

 

- Amélie CHAGNON (religieuse du Sacré-Coeur au 25-09-1894) de Poitiers (France). Ostéo-arthrites tuberculeuses genou et pied (2ème métatarsien). 17 ans au 21-08-1891. Diocèse et date de reconnaissance : Tournai (Belgique) 08-09-1910.

 

- Clémentine TROUVE (Soeur Agnès-Marie) de Rouille (France). Ostéo-périostite du pied droit fistulisé. 14 ans au 21-08-1891. Diocèse et date de reconnaissance : Paris 06-06-1908.

 

- Marie LEBRANCHU (Mme Wuiplier) de Paris (France). Tuberculose pulmonaire (expectoration avec Bacilles de Koch). 35 ans au 20-081892. Diocèse et date de reconnaissance : Paris 06-06-1908.

 

- Marie LEMARCHAND (Mme Authier) de Caen (France). Tuberculose pulmonaire avec ulcères visage et jambe. 18 ans au 21-08-1892. Diocèse et date de reconnaissance : Paris 06-06-1908.

 

- Elise LESAGE de Bucquoy (France). Ostéo-arthrite tuberculeuse du genou. 18 ans au 21-08-1892. Diocèse et date de reconnaissance : Arras 04-02-1908.

 

- Soeur Marie de la Présentation (Sylvanie DELPORTE) de Lille (France). Gastro-entérite chronique tuberculeuse. 46 ans au 29-08-1892. Diocèse et date de reconnaissance : Cambrai 15-08-1908.

 

- Abbé CIRETTE de Beaumontel (France). Sclérose spinale antéro-latérale. 46 ans au 31-08-1893. Diocése et date de reconnaissance : Evreux 11-02-1907.

 

- Aurélie HUPRELLE de Saint-Martin-le-Noeud (France). Phtisie pulmonaire aiguë. 26 ans au 21-08-1895. Diocèse et date de reconnaissance : Beauvais 01-05-1908.

 

- Esther BRACHMANN de Paris (France). Péritonite tuberculeuse. 15 ans au 21-08-1896. Diocèse et date de reconnaissance : Paris 06-06-1908.

 

- Jeanne TULASNE de Tours (France). Mal de Pott lombaire, avec pied bot névropathique. 20 ans au 08-09-1897. Diocése et date de reconnaissance : Tours 27-10-1907.

 

- Clémentine MALOT de Gaudechart (France). Tuberculose pulmonaire hémoptoïque. 25 ans au 21-08-1898. Diocése et date de reconnaissance : Beauvais 01-11-1908.

 

- Rose FRANCOIS de Paris (France). Phlegmon fistulisé bras droit avec énorme oedème. 36 ans au 20-08-1899. Diocèse et date de reconnaissance : Paris 06-06-1908.

 

- Révèrend Père SALVATOR de Rouelle (France). Péritonite tuberculeuse. 38 ans au 25-06-1900. Diocèse et date de reconnaissance : Rennes 01-07-1908.

 

- Soeur Maximilien (religieuse de l'Espérance) de Marseille (France). Kyste hydatique du foie, phlébite membre inférieur gauche. 43 ans au 20-05-1901. Diocèse et date de reconnaissance : Marseille 05-02-1908.

 

- Marie SAVOYE de Cateau-Cambresis (France). Mitralite rhumatismale décompensée. 24 ans au 20-09-1901. Diocèse et date de reconnaissance : Cambrai 15-08-1908.

 

- Johanna BEZENAC de Saint-Laurent-des-Bâtons (France). Cachexie de cause inconnue, impétigo paupières et front. 28 ans au 08-08-1904. Diocèse et date de reconnaissance : Périgueux 02-07-1908.

 

- Soeur Saint-Hilaire (Lucie JUPIN) de Peyreleau (France). Tumeur abdominale. 39 ans au 20-08-1904. Diocèse et date de reconnaissance : Rodez 10-05-1908.

 

- Soeur Sainte-Béatrix (Rosalie VILDIER) d'Evreux (France). Laryngo-bronchite, probablement tuberculeuse. 42 ans au 31-08-1904. Diocèse et date de reconnaissance : Evreux 25-03-1908.

 

- Marie-Thérèse NOBLET d'Avenay (France). Spondylite dorso-lombaire. 15 ans au 31-08-1905. Diocèse et date de reconnaissance : Reims 11-02-1908.

 

- Cécile DOUVILLE DE FRANSSU de Tournai (Belgique). Péritonite tuberculeuse. 19 ans au 21-09-1905. Diocèse et date de reconnaissance : Versailles 08-12-1909.

 

- Antonia MOULIN de Vienne (France). Fistule ostéite fémur droit, avec arthrite genou. 30 ans au 10-08-1907. Diocèse et date de reconnaissance : Grenoble 06-11-1910.

 

- Marie BOREL de Mende (France). Six fistules pyo-stercorales, régions lombaire et abdominale. 27 ans au 21/22-08-1907. Diocèse et date de reconnaissance : Mende 04-06-1911.

 

- Virginie HAUDEBOURG de Lons-le-Saulnier (France). Cystite tuberculeuse, néphrite. 22 ans au 17-05-1908. Diocèse et date de reconnaissance : Saint-Claude 25-11-1912.

 

- Marie BIRE de Sainte-Gemme-la-Plaine (France). Cécité d'origine cérébrale, atrophie papillaire bilatérale. 41 ans au 05-08-1908. Diocèse et date de reconnaissance : Luçon 30-07-1910.

 

- Aimée ALLOPE de Vern (France). Nombreux abcès tuberculeux, dont 4 fistulisés, paroi abdominale antérieure. 37 ans au 28-05-1909. Diocèse et date de reconnaissance : Angers 05-08-1910.

 

- Juliette ORION de Saint-Hilaire-de-Voust (France). Tuberculose pulmonaire et laryngée, mastoïdite gauche suppurée. 24 ans au 22-07-1910. Diocèse et date de reconnaissance : Luçon 18-10-1913.

 

- Marie FABRE de Montredon (France). Entérite muco-membraneuse, prolapsus utérin. 32 ans au 26-09-1911. Diocèse et date de reconnaissance : Cahors 08-09-1912.

 

- Henriette BRESSOLLES de Nice (France). Mal de Pott, paraplégie. 28 ans environ au 03-07-1924. Diocèse et date de reconnaissance : Nice 04-06-1957.

 

- Lydia BROSSE de Saint-Raphaël (France). Fistules tuberculeuses multiples, avec vastes décollements (région fessière G.). 41 ans au 11-10-1930. Diocèse et date de reconnaissance : Coutances 05-08-1958.

 

- Soeur Marie-Marguerite (Françoise CAPITAINE) de Rennes (France). Abcès du rein gauche avec oedème phlycténulaire et "crises cardiaques". 64 ans au 22-01-1937. Diocèse et date de reconnaissance : Rennes 20-05-1946.

 

- Louise JAMAIN de Paris (France). Tuberculose pulmonaire, intestinale, péritonéale. 22 ans au 01-04-1937. Diocèse et date de reconnaissance : Paris 14-12-1951.

 

 

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- Francis PASCAL de Beaucaire (France). Cécité, paralysie des membres inférieurs. 3 ans 10 mois au 31-08-1938. Diocèse et date de reconnaissance : Aix-en-Provence 31-05-1949.

 

Il recouvre la vue et se remet à marcher !

C’est la deuxième guérison d'un tout petit enfant, parmi la liste des miraculés. Son histoire n’est révélée que huit ans après les faits en raison de la Seconde Guerre mondiale. En décembre 1937, une méningite vient briser le cours de la jeune existence de Francis. A 3 ans et 3 mois, les séquelles que cette terrible maladie charrient sont bien lourdes à porter pour lui et sa famille : paralysie des membres inférieurs et, à un moindre degré, des membres supérieurs, et perte de la vue. Le corps médical lui donne une toute petite espérance de vie… Et ceci est certifié par une bonne dizaine de médecins, qui ont été consultés avant que l'enfant soit amené dans cet état à Lourdes, à la fin août 1938. C'est à la suite du deuxième bain que l’enfant recouvre la vue, et que sa paralysie disparaît. Dès son retour chez lui, il est à nouveau examiné par des médecins. Ils parlent alors de guérison certaine et médicalement inexplicable.

 

 

Notre-Dame du Laus, Lourdes des Alpes

 

 

- Gabrielle CLAUZEL d'Oran (Algérie). Spondylose rhumatismale. 49 ans au 15-08-1943. Diocèse et date de reconnaissance : Oran (Algérie) 18-03-1948.

 

- Yvonne FOURNIER de Limoges (France). Syndrome extenso-progressif post-traumatique du membre supérieur gauche. (Syndrome de Leriche). 22 ans au 19-08-1945. Diocèse et date de reconnaissance : Paris 14-11-1959.

 

- Rose MARTIN de Nice (France). Cancer col utérus (épithélioma glandulaire cylindrique). 46 ans au 03-07-1947. Diocèse et date de reconnaissance : Nice 17-03-1958.

 

- Jeanne GESTAS de Bègles (France). Troubles dyspeptiques, avec accidents occlusifs post-opératoires. 50 ans au 22-08-1947. Diocèse et date de reconnaissance : Bordeaux 13-07-1952.

 

- Marie-Thérèse CANIN de Marseille (France). Mal de Pott dosso-lombaire et péritonite tuberculeuse fistulisée. 37 ans au 09-10-1947. Diocèse et date de reconnaissance : Marseille 06-06-1952.

 

- Maddalena CARINI de San Remo (Italie). Tuberculose péritonéale, pleuro-pulmonaire et osseuse, avec coronarite. 31 ans au 15-08-1948. Diocèse et date de reconnaissance : Milan (Italie). 02-06-1960.

 

- Jeanne FRETEL de Rennes (France). Péritonite tuberculeuse. 34 ans au 08-10-1948. Diocèse et date de reconnaissance : Rennes 20-11-1950.

 

- Théa ANGELE (Soeur Marie-Mercédes) de Tettnang (Allemagne). Sclérose en plaques, depuis six ans. 20 ans au 20-05-1950. Diocèse et date de reconnaissance : Tarbes-Lourdes 28-06-1961.

 

- Evasio GANORA de Casale (Italie). Maladie de Hodgkin. 37 ans au 02-06-1950. Diocèse et date de reconnaissance : Casale (Italie) 31-05-1955.

 

- Edeltraud FULDA de Vienne (Autriche). Maladie d'Addison. 34 ans au 12-08-1950. Diocèse et date de reconnaissance : Vienne (Autriche) 18-05-1955.

 

- Paul PELLEGRIN de Toulon (France). Fistule post-opératoire d'un abcès du foie. 52 ans au 03-10-1950. Diocèse et date de reconnaissance : Fréjus-Toulon 08-12-1953.

 

- Frère Léo SCHWAGER de Fribourg (Suisse). Sclérose en plaques depuis cinq ans. 28 ans au 30-04-1952. Diocèse et date de reconnaissance : Genève (Lausanne) Fribourg (Suisse). 18-12-1960.

 

- Alice COUTEAULT de Bouille-Loretz (France). Sclérose en plaque depuis trois ans. 34 ans au 15-05-1952. Diocèse et date de reconnaissance : Poitiers 16-07-1956.

 

- Marie BIGOT de La Richardais (France). Arachnoïdite fosse postérieure (cécité, surdité, hémiplégie). 31 ans au 08-10-1953 et 32 ans au 10-10-1954. Diocèse et date de reconnaissance : Rennes 15-08-1956.

 

- Ginette NOUVEL de Carmaux (France). Maladie de Budd-Chiari. (Thrombose veines sus-hépatiques). 26 ans au 21-09-1954. Diocèse et date de reconnaissance : Albi 31-05-1963.

 

- Elisa ALOI de Patti (Italie). Tuberculose ostéo-articulaire et fistules à localisations multiples du membre inférieur droit. 27 ans au 05-06-1958. Diocèse et date de reconnaissance : Messine (Italie) 26-05-1965.

 

- Juliette TAMBURINI de Marseille (France). Ostéo-périostite fémorale fistulisée, épistaxis datant de dix ans. 22 ans au 17-07-1959. Diocèse et date de reconnaissance : Marseille 11-05-1965.

 

- Vittorio MICHELI de Scurelle (Italie). Sarcome de la hanche gauche. 23 ans au 01-06-1963. Diocèse et date de reconnaissance : Trento 26-05-1976.

 

Le chasseur alpin et le redoutable cancer

Qui pourrait se douter que le brancardier Vittorio Micheli est le 63ème miraculé de Lourdes, lui qui est si discret et si souvent à Lourdes pour servir avec simplicité les malades ? En 1962, le jeune chasseur alpin Micheli est admis à l’hôpital de Vérone, en Italie. Il souffre terriblement d’une hanche. Le diagnostic tombe peu après, comme un couperet : la cause du mal est une tumeur cancéreuse redoutable, un sarcome. Quand Vittorio arrive à Lourdes en 1963, son articulation est très atteinte. Pendant son pèlerinage, rien de notable, sinon qu’il est baigné dans l’eau de Lourdes. A son retour, on l’oblige à réintégrer l’hôpital militaire. Des contrôles radiographiques y sont effectués, et inexplicablement, ils sont interprétés de façon erronée. Ce n’est que six mois plus tard que l’état général excellent de Vittorio suscite l’interrogation… les examens montrent une reconstruction osseuse dont les premiers signes remontent à plus de cinq mois. Les douleurs ont cessé et la marche est redevenue possible. Vittorio est guéri.

 

- Serge PERRIN du Lion d'Angers (France). Hémiplégie droite itérative, avec lésions oculaires, par troubles circulatoires carotidiens bilatéraux. 41 ans au 01-05-1970. Diocèse et date de reconnaissance : Angers 17-06-1978.

 

Venu à Lourdes pour faire plaisir à son épouse !

En décembre 1968, Serge est subitement frappé d’une hémiplégie. A la suite d'investigations multiples, on diagnostique une carotide bouchée (thrombose carotidienne). Il revient alors chez lui où il ne peut que subir la progression de sa paralysie. En désespoir de cause, il part pour Lourdes en 1969. Il en revient dans le même état alarmant : troubles visuels ; éclipses, impotence physique. Il est révolté de se voir ainsi diminué. L’année suivante, cette fois sans espoir, il veut bien participer au pèlerinage d'Angers. Après un début plus que pénible, le dernier jour arrive. Au programme le matin : Onction communautaire des malades. Là, il commence à ressentir des sensations inédites. L'après-midi, il découvre qu'il marche mieux sans ses cannes anglaises, qu'il voit mieux sans ses lunettes !! Et il part de Lourdes avec l'assurance d'être guéri, ce que confirmeront les médecins.

 

- Delizia CIROLLI de Paternò (Italie). Sarcome d'Ewing du genou droit. 12 ans au 24-12-1976. Diocèse et date de reconnaissance : Catania (Italie) 28-06-1989.

 

La prière plutôt que l'amputation

Delizia Cirolli est devenue mère de famille et infirmière. C’est une double vocation qui a fait irruption dans sa vie comme un cadeau et contre toute attente. Car, en mars 1976, la vie de la fillette sicilienne de 11 ans a d’abord pris un tour dramatique. Elle marche difficilement en raison d’un genou douloureux. Le médecin spécialiste consulté annonce qu’il faut l’amputer, sinon la tumeur, dont elle est atteinte, pourrait lui être fatale. Les parents refusent cette amputation, et tous ceux qui connaissent la petite Delizia se mettent en prière pour sa guérison, se cotisant pour qu’elle puisse aller en pèlerinage auprès de Notre-Dame de Lourdes que les Siciliens vénèrent particulièrement. Pendant l’été, Delizia peut y partir avec sa mère. Elle en revient épuisée, sans vrai changement. Et peu de temps avant Noël 1976, alors que son état s’aggrave et que son entourage pressent sa fin toute proche, la guérison survient, totalement à l’improviste. Très rapidement, la jeune fille reprend vie, mange, marche, repart en classe. Devenue Madame Costa, elle est désormais maman de plusieurs enfants.

 

- Jean-Pierre BELY de La Couronne (France). Sclérose en Plaques évolutive depuis 15 ans. 51 ans au 9.10.1987. Diocèse et date de reconnaissance : Angoulême 9.02.1999

 

Après l'onction des malades, une profonde paix

La famille Bély mène une vie paisible dans son pavillon de la banlieue d’Angoulême. Jean-Pierre, marié à Geneviève et père de deux enfants, est infirmier à l’hôpital, jusqu’à ce que les premiers symptômes d’une sclérose en plaques apparaissent, en 1972. L’état de Jean-Pierre se dégrade d’année en année, si bien qu’il est bientôt déclaré « invalide à 100% à titre définitif avec bénéfice d’une tierce personne ». En octobre 1987, alors qu’il est devenu grabataire, il se rend à Lourdes pour le pèlerinage du Rosaire. Après l’onction des malades, le troisième jour, il ressent une profonde paix intérieure. Puis, soudainement, il retrouve la sensibilité tactile et peut à nouveau bouger. Sur le coup, il n’ose pas se mettre debout… Dans la nuit suivante, une voix intérieure lui répète : « Lève-toi et marche ». Ce que fait Jean-Pierre Bély. Comme il aime lui-même le souligner, « le Seigneur a guéri d’abord mon cœur, et ensuite mon corps ». Après douze ans d’enquêtes médicales, Mgr Claude Dagens, évêque d’Angoulême, suite à l’avis favorable d’une commission canonique, déclare que cette guérison est « un signe effectif de Christ Sauveur, qui s’est accompli par l’intercession de Notre-Dame de Lourdes ».

 

- Anna SANTANIELLO de Salerne (Italie). Décompensation cardiaque par maladie mitrale suite à un rhumatisme articulaire aigü. 41 ans au 19-08-1952. Diocèse et date de reconnaissance : Salerne (Italie) 21-09-2005

 

Entrée sur une civière aux piscines, elle en ressort debout

Née en 1911, Anna Santaniello est une grande malade cardiaque à la suite d'un rhumatisme articulaire aigu. Elle présente une « dyspnée intense et persistante », ou maladie de Bouillaud, entraînant une pénibilité à parler et une impossibilité à marcher, des crises d'asthme intenses, une cyanose de la face et des lèvres et un œdème ascendant des membres inférieurs. Le 16 août 1952, elle se rend en pèlerinage à Lourdes avec l'organisation italienne UNITALSI (Union Nationale Italienne de Transport des Malades à Lourdes et dans les Sanctuaires Internationaux. Elle fait le voyage à Lourdes par le train sur une civière. Durant son séjour, elle est logée à l'asile Notre-Dame (ancêtre de l'actuel Accueil Notre-Dame, dans les Sanctuaires) et fait l'objet d'une surveillance constante. Le 19 août, on la conduit aux piscines sur sa civière. Elle en ressort par ses propres moyens. Le soir même, elle participe à la procession mariale aux flambeaux. Le 21 septembre 2005, la guérison miraculeuse d'Anna Santaniello est reconnue officiellement par Mgr Gerardo Pierro, archevêque de Salerne. Anna Santaniello a confié plus tard que, étant malade, elle n’avait pas prié pour elle-même à Lourdes, devant la Grotte, mais pour un jeune homme de vingt ans, Nicolino, qui avait perdu l’usage de ses jambes à la suite d’un accident. Célibataire, elle a soigné des centaines d’enfants défavorisés depuis son retour en Italie, en exerçant le métier d’infirmière puéricultrice.

 

 

 

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