Blog Parousie de Patrick ROBLES (Puget-Théniers, Alpes-Maritimes - FRANCE)
Notre-Dame de la Galerie - Virgen del Socavón
Oruro (Bolivie)
Statue inaugurée le 1er février 2013 (45 m de haut)
La statue monumentale de la Vierge du Socavón, ou Vierge de la Candelaria, a été inaugurée officiellement le 1er février 2013, en présence d’Evo Morales (Juan Evo Morales Ayma), président de la République de Bolivie.
La statue de la Vierge Marie, dans une attitude de bénédiction et de protection, est drapée d’un manteau de 140 étoiles ; Elle tient l’Enfant-Jésus dans Son bras gauche et une bougie allumée dans sa main droite. Tous deux sont couronnés.
Cette statue, de béton et d’acier, se situe sur la montagne Sainte Barbara (cerro Santa Bárbara), à l’ouest de la ville d’Oruro, en Bolivie, et culmine à 3845 m d’altitude. Elle pèse 1500 t et mesure 45,40 m, dont un piédestal de 8,60 m composé d’une chapelle pouvant contenir 80 personnes et d’étages supérieurs accueillant une galerie d’exposition et des commerces.
La couronne de la Sainte-Vierge, composée de plaques d’aluminium, pèse 500 kg et mesure 4,80 m, avec un diamètre de 4 m.
Cette œuvre a coûté 1,3 millions de $ (8,7 millions de bolivianos).
C’est une des statues chrétiennes les plus grandes du monde, dépassant le "Christ de la Concorde" de Cochabamba ("Cristo de la Concordia"), en Bolivie aussi (40,44 m avec le piédestal), ainsi que le "Christ Rédempteur ("Cristo Redentor"), ou Christ du Corcovado à Rio de Janeiro, au Brésil (38 m), ou le "Christ du Pacifique" ("Cristo del Pacífico"), à Lima, au Pérou (37 m).
Mais la statue géante de Sainte Rita de Cascia, à Santa Cruz, au Brésil, mesure au total, avec le piédestal, 56 m. En outre, de nombreuses statues, notamment bouddhistes, dépassent 50 m de hauteur, et même 100 m de haut en Chine, au Japon et au Myanmar (nom de l’ancienne Birmanie depuis le 21 octobre 2010).
Statue de Sainte Rita de Cascia (56 m)
Santa Cruz (Rio Grande do Norte - Brésil)
La statue d'Oruro est invoquée sous le vocable de Notre-Dame de la Candelaria, « Virgen de la Candelaria » (de la Chandeleur), ou Notre-Dame du Socavón, « Virgen del Socavón » (socavón signifie nid-de-poule, mais veut aussi dire galerie (minière), tunnel, et c’est ce dernier sens qu’il faut retenir en l’occurrence ; on pourrait donc parler de « Notre-Dame de la Galerie » dans cette région minière).
La Vierge du Socavón est la Patronne de la ville d’Oruro, des mineurs et du folklore bolivien. Elle est vénérée notamment dans le Sanctuaire du Socavón où se trouve l’Image Sacrée de Notre-Dame du Socavón (« La Sagrada Imagen de Nuestra Señora del Socavón »), couronnée par deux anges, datant du XVIIIème siècle, reproduction de l’image d’origine qui remonte à la 2ème moitié du XVIème siècle, peinte sur un mur pisé dans une chapelle située sur la montagne « Pie de Gallo », à Oruro.
La Vierge Candelaria se fête aussi en février lors du Carnaval d’Oruro, classé par l’UNESCO, et Elle est associée à la Ñusta (mot quechua pour qualifier les princesses de l’Empire Inca), fête traditionnelle, au Pérou et en Bolivie, de la Pachamama, la Terre-Mère (Madre Tierra).
Traduction de l’espagnol, le 16 avril 2013, d’après des articles de presse et de Wikipedia.
Notre-Dame de la Galerie - Virgen del Socavón
Peinture d'Adrián Díaz (1781)
Prières anciennes à la Vierge Marie
Je Vous salue, Reine du monde, Ô Marie, plus belle que le soleil, plus blanche que les lis, plus fleur que les roses, plus douce que le Paradis !
Toute lumière est moins brillante, toute suavité moins suave que cette Vierge des vierges.
Vous êtes la fontaine de toute grâce, le miroir de toute pureté, le parfum de tous les parfums.
La sagesse des Chérubins n’est rien auprès de la Vôtre, les Séraphins ne savent pas aimer comme Vous.
Dans nos pleurs, Vous êtes notre joie ; dans la guerre, notre victoire ; dans la mort, notre Espérance.
Votre Nom dans notre bouche, quelle saveur ! Dans nos oreilles, quelle harmonie ! Dans notre cœur, quelle ivresse !
Vous êtes le bonheur des pauvres, Ô Marie ; Vous êtes la couronne des martyrs et la beauté des vierges.
Ô, nous Vous en supplions : après cet exil, conduisez-nous à la Vie et à la possession de Votre Fils. Amen !
Je Vous salue Marie, Vous dont la Conception Immaculée, pleine de je ne sais quelle joie solennelle, a rempli d’une toute nouvelle allégresse, et la terre et le Ciel !
Je Vous salue Marie, Vous dont la Nativité est en quelque sorte la fête du genre humain : Vous étiez, en effet, l’Étoile du matin qui nous annonçait le véritable Soleil.
Je Vous salue Marie, Vous dont l’humilité fut si pieuse, et la fécondité si virginale ; je Vous salue Marie, Vous dont l’Annonciation a été notre salut !
Je Vous salue Marie, Vous dont la chasteté a été sans tache et dont la virginité a été perpétuelle ; je Vous salue Marie, Vous dont la Purification a purifié nos âmes !
Je Vous salue Marie, Vous en qui ont brillé toutes les vertus angéliques et dont l’Assomption a été le gage de notre glorification future !
Je Vous salue Marie, je Vous salue mille fois, et ne cessez pas de prier pour nous ! Amen.
Le président Evo Morales lors de l'inauguration de la statue
Ô Marie, plus Sainte que tous les saints, plus élevée que toutes les créatures, qui seule avez uni la gloire de la Maternité à celle de la Virginité, et cela en étant la Mère d’un Dieu, éloignez de mon esprit les ténèbres et la mauvaise tristesse qui l’assiègent. Votre Fils se laisse si facilement fléchir, Ô Mère : fléchissez-Le pour moi.
Pendant que je suis dans cette très misérable vie, défendez-moi, protégez-moi, gardez-moi. Et quand viendra l’heure où il faudra que je sorte de ce corps, soyez présente, Ô ma Souveraine, et que mon âme immortelle soit par Vous conduite aux habitations éternelles, en sorte que je trouve un juge favorable dans le Dieu qui m’attendra et que j’arrive heureusement là où une lumière sans fin luit pour tous les élus ! Amen.
Je Vous salue, Mère du Sauveur, vase d’élection, vase d’honneur, vase tout rempli de la Grâce céleste, vase insigne que Dieu a préparé de toute éternité, et que la Sagesse infinie a voulu façonner Elle-même.
Je Vous salue, Mère Sacrée du Verbe, fleur sortie des épines, mais sans épine. Tous, hélas, tant que nous sommes, l’épine du péché nous ensanglante, mais non pas Vous, Vierge Marie !
Je Vous salue, porte close, fontaine des jardins de l’âme, urne à parfums. Vous surpassez en odeur le cinnamome, la myrrhe, l’encens et le baume !
Je Vous salue, honneur des vierges, céleste Médiatrice, Mère du salut, Vous à qui se rapportent les symboles de la myrrhe, de la rose et du nard, qui désignent la tempérance, le martyre et l’humilité !
Vous êtes l’humble vallée, la terre vierge qui a produit un Dieu ; c’est de Vous qu’est sortie la fleur des champs, le lis de la vallée, le Christ !
Vous êtes le Paradis Céleste, Vous êtes la forêt qu’on ne taille point et d’où s’évaporent de suaves senteurs. En Vous se trouve la plénitude de l’honneur et de la pureté, de toute saveur et de tout parfum.
Vous êtes le trône de Salomon, trône incomparable, tant pour la matière que pour l’art. L’ivoire de ce trône est la figure de Votre chasteté, l’or est celle de Votre ardente Charité.
Rien ne ressemble à Votre Couronne : Vous n’avez de pareille ni sur la terre ni au Ciel ; Vous êtes l’honneur de la race humaine.
Le soleil a plus d’éclat que la lune, la lune en a plus que les étoiles, et Marie infiniment plus que toutes les autres créatures.
Mais cet astre n’a point d’éclipse, Sa Virginité n’a pas de tache, Son Amour n’a pas de bornes, Sa Charité est immortelle !
Je Vous salue, Mère de Miséricorde, je Vous salue, très noble réceptacle de toute la Trinité, mais qui plus spécialement avez préparé au Verbe Incarné l’hospitalité de Votre sein !
Ô Marie, Étoile de la mer, Votre place dans la hiérarchie céleste est la plus élevée de toutes les places ; Vous êtes au-dessus des neuf chœurs angéliques, Vous êtes sur le plus haut sommet du Ciel. Nous autres, nous avons à lutter ici-bas contre les ruses ou les violences de nos ennemis. Mère de Dieu, présentez-nous à Votre Fils.
Pauvres menacés que nous sommes, si Vous voulez nous défendre, nous ne craindrons plus rien. Ah, que les embûches du tentateur le cèdent à Votre Providence et à la force de Votre bras ! Et Vous, Jésus, Verbe du Père, sauvez les serviteurs de Votre Mère, sauvez-les gratuitement après les avoir délivrés des chaînes de leur péché ; admettez-nous enfin au partage de Vos éternelles clartés. Amen.
Vierge sans tache, Mère de Dieu, écoutez ma prière et aidez-moi en toutes mes nécessités. Ô glorieuse Marie, intercédez pour moi auprès de mon Rédempteur, Votre Fils, que Vous avez enfanté sans concupiscence.
Délivrez-moi de toute embûche de l’Ennemi, de toute délectation de la chair. Que, par Votre intercession, j’obtienne le pardon de tous mes péchés, une résistance solide à mes adversaires visibles et invisibles, l’amendement de ma vie désormais protégée par Dieu. Je Vous le demande au Nom de Votre Fils, que Vous avez engendré selon la chair, et qui vit et règne avec le Père et le Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Amen.
Ô Vierge Immaculée, je m’unis, humble créature que je suis, au triomphe éclatant de Votre Assomption. Quelle Gloire Vous avez reçue en ce jour ! Votre Fils vint Lui-même à Votre rencontre avec toute la cour céleste, c’est-à-dire, d’une part, avec tous les chœurs des Anges, et de l’autre, avec tous les ordres des Saints, avec les Patriarches, les Prophètes, les Apôtres, les Martyrs et tous les autres bienheureux. On dit qu’en ce moment, tout le purgatoire reçut une indulgence universelle, et que, parmi les âmes qui y étaient tourmentées, il n’y en eut pas une qui ne fut entièrement délivrée par Votre intercession, pour rendre Votre triomphe plus glorieux encore. Vous vous éleviez ainsi environnée, Vous vous éleviez sans cesse jusqu’à ce que Vous fûtes assise à la droite de Votre Fils. Et à mesure que Vous passiez devant les ordres des Anges et des Saints sur cette incomparable route du Paradis, chacun d’eux venait Vous rendre hommage en particulier ; et qui pourra jamais exprimer les louanges, les bénédictions et les actions de grâces dont ils Vous comblèrent ?
Qui pourra répéter ce que Vous dirent les Patriarches qui Vous avaient demandée avec tant d’insistance, les Prophètes qui Vous avaient prédite avec tant de lumière, ceux des Apôtres déjà morts qui avaient prêché Votre Maternité Divine avec tant de zèle, les Martyrs qui avaient déjà versé leur sang pour l’Honneur de Votre Fils, les Vierges qui avaient si constamment imité Votre innocence et Votre Pureté Virginale ; en un mot, toutes les âmes bienheureuses qui savaient que Vous étiez la Mère de leur Libérateur, la source de leur salut et de leur bonheur, la Réparatrice de leur chute et la Porte par laquelle elles étaient rentrées dans le royaume des Cieux ; ce que Vous dirent aussi les Séraphins, Vous voyant si pénétrée des flammes de l’Amour Divin ; les Chérubins, apercevant en Vous une lumière infiniment plus haute et plus pénétrante que la leur ; les Trônes, Vous reconnaissant pour l’arche vivante où la Très Sainte Trinité reposait d’une manière beaucoup plus auguste et plus excellente qu’en eux-mêmes ; quoi de plus ? Tout le reste des esprits célestes, sachant que Vous veniez ajouter un nouvel éclat au Paradis, et que, par Vous, les brèches que la révolte des mauvais anges avait faites dans leurs rangs seraient heureusement réparées ? Sans doute tous ces bienheureux se prosternèrent alors devant Vous, Vous reconnurent pour leur Reine, Vous firent l’offre de leurs personnes et de leurs services, et se dévouèrent entièrement à Vous pour chanter éternellement Vos louanges et obéir à toutes Vos volontés. Que puis-je faire en ce jour, sinon m’unir à eux, pour Vous demander ensuite tout ce dont j’ai besoin ? Je sais, en effet, quel est Votre pouvoir pour nous secourir, et combien nous dépendons de Votre assistance pour surmonter les difficultés de notre pèlerinage et arriver sûrement au port du salut.
Saint Épiphane ne Vous appelle-t-il pas « La confiance des chrétiens » ; Saint Bernard « Tout le sujet de notre espérance » ; l’hymne des Grecs « Notre mur, notre soutien, notre invincible défense » ; Saint Pierre Damien et d’autres Pères « L’échelle céleste par laquelle Dieu est descendu du ciel » ; et Saint Éphrem « Le port assuré de ceux qui sont en danger de faire naufrage » ? Quand donc les vents des tentations viendront à s’élever contre moi (comme le dit encore Saint Bernard, et je m’approprie ses paroles) ; quand je me trouverai au milieu des écueils et des rochers des tribulations humaines, je regarderai l’Étoile de la mer, j’implorerai le secours de Marie. Quand les flots de la colère, de l’orgueil et de l’incontinence ébranleront le pauvre vaisseau de mon âme, je me tournerai vers cette Étoile et je crierai : Marie ! Si je suis troublé de la grandeur de mes crimes, étonné de l’état misérable de ma conscience, effrayé de la sévérité des jugements de Dieu ; au lieu de tomber dans l’abîme du désespoir, je penserai bien vite à Marie. Dans les dangers, dans les troubles, dans les détresses, dans les plus grandes extrémités, je me souviendrai de Marie. Son Nom ne sortira pas de ma bouche, son souvenir ne sortira pas de mon cœur. En La suivant, je ne m’égarerai pas ; en La priant, je serai hors du danger ; en pensant à Elle, je ne faillirai pas ; si Elle me protège, je ne craindrai pas ; et si enfin, comme je L’en supplie en ce jour du plus profond de mon cœur, Elle veut m’être tout à fait propice, j’arriverai heureusement près d’Elle au terme de mon salut. Ainsi soit-il.
Je Vous salue, Vierge unique, Mère de notre salut, qu’on appelle avec tant de raison Étoile de la mer, Étoile qui n’a pas de déclin.
Nous qui sommes sur la mer de cette vie, ne permettez pas que nous fassions naufrage, mais ne cessez point de prier pour nous Votre Fils qui est le Salut.
La mer est en furie, les vents sifflent, les flots s’élèvent en montagnes, le pauvre vaisseau s’avance : Dieu, que de dangers, tout menace de la mort les passagers, qui désespèrent !
L’onde furieuse bat le navire ; il était tout à l’heure aux profondeurs de l’abîme, le voilà lancé presqu’au ciel ; le mât crie, les voiles tombent, les marins ne peuvent plus rien, c’en est fait ! C’est en de tels labeurs que l’homme se consume ici-bas. Ah, Mère spirituelle, sauvez-nous, nous périssons !
Nous Vous louons, Ô Mère, et nous proclamons Votre Virginité.
Étoile de la mer, Votre lumière est un reflet de la splendeur du Père Éternel.
Les Anges, tous les Anges, toutes les puissances célestes, tous les cieux, les Chérubins et les Séraphins crient sans cesse :
« Ô Vierge, Ô Vierge, Ô Vierge des vierges ! »
Vierge sans modèle, Vierge avant l’enfantement, durant l’enfantement, après l’enfantement.
Les Apôtres Vous proclament Glorieuse.
La troupe admirable des Prophètes atteste que Vous êtes bien la Mère de leur Seigneur.
La Sainte Église, répandue sur toute la surface de la terre, Vous invoque comme une Mère, et une Mère d’une incomparable majesté, Épouse vénérable de Dieu ; Vierge, et concevant par l’opération du Saint-Esprit.
Vous êtes la Reine du Ciel. Vous êtes la Dame de l’univers entier.
Pour le salut de l’homme, Vous avez revêtu de notre chair le Fils du Très-Haut.
Pour vaincre la Mort, Votre sein très chaste a donné la Vie au monde.
Vous êtes la Mère de Celui qui est assis à la droite du Père, Juge des vivants et des morts.
Ah, nous Vous en supplions, venez au secours de Vos fidèles qui ont été rachetés par les torrents précieux du Sang de Votre Fils.
Faites qu’avec tous les Saints, nous ayons part à l’éternelle gloire.
Sauvez Votre peuple, Ô Notre-Dame, ce peuple qui est couvert du Sang de Votre Fils.
Conduisez-le Vous-même, Ô Mère, et soulevez-le de Vos mains puissantes jusqu’à l’Éternité.
Nous Vous bénissons tous les jours, et ne cessons de louer le Nom du Très-Haut, qui, au-dessous de Lui, Vous a fait Très-Haute.
Ô Notre Dame, qui avez mérité de porter Dieu, Ô Vierge très digne de toute louange, laissez-Vous louer par des indignes.
Ayez pitié de moi, Mère de Compassion. Que Votre Miséricorde et Celle de Votre Fils descendent sur moi. J’implore Votre secours, je l’attends.
Notre Dame, j’ai espéré en Vous ; je ne serai pas trompé dans mon espoir.
Source : Prières adaptées d’après le livre « Choix de prières d'après les manuscrits du IXe au XVIIe siècle », « II. La Vierge Marie, Reine des Saints », pages 324-340, par Léon Gonthier (1864).
Oraciones a la Virgen del Socavón
Te saludamos, Virgen santísima del Socavón:
escucha nuestras súplicas,
ayúdanos a tener un corazón grande para amar a Dios.
Dios te salve, María…
Te saludamos, Virgen santísima del Socavón:
que nuestra devoción
fortalezca y renueve nuestra fe
para encontrar en Reino de Dios.
Dios te salve, María…
Te saludamos, Virgen prudentísima del Socavón:
concédenos paciencia y resignación
en nuestra vida y trabajo
por el resto de nuestros días.
Dios te salve, María…
Te saludamos, Virgen purísima del Socavón:
ruega por nuestros hermanos enfermos,
para que Dios les conceda
una pronta recuperación.
Dios te salve, María…
Te saludamos, Virgen clementísima del Socavón:
ayúdanos a ser humildes en la vida,
para cumplir con amor
la voluntad de Dios.
Dios te salve, María…
Te saludamos, Virgen rectísima del Socavón:
por recibir en la vida la gracia
de ser compasivos de corazón
con nuestro prójimo.
Dios te salve, María…
Te saludamos, Virgen santísima del Socavón:
para agradecerte por los favores y beneficios recibidos
para honrar las tradiciones de nuestro pueblo.
Dios te salve, María…
Sagrada Imagen de Nuestra Señora del Socavón
Image Sacrée de Notre-Dame de la Galerie
Dios, Padre nuestro, tanto amaste al mundo que nos enviaste a tu Hijo amado Jesucristo. La sagrada imagen de la Virgen del Socavón nos recuerda como Jesús ya en los primeros días de su vida fue presentado al templo y reconocido como luz de todos los pueblos.
Desde el inicio del anuncio del Evangelio en nuestras tierras la Virgen Candelaria fue la Imagen inspiradora para el encuentro con Cristo luz y sol de nuestras vidas. Y a lo largo de los siglos a esta Imagen miraron los mineros, los bailarines y miles de devotos y devotas, implorando auxilio, protección y consuelo.
Ahora te pedimos, Padre bueno, que con el mismo amor con que nos donaste a tu Hijo Jesucristo y a la Virgen Madre, tú nos acompañes todos los días de nuestra vida. Que Santa María siga indicándonos la luz de Cristo, para que, dentro de las dificultades y la oscuridad de nuestros días, sepamos amarnos como Cristo nos amó y obedecer a su Palabra, para caminar hacia la plenitud de tu Reino, donde no habrá ni muerte, ni llanto, ni lamentos, ni fatiga, y donde tú nos alumbrarás con tu luz y reinaremos contigo para siempre. Esto te lo pedimos por la intercesión de la Virgen María, madre de Jesús y madre nuestra, que unidos a todos sus devotos invocamos bajo el título de Nuestra Señora del Socavón, y en el nombre de Jesucristo, tu Hijo y nuestro Señor. Amén.