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  • : In hoc signo vinces. Parousie by ROBLES Patrick
  • : Blog Parousie de Patrick ROBLES (Montbéliard, Franche-Comté, France)
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  • Patrick ROBLES
  • Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)
  • Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 07:50

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« Ne pleure pas, si tu m'aimes »

Saint-Augustin

 

Ne pleure pas, si tu m'aimes !

Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel !

Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux et me voir au milieu d'eux !

Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche !

Si un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent !

Quoi ? Tu m'as vu, tu m'as aimé dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ?

Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient, et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu'il a fixé, ton âme viendra dans ce Ciel où l'a précédé la mienne ; ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée.

À Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie et sois devenu moins aimant !

Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant, d'instant en instant, avec toi, dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie !

Alors, essuie tes larmes, et ne pleure plus, si tu m'aimes !

 

 

Si-tu-m-aimes-St-Augustin-parousie.over-blog.fr.jpg

© « Devant la mort - Textes non bibliques pour les funérailles

- Vivre, Croire, Célébrer », page 17,

 Diocèse de LyonLes éditions de l’Atelier (2007)

 

 

 

« Ne pleure pas, si tu m'aimes »

Autre version

 

Ne pleure pas, si tu m'aimes !

Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel ! (ou : et ce qu’est le ciel !)

Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Anges et me voir au milieu d'eux !

Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels, les nouveaux sentiers où je marche !

Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! (ou : Si tu pouvais un instant contempler… )

Quoi ? Tu m’as vu, tu m'as aimé dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer dans le pays des immuables réalités ? (ou : ni m'aimer encore dans le pays des innombrables réalités ?)

Crois-moi, quand la mort viendra briser les liens comme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient,

quand un jour que Dieu connaît et qu’il a fixé, ton âme viendra dans ce Ciel où l’a précédé(e) la mienne ; ce jour-là, tu me reverras, tu retrouveras mon affection épurée. (ou : ce jour-là, tu verras celui qui t’aimait et qui t’aime encore ; tu trouveras les tendresses épurées.)

À Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse, infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie, je sois devenu moins aimant !

Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant d'instant en instant avec toi dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie !

Essuie tes larmes, et ne pleure pas, si tu m'aimes ! (ou : Essuie tes larmes, et ne pleure plus, si tu m'aimes !)

 

 

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© Éditions Larroque

 

 

"Ne pleure pas si tu m'aimes"

Robert Charlebois

 

 

 

 

 

Expérience de Mort Imminente (EMI)

 

Near-Death Experience (NDE)

 

 

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© « Devant la mort », p. 15

 

 

 

Les 7 Sacrements

 

 

 

"Les Vieux"

Jacques Brel

 

 

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© « Devant la mort », p. 21

 

 

 

L'Enfer, le Purgatoire et le Paradis

par Dante Alighieri

"La Divine Comédie"

 

 

 

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"Demain, dès l’aube"

Victor Hugo

 

"Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,

Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.

J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

 

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,

Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

 

Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,

Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,

Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe

Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur."

 

"3 septembre 1847."

 

Les Contemplations, Livre quatrième "Pauca Meæ", chapitre XIV,

poème écrit le 4 septembre 1847 d'après le manuscrit

 

 

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Prières de préparation à la mort

Saint Alphonse de Liguori

 

« Ô Jésus, mon Rédempteur, soyez béni de ne m'avoir pas fait mourir, quand je me trouvais dans votre disgrâce ! Depuis combien d'années ne devrais-je pas souffrir au fond des enfers ? Ah ! Seigneur, quelles actions de grâces je vous rends !

 

Afin d'expier mes péchés, j'accepte ma mort ; et je l'accepte telle qu'il vous plaira de me l'envoyer. Mais, puisque vous m'avez attendu jusqu'à cette heure, attendez-moi encore un peu. « Laissez-moi, un moment, donner libre cours à ma douleur » (Job 10, 20). Oui, avant que vous ayez à me juger, donnez-moi le temps de pleurer les offenses dont je me suis rendu coupable envers vous. Je ne veux plus résister à votre choix. Et qui sait, si, dans cette méditation, vous ne venez pas de m'adresser votre dernier appel ?

 

Je ne mérite point de pitié, je l'avoue, moi qui tant de fois ai reçu mon pardon et qui tant de fois ensuite me suis montré si ingrat en recommençant à vous offenser. Mais, « Seigneur, vous ne méprisez jamais un coeur contrit et humilié » (Psaume 50, 19). Puisqu'il en est ainsi, voici un pécheur, un traître qui vient, poussé par le repentir, se jeter à vos pieds. « De grâce, ne me rejetez pas de devant vous ». Vous l'avez dit vous-même : « Je ne rejetterai pas celui qui vient à moi » (Jean 6, 37). À la vérité, je suis plus coupable que les autres ; car plus que les autres, j'ai été favorisé de vos lumières et de vos grâces. Mais le sang que vous avez répandu pour moi m'encourage, et, en échange de mon repentir, il m'offre mon pardon. Oui, ô mon souverain Bien, je me repens de vous avoir méprisé ; je m'en repens de tout mon coeur. Pardonnez-moi et accordez-moi la grâce de vous aimer à l'avenir. Je ne vous ai que trop outragé jusqu'ici. Les années qui me restent à vivre ne seront plus comme autrefois de malheureuses années de péché. Je veux, ô mon Jésus, les employer uniquement à pleurer sans cesse les déplaisirs que je vous ai causés et à vous aimer de tout mon coeur, ô Dieu, digne d'un amour infini.

 

Ô Marie, mon espérance, priez Jésus pour moi. »

 

 

 

« Ô mon bien-aimé Rédempteur ! Je vous remercie de m'avoir attendu jusqu'à ce soir. Qu'en serait-il de moi, si vous m'aviez frappé lorsque je me trouvais dans votre disgrâce. Bénies soient donc éternellement votre miséricorde et cette patience divine qui m'a si longtemps attendu ! Bénie soit également la bonté avec laquelle vous m'accordez maintenant votre lumière et votre grâce ! Par le passé je ne vous ai pas aimé et je me suis fort peu soucié d'être aimé de vous. Mais maintenant je vous aime de tout mon coeur; et rien ne m'afflige autant que d'avoir déplu à un Dieu si bon. Cependant quelque grande que soit mon affliction, combien je la trouve douce ! Car, grâce à elle, j'ose en ce moment espérer que déjà vous m'avez pardonné.

 

Mon doux Sauveur, que ne suis-je mort mille fois avant de vous avoir offensé ! Je tremble qu'il ne m'arrive de vous offenser encore. Ah ! Faites-moi mourir, fût-ce de la mort la plus cruelle, avant que j'en vienne de nouveau à perdre votre grâce. Trop longtemps esclave de l'enfer, j'ai maintenant, ô Dieu de mon âme, le bonheur d'être votre serviteur.

« J'aime ceux qui m'aiment » (Proverbe 8, 17), avez-vous dit. Or je vous aime ; je suis donc à vous et vous êtes à moi. Mais je puis vous perdre de nouveau. C'est pourquoi, je vous le demande en grâce, faites-moi mourir avant que j'ai le malheur de vous perdre encore une fois. Que de grâces vous m'avez accordées, sans que je vous les eusse demandées ! Je ne puis donc pas craindre de me voir refuser celle que je vous demande en ce moment. Non ; ne permettez pas que je vous perde encore ; donnez-moi votre amour; c'est tout ce que je désire.

 

Ô Marie, ô mon espérance, intercédez pour moi. »

 

 

 

« Ô mon bien-aimé Rédempteur, je n'aurais pas l'audace de paraître en votre présence, si je ne vous voyais suspendu à cette croix, tout déchiré de coups, accablé d'outrages et mort pour moi. Grande a été mon ingratitude ; mais plus grande est votre miséricorde. Mes iniquités aussi ont été bien grandes ; mais vos mérites les surpassent encore ! Vos plaies, votre sang, votre mort, sont toute mon espérance. Déjà, après mon premier péché, je méritais l'enfer. Que de fois j'ai recommencé ensuite à vous offenser ! Et vous, au lieu de me frapper à mort, avec quelle bonté et quel amour vous m'avez appelé au repentir et offert la paix ! Comment puis-je craindre que vous me chassiez de votre présence, maintenant que je vous aime et que je désire uniquement votre grâce ?

 

Oui, je vous aime de tout mon coeur, ô mon bien-aimé Seigneur, et je ne désire que de vous aimer. Je vous aime, et je me repens de vous avoir méprisé, sans doute parce que je me suis ainsi condamné à l'enfer, mais surtout parce que je vous ai offensé, vous, mon Dieu, qui m'avez tant aimé. Et maintenant, ouvrez-moi, ô mon Jésus, votre coeur plein de bonté, et ajoutez une nouvelle miséricorde à toutes vos miséricordes passées. Faites que je ne sois plus un ingrat et changez entièrement mon coeur. Ce coeur, autrefois, il osa compter pour rien votre amour et l'échanger contre les misérables plaisirs du monde ; faites que désormais il vous appartienne tout entier que sans cesse il brûle d'amour pour vous.

 

Un jour, je l'espère, je serai admis dans le ciel pour vous aimer à jamais. Ma place n'y sera pas parmi les âmes innocentes, mais parmi celles qui ont suivi les sentiers de la pénitence. Là, je veux surpasser en amour même les âmes innocentes. Oui, qu'à la gloire de votre miséricorde, le ciel voie brûler d'un grand amour pour vous, un pécheur qui vous a tant offensé ! Je prends la résolution de vous appartenir tout entier et de ne plus penser désormais qu'à vous aimer. Vous-même, venez à mon secours avec votre lumière et votre force, afin que ce désir, inspiré à mon coeur par votre bonté, se réalise par votre grâce.

 

Ô Marie, ô Mère de la persévérance, obtenez-moi la fidélité à mes promesses. »

 

 

 

« Ô Dieu de mon âme ! Par le passé je vous ai déshonoré en vous abandonnant ; mais votre divin Fils vous a honoré en vous offrant sa vie sur l'autel de la Croix. Par cet honneur que vous a rendu votre Fils bien-aimé, pardonnez-moi le déshonneur que je vous ai causé ; Ô souverain Bien, je me repens de vous avoir offensé et je vous promets de n'aimer désormais que vous seul. C'est de vous que j'espère mon salut. Tout ce que j'ai de bien en ce moment, je le tiens de votre grâce ; oui, je reconnais que tout me revient de vous. « C'est par la grâce de Dieu que je suis tout ce que je suis » (I Corinthiens 15, 10). Si, par le passé, je vous ai déshonoré, j'espère vous honorer éternellement, en bénissant à jamais votre miséricorde. Je me sens un grand désir de vous aimer. Ce désir, c'est vous qui me le donnez ; je vous en remercie, ô mon Amour. Continuez, continuez de m'aider comme vous avez commencé de le faire: j'espère être désormais à vous et tout à vous. Je renonce à tous les plaisirs du monde. Et quel plus grand plaisir puis-je avoir de vous être agréable, à vous, Seigneur, qui êtes si aimable et qui m'avez tant aimé ? Je vous demande seulement votre amour, ô mon Dieu ; oui, votre amour, rien que votre amour. Et cette demande, j'espère vous l'adresser toujours et toujours vous demander votre amour, jusqu'à ce qu'enfin, expirant dans votre amour, je parvienne au royaume de l'amour, pour y être rempli d'amour, sans avoir besoin de le demander encore et sans jamais cesser durant toute l'éternité de vous aimer un seul instant de toutes mes forces.

 

Ô Marie, ma Mère, vous qui aimez tant votre Dieu et qui désirez tant de le voir aimé, faites que je l'aime beaucoup en cette vie afin que je l'aime beaucoup en l'autre et pour toujours. »

 

 

 

« Ainsi, ô mon bien-aimé Jésus, vous demeurez sur les autels pour écouter les demandes des malheureux qui ont recours à vous. Écoutez donc celle qu'un pauvre pécheur vous adresse en ce moment. Ô Agneau de Dieu, offert en sacrifice et immolé sur la croix, je suis une âme rachetée par votre sang. Pardonnez-moi toutes les injures que je vous ai faites et aidez-moi, afin que, moyennant votre grâce, je ne vous perde plus. Donnez-moi, ô mon Jésus, un peu de cette douleur que, dans le jardin de Gethsémani, vous avez ressentie à cause de mes péchés. Pourquoi faut-il que je vous aie offensé, ô mon Dieu ? Hélas ! Si j'étais mort dans mon péché, je me verrais déjà, ô mon bien-aimé Seigneur, dans l'impossibilité de vous aimer. Mais vous m'avez attendu, précisément pour que je vous aime. Soyez béni de m'en donner le temps ; et puisque je peux maintenant vous aimer, je veux vous aimer. Vous-même accordez-moi le don de votre saint amour, mais d'un amour tel qu'il me fasse oublier toutes les créatures et que je m'applique uniquement à contenter votre Coeur très aimant. Ah ! Mon Jésus, vous m'avez consacré toute votre vie, faites qu'au moins je vous consacre le reste de ma vie. Attirez-moi tout entier à votre amour et ne me laissez pas mourir avant que je vous appartienne entièrement. C'est dans les mérites de votre Passion que je place toutes mes espérances.

 

Et c'est aussi dans votre intercession, ô Marie, que je mets ma confiance. Vous savez que je vous aime, ayez pitié de moi. »

 

 

Préparation à la mort, par Saint Alphonse de Liguori

 

 

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commentaires

D
<br /> AMEN !<br />
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