"Nous ne devons pas avoir peur de la bonté,
et même pas non plus de la tendresse !"
Homélie du Pape François, Messe solennelle d'inauguration du Pontificat du Pape François, Place Saint-Pierre, le mardi 19 mars 2013, en la Solennité de la Fête de Saint-Joseph.
"Non dobbiamo avere paura della bontà, anzi neanche della tenerezza!"
"We must not be afraid of goodness or even tenderness!"
"Não devemos ter medo da bondade, da ternura!"
"Wir dürfen uns nicht fürchten vor Güte, vor Zärtlichkeit!"
"¡No debemos tener miedo de la bondad, de la ternura!"
Résumé de la Messe d'Installation du Pape François par KTOTV
Premier angélus du Pape François
"En ce cinquième dimanche de carême, l’Évangile nous présente l’épisode de la femme adultère (cf. Jn 8,1-11), que Jésus sauve de la condamnation à mort. L’attitude de Jésus touche : nous n’entendons pas des paroles de mépris, nous n’entendons pas des paroles de condamnation, mais seulement des paroles d’amour, de miséricorde, qui invitent à la conversion. "Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus !" (v. 11). Eh !, frères et soeurs, le visage de Dieu est celui d’un père miséricordieux, qui prend toujours patience.
Avez-vous pensé à la patience de Dieu, la patience qu’il a avec chacun de nous ? C’est sa miséricorde. Il prend toujours patience, patience avec nous, nous comprend, s’occupe de nous, il ne se lasse pas de nous pardonner si nous savons revenir à lui avec le cœur contrit. "Grande est la miséricorde du Seigneur !", dit le psaume.
Ces jours-ci, j’ai pu lire un livre d’un cardinal – le cardinal Kasper, un théologien très bien, un bon théologien – sur la miséricorde. Ce livre m’a fait tant de bien, mais ne croyez pas que je fais de la publicité pour les livres de mes cardinaux ! Ce n’est pas cela ! Il m’a fait tant de bien, tant de bien … Le cardinal Kasper disait que faire l’expérience de la miséricorde change tout. C’est la plus belle parole que nous puissions entendre : elle change le monde. Un peu de miséricorde rend le monde moins froid et plus juste. Il nous faut bien comprendre cette miséricorde de Dieu, ce Père miséricordieux qui a tant de patience… Rappelons-nous du prophète Isaïe, qui affirmait que même si nos péchés étaient rouges comme l’écarlate, l’amour de Dieu les rendrait blancs comme la neige. C’est beau, la miséricorde !
Je me souviens qu’à peine nommé évêque, en 1992, la Vierge de Fatima est arrivée à Buenos Aires et l’on a fait une grande messe pour les malades. Je suis allé confesser, durant cette messe. Et presqu’à la fin de la messe, je me suis levé parce que je devais administrer une confirmation. Une dame âgée est venue vers moi, humble, très humble, à plus de 80 ans. Je l’ai regardée et je lui ai dit : "Grand-mère – parce que chez nous on s’adresse ainsi aux personnes âgées : grand-mère – vous voulez vous confesser ?". "Oui", m’a-t-elle dit. "Mais si vous n’avez pas péché…". Et elle m’a dit : "Nous faisons tous des péchés…". "Mais peut-être que le Seigneur ne les pardonne pas…". "Le Seigneur pardonne tout", m’a-t-elle dit, assurée. "Mais comment le savez-vous, madame ?". "Si le Seigneur ne pardonnait pas tout, le monde n’existerait pas". J’ai eu envie de lui demander : "Mais dites-moi, madame, vous avez étudié à la Grégorienne ?" (l’université pontificale confiée aux jésuites, à Rome, ndlr), parce que c’est la sagesse que donne l’Esprit-Saint : la sagesse intérieure sur la miséricorde de Dieu.
N’oublions pas cette parole : Dieu ne se lasse jamais de pardonner, jamais ! "Eh, père, quel est le problème ?". Eh, le problème est que nous, nous nous lassons, nous ne voulons pas, nous nous lassons de demander pardon. Il ne se lasse jamais de pardonner, mais nous, parfois, nous nous lassons de demander pardon. Ne nous lassons jamais, ne nous lassons jamais ! Il est le Père amoureux qui toujours pardonne, qui a un cœur de miséricorde pour nous tous. Et nous aussi, apprenons à être miséricordieux avec tous. Invoquons l’intercession de la Vierge qui a eu entre ses bras la Miséricorde de Dieu fait homme.
À présent, prions tous ensemble l’Angélus.
...Que le Seigneur vous bénisse, que la Madone vous protège ! N’oubliez pas : le Seigneur ne se lasse jamais de pardonner ! C’est nous qui nous lassons de demander le pardon..."
Source : Article de zenit.org "La miséricorde change le monde - Premier angélus du pape François", 17 mars 2013. Traduction de Zenit, Anne Kurian ; © Innovative Media Inc.
Extrait en italien :
"...Eh!, fratelli e sorelle, il volto di Dio è quello di un padre misericordioso, che sempre ha pazienza. Avete pensato voi alla pazienza di Dio, la pazienza che lui ha con ciascuno di noi? Quella è la sua misericordia. Sempre ha pazienza, pazienza con noi, ci comprende, ci attende, non si stanca di perdonarci se sappiamo tornare a lui con il cuore contrito. “Grande è la misericordia del Signore”, dice il Salmo..."
Papa Francesco, Angelus, Piazza San Pietro, Domenica, 17 marzo 2013.
"4 C'est lui qui délivre ta vie de la fosse, qui te couronne de bonté et de miséricorde ;"
"17 Mais la bonté de l'Éternel dure à jamais pour ceux qui le craignent, et sa miséricorde pour les enfants de leurs enfants,"
Psaume 103, 4 et 17 (Louis Segond) ; Psalms, 103.
(Vulgate et Septante, Ps. 102).
Dimanche de la Divine Miséricorde
institué par le Pape Jean-Paul II, le 30 avril 2000
« Nos fautes sont un grain de sable à côté de la grande montagne des Miséricordes de Dieu. »
« La Bonté de Dieu est plus grande que tout le mal que nous pouvons faire. Jamais nous ne pourrons, tant que nous serons de ce monde, épuiser la source de Ses Miséricordes. »
Marie-Céline Martin sur son lit de mort
Sœur Geneviève de la Sainte-Face
Extraits du Petit Journal
« 1520. Aujourd’hui, le Seigneur m’a dit : J’ai ouvert mon cœur, en tant que source vivante de miséricorde, que toutes les âmes y puisent la vie, qu’elles s’approchent de cet océan de miséricorde avec une très grande confiance. Les pécheurs obtiendront justification et les justes seront affermis dans le bien. Celui qui a mis sa confiance en ma miséricorde, à l’heure de la mort, j’emplirai son âme de ma divine paix. »
Notre Père en Polonais - Polish Lord's Prayer
« 1521. Le Seigneur m’a dit : Ma fille, ne cesse pas de proclamer ma miséricorde, tu soulageras ainsi mon cœur brûlé par les flammes de la pitié envers les pécheurs. Dis à mes prêtres que les pécheurs endurcis se repentiront à leurs paroles, lorsqu’ils parleront de mon insondable miséricorde, de la pitié que j’ai pour eux en mon cœur. Aux prêtres qui proclameront et glorifieront ma miséricorde, je donnerai une force extraordinaire, je bénirai leurs paroles et je toucherai les cœurs auxquels ils s’adresseront. »
Je Vous salue Marie en Polonais - Polish Hail Mary
« 1523. Amour éternel, flamme pure, brûle sans cesse en mon cœur et divinise tout mon être selon ton éternelle prédilection par laquelle Tu m’as appelée à l’existence et invitée à prendre part à Ton bonheur éternel. Ô Seigneur miséricordieux, Tu m’as comblée de Tes dons uniquement par miséricorde ; voyant que tout ce qui est en moi m’est donné gratuitement, avec la plus profonde humilité j’adore Ton inconcevable bonté. Seigneur, l’étonnement inonde mon cœur, que Toi Seigneur absolu, Tu n’aies besoin de personne, et pourtant Tu t’abaisses ainsi jusqu’à nous par pur amour. Je ne peux jamais sortir de l’étonnement quand le Seigneur entre en si étroite intimité avec Sa créature ; c’est à nouveau Son infinie bonté. Je commence toujours cette méditation, mais je ne la finis jamais, car mon esprit s’abîme entièrement en Lui. Quel délice d’aimer de toute la force de son âme et d’être aimée encore plus en retour, de sentir cela et de le vivre avec pleine conscience de tout son être – il n’y a pas de mots pour exprimer cela. »
Source : « Petit Journal », "Jésus, j’ai confiance en Toi", Sœur M. Faustine KOWALSKA, éditions Parole et Dialogue, 3ème édition (2004).
© Copyright pour toutes les éditions en français : Société de l’Apostolat Catholique (Pères Pallottins) ; 25, rue Surcouf – 75007 Paris.
(Tél. : 01 40 62 69 00).
"Mon Jésus, miséricorde !"
Indulgence : 300 jours, plénière aux conditions ordinaires pour récitation quotidienne pendant un mois (Bref, 20 mai 1911 ; S. Pénit. Ap., 17 déc. 1932).
Blason du Pape François
"Miserando atque eligendo"
"Qui prend pitié et qui choisit"
"Choisi parce que pardonné"
Armoiries et devise du Pape François
"Le blason du Pape François ressemble à celui qu'il avait choisi lorsqu'il était archevêque de Buenos Aires et il est "d'une simplicité linéaire", a indiqué lundi le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi.
Le blason prend la forme d'un bouclier bleu sur la partie supérieure duquel est figuré le symbole de l'ordre des jésuites auquel appartient le pape : un soleil symbolisant Jésus, sur lequel se trouvent une croix et trois lettres en rouge, IHS -monogramme de Jésus -- ainsi que trois clous rappelant sa passion sur la croix.
Au-dessus du bouclier se trouvent les symboles de la papauté déjà utilisés par Benoît XVI : une mitre posée entre deux clefs, l'une d'or et l'autre d'argent, reliées par un cordon rouge, représentant symboliquement les clefs de Saint-Pierre.
Une différence : la mitre de cardinal est devenue pontificale
Une différence entre le blason d'archevêque et le blason de pape de François : celui de Jorge Bergoglio, avant son élection, avait la mitre simple de cardinal sur ses armoiries, et désormais il a la mitre pontificale.
Dans la partie basse du blason se trouve à gauche une étoile, symbole de la Vierge Marie, et à droite une fleur de nard, symbole de Saint Joseph, patron de l'Eglise catholique.
La devise du pape François, "miserando atque eligendo", est inscrite en-dessous du blason. Ces mots, tirés d'une homélie de Saint Bède le Vénérable en hommage à la miséricorde divine, signifient "Choisi parce que pardonné".
Cette devise se réfère précisément à la conversion de Saint Matthieu. Elle fait allusion au moment où Jésus, selon la tradition évangélique, choisit comme un des douze apôtres Matthieu, qui est un collecteur d'impôt, mal vu de la population mais repentant. Il deviendra un des quatre évangélistes."
Source : Article "Le blason de François est d'une simplicité linéaire", Radio Vatican, le 18 mars 2013, sur le site news.va
"Le blason choisi par le pape François est celui de l’archevêque de Buenos Aires, Jorge Mario Bergoglio.
Le blason est surmonté des symboles pontificaux choisis par Benoît XVI (mitre, clefs or et argent, cordon rouge).
En haut, se trouve le symbole de la Compagnie de Jésus: le soleil d’or du Christ, les trois lettres IHS - Iesus Hominum Salvator : Jésus Sauveur de l’Homme ou bien seulement le nom de Jésus, en grec IH-SOUS - (en rouge) surmonté de la Croix également rouge, et en dessous du H, les trois clous noirs de la Passion du Christ, qui peuvent représenter les vœux religieux de pauvreté, chasteté et obéissance.
En bas, à gauche, l’étoile d’or de Marie, et à droite, la fleur de nard, non encore éclose, et qui pour cela ressemble à une grappe dorée de raisin. En Espagne saint Joseph, patron de l'Eglise universelle, est souvent représenté portant une fleur de nard.
Le pape a justement choisi d’inaugurer son pontificat le 19 mars, en la solennité de saint Joseph, "Redemptoris Custos" (Jean-Paul II), qui est aussi le saint patron de son prédécesseur."
Source : Article d'Anita Bourdin "Le blason du pape François : le Christ, Marie et Joseph", Rome, le 18 mars 2013, sur le site zenit.org
Explication originale en italien
sur le site du Vatican
“miserando atque eligendo”
"LO SCUDO"
"Nei tratti, essenziali, il Papa Francesco ha deciso di conservare il suo stemma anteriore, scelto fin dalla sua consacrazione episcopale e caratterizzato da una lineare semplicità.
Lo scudo blu è sormontato dai simboli della dignità pontificia, uguali a quelli voluti dal predecessore Benedetto XVI (mitra collocata tra chiavi decussate d’oro e d’argento, rilegate da un cordone rosso). In alto, campeggia l’emblema dell’ordine di provenienza del Papa, la Compagnia di Gesù: un sole raggiante e fiammeggiante caricato dalle lettere, in rosso, IHS, monogramma di Cristo. La lettera H è sormontata da una croce; in punta, i tre chiodi in nero.
In basso, si trovano la stella e il fiore di nardo. La stella, secondo l’antica tradizione araldica, simboleggia la Vergine Maria, madre di Cristo e della Chiesa; mentre il fiore di nardo indica San Giuseppe, patrono della Chiesa universale. Nella tradizione iconografica ispanica, infatti, San Giuseppe è raffigurato con un ramo di nardo in mano. Ponendo nel suo scudo tali immagini, il Papa ha inteso esprimere la propria particolare devozione verso la Vergine Santissima e San Giuseppe.
"IL MOTTO"
Il motto del Santo Padre Francesco è tratto dalle Omelie di San Beda il Venerabile, sacerdote (Om. 21; CCL 122, 149-151), il quale, commentando l’episodio evangelico della vocazione di San Matteo, scrive: “Vidit ergo lesus publicanum et quia miserando atque eligendo vidit, ait illi Sequere me” (Vide Gesù un pubblicano e siccome lo guardò con sentimento di amore e lo scelse, gli disse: Seguimi).
Questa omelia è un omaggio alla misericordia divina ed è riprodotta nella Liturgia delle Ore della festa di San Matteo. Essa riveste un significato particolare nella vita e nell'itinerario spirituale del Papa. Infatti, nella festa di San Matteo dell'anno 1953, il giovane Jorge Bergoglio sperimentò, all’età di 17 anni, in un modo del tutto particolare, la presenza amorosa di Dio nella sua vita. In seguito ad una confessione, si sentì toccare il cuore ed avvertì la discesa della misericordia di Dio, che con sguardo di tenero amore, lo chiamava alla vita religiosa, sull'esempio di Sant'Ignazio di Loyola.
Una volta eletto Vescovo, S.E. Mons. Bergoglio, in ricordo di tale avvenimento che segnò gli inizi della sua totale consacrazione a Dio nella Sua Chiesa, decise di scegliere, come motto e programma di vita, l'espressione di San Beda miserando atque eligendo, che ha inteso riprodurre anche nel proprio stemma pontificio."
Copyright © L'Osservatore Romano
Le Petit Journal de Sainte-Faustine
Blason Cardinalice et devise de Jorge Mario Bergoglio
quand il était Archevêque de Buenos Aires et Cardinal
Homélie de Saint Bède le Vénérable
Homélie 21 ; CCL 122, 149-151
"Matthieu se leva et suivit Jésus."
"« Jésus vit un homme assis au bureau de la douane ; son nom était Matthieu. "Suis-moi", lui dit-il » (Mt 9, 9). Il le vit non pas tant avec les yeux du corps qu’avec le regard intérieur de sa Miséricorde. Il vit le publicain, et parce qu’il le vit d’un regard qui prend pitié et qui choisit, il lui dit : « Suis-moi », c'est-à-dire imite-moi. En lui demandant de le suivre, il invitait moins à marcher derrière lui qu’à vivre comme lui ; car « celui qui déclare demeurer dans le Christ doit marcher dans la voie où lui, Jésus, a marché. » (1 Jn 2, 6).
« Matthieu se leva et le suivit » (Mt 9, 9). Rien d’étonnant que le publicain, au premier appel impérieux du Seigneur, ait abandonné sa recherche de profits terrestres et que, négligeant les biens temporels, il ait adhéré à celui qu’il voyait dépourvu de toute richesse. C’est que le Seigneur qui l’appelait de l’extérieur par sa parole le touchait au plus intime de son âme en y répandant la lumière de la grâce spirituelle. Cette lumière devait faire comprendre à Matthieu que celui qui l’appelait à quitter les biens temporels sur la terre était en mesure de lui donner dans le ciel un trésor incorruptible.
« Comme Jésus était à table à la maison, voilà que beaucoup de publicains et de pécheurs vinrent s’attabler avec lui et ses disciples » (Mt 9, 10). La conversion d’un seul publicain ouvrit la voie de la pénitence et du pardon à beaucoup de publicains et de pécheurs. Beau présage en vérité : celui qui devait être plus tard Apôtre et docteur parmi les païens entraîne à sa suite, lors de sa conversion, tout un groupe de pécheurs sur le chemin du salut ; et ce ministère de l’Évangile qu’il allait accomplir après avoir progressé dans la vertu, il l’entreprend dès les premiers débuts de sa foi. Essayons de comprendre plus profondément l’événement relaté ici. Matthieu n’a pas seulement offert au Seigneur un repas corporel dans sa demeure terrestre, mais il lui a bien davantage préparé un festin dans la maison de son coeur par sa foi et son amour; comme en témoigne celui qui a dit : « Voici que je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je prendrai mon repas avec lui, et lui avec moi » (Ap 3, 20).
Nous ouvrons notre porte pour le recevoir à l’appel de sa voix lorsque nous donnons notre libre assentiment à ses avertissements intérieurs ou extérieurs et quand nous mettons à exécution ce que nous avons compris que nous devions faire. Et il entre pour manger, lui avec nous et nous avec lui, parce qu’il habite dans le cœur de ses élus, par la grâce de son amour ; ainsi il les nourrit sans cesse par la lumière de sa présence afin qu’ils élèvent progressivement leurs désirs, et lui-même se nourrit de leur zèle pour le ciel comme de la plus délicieuse nourriture."
Cf : The Venerable Bede, St. Bede
N.B. : Voir l'homélie dans le livre en latin ci-dessous, "The Complete Works of Venerable Bede in the original Latin...", Vol. V "Homilies" (London MDCCCXLIII - 1843), Homilia XXX (in "Homiliæ"), pages 219-227.
Note : La devise du Pape François se retrouve dans l'image ci-dessous, p. 221, 6ème ligne.
The Venerable Bede, his life and writings, by George Forrest Browne (1919)
Le Pape François priant aux pieds de
l'icône miraculeuse de Marie
Basilique Sainte-Marie-Majeure de Rome
Jeudi 14 mars 2013