Dominus pascit me, et nihil mihi deerit. Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien. The Lord is my shepherd; I shall not want. El Señor es mi pastor, nada me falta. L'Eterno è il mio pastore, nulla mi mancherà. O Senhor é o meu pastor; de nada terei falta. Der Herr ist mein Hirte; mir wird nichts mangeln. Господь - Пастырь мой; я ни в чем не буду нуждаться. اللهُ راعِيَّ، فلَنْ يَنقُصَنِي شَيءٌ (Ps 23,1)
Ô Dieu, Notre Père, qui as appelé Ton Serviteur Eduardo Francisco Pironio à servir Ton Église comme prêtre et évêque, réconforté par la sollicitude maternelle de la Vierge Marie, et qui l’as rendu heureux annonciateur de l’espérance et de la Croix, accorde-nous qu’en suivant son exemple, nous puissions proclamer notre foi et en témoigner avec un cœur miséricordieux et accueillant et, par son intercession, donne-nous la grâce que nous Te demandons avec confiance. Par le Christ notre Seigneur. Amen.
Avec approbation ecclésiastique
Conférence Épiscopale Argentine
Buenos Aires, le 12 décembre 2005
Pour toutes grâces reçues, prière d’informer la postulation de la Cause en béatification du Cardinal Pironio à l’adresse suivante (Vice-postulation de la Cause en Argentine) :
Traduit de l’espagnol le dimanche 3 décembre 2017 par Patrick ROBLES.
« Magnificat », le Testament spirituel du cardinal Pironio
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen ! Magnificat !
J’ai été baptisé au nom de la très sainte Trinité ; j’ai cru fermement en elle, par la miséricorde de Dieu ; j’ai goûté sa présence amoureuse dans la petitesse de mon âme (je me suis senti habité par la Trinité). Maintenant, j’entre « dans la joie de mon Seigneur », dans la contemplation directe - "face à face" - de la Trinité. Jusqu’à maintenant, venant de loin, j’ai marché comme un pèlerin vers le Seigneur, et maintenant « je le vois tel qu’il est ». Je suis heureux. Magnificat !
« Je suis sorti du Père et je suis venu dans le monde ; maintenant je quitte le monde et je vais au Père ». Merci, Seigneur et mon Dieu, Père de miséricorde, parce que tu m’aimes et tu m’attends. Parce que tu m’embrasses dans la joie de ton pardon.
Ne pleurez pas mon départ ! « Si vous m’aimiez, vous seriez dans la joie puisque je pars vers le Père ». Je vous demande seulement de continuer à m’accompagner par votre affection et par vos supplications, et de prier beaucoup pour mon âme.
Magnificat ! Je te rends grâce, Père, pour le don de la vie. Comme il est beau de vivre ! Tu nous as faits, Seigneur, pour la vie. Je l’aime, je l’offre, je l’attends, tu es la vie, comme tu as toujours été ma vérité et mon chemin.
Magnificat ! Je remercie le Seigneur pour mon sacerdoce. Je me suis senti extraordinairement heureux d’être prêtre et je voudrais transmettre cette joie profonde aux jeunes d’aujourd’hui, comme mon meilleur testament et héritage. Le Seigneur a été bon pour moi. Que les âmes qui ont reçu la présence de Jésus à travers mon ministère sacerdotal prient pour mon repos éternel ! Je demande pardon, de toute mon âme, pour le bien que j’ai négligé de faire en tant que prêtre. Je suis pleinement conscient qu’il y a eu beaucoup de péchés d’omission dans mon sacerdoce parce que je n’ai pas été généreusement celui que j’aurais dû être devant le Seigneur. Peut-être que maintenant, en mourant, je vais commencer à être vraiment utile : « si le grain de blé tombé en terre... meurt, il porte beaucoup de fruit ». Ma vie sacerdotale a toujours été caractérisée par trois amours et présences : le Père, la très sainte Vierge Marie et la Croix.
Magnificat ! Je rends grâce à Dieu pour mon ministère de service dans l’épiscopat. Comme Dieu a été bon avec moi ! J’ai voulu être « père, frère et ami » des prêtres, des religieux et religieuses, de tout le peuple de Dieu. J’ai voulu être une simple présence du « Christ, espérance de la gloire ». J’ai toujours voulu l’être, dans les différents services que Dieu m’a demandés comme évêque : évêque auxiliaire de La Plata, administrateur apostolique de Avellaneda, secrétaire général et président du CELAM, évêque de Mar del Plata, puis nommé par le pape Paul VI préfet de la Congrégation pour les religieux et les instituts séculiers, et enfin, selon la volonté bienveillante du pape Jean-Paul II, président du Conseil pontifical pour les laïcs. Je regrette de ne pas avoir été plus utile comme évêque, d’avoir déçu l’espérance de beaucoup et la confiance de mes bienaimés pères, les papes Paul VI et Jean-Paul II. Mais j’accepte avec joie ma pauvreté. Je veux mourir avec une âme totalement pauvre.
Je désire exprimer mes remerciements au Saint-Père, Jean-Paul II, qui m’a confié, en avril 1984, l’animation des fidèles laïcs. C’est d’eux que dépend, de manière immédiate, l’édification de la « civilisation de l’amour ». Je les aime énormément, je les embrasse et je les bénis ; et je remercie le pape de sa confiance et de son affection.
Magnificat ! Je rends grâce à Dieu qui, à travers le Saint-Père Paul VI, m’a appelé à servir l’Église universelle dans le champ privilégié de la vie consacrée. Comme j’aime les religieux, les religieuses et tous les laïcs consacrés dans le monde ! Combien j’invoque la très sainte Vierge Marie pour eux ! Comme j’offre aujourd’hui ma vie avec joie pour qu’ils soient fidèles ! Je suis cardinal de la Sainte Église. Je rends grâce au bienaimé Saint-Père Paul VI pour cette nomination non méritée. Je rends grâce au Seigneur de m’avoir fait comprendre que le cardinalat est une vocation au martyre, un appel au service pastoral et une forme plus profonde de paternité spirituelle. Je me sens tellement heureux d’être martyr, d’être pasteur, d’être père.
Magnificat ! Je remercie le Seigneur pour le privilège de la croix. Je me sens très heureux d’avoir beaucoup souffert. Ce qui me déplaît, c’est uniquement de ne pas avoir bien souffert, et de ne pas avoir toujours savouré ma croix en silence. Je désire, au moins maintenant, que ma croix commence à être lumineuse et féconde. Que personne ne se sente coupable de m’avoir fait souffrir, parce que cela a été un instrument providentiel d’un Père qui m’aime beaucoup. Oui, je demande pardon, de toute mon âme, d’avoir fait souffrir tant de personnes !
Magnificat ! Je remercie le Seigneur parce qu’il m’a fait comprendre le mystère de Marie dans le mystère de Jésus et parce que la Vierge a été très présente dans ma vie personnelle et dans mon ministère. Je lui dois tout. Je confesse que c’est à elle que je dois la fécondité de ma parole. Les grandes dates de ma vie – de croix et de joie – ont toujours été des dates mariales.
Magnificat ! Je rends grâce au Seigneur parce que mon ministère s’est presque toujours déroulé, de manière privilégiée, au service des prêtres et des séminaristes, des religieux et des religieuses, et finalement des fidèles laïcs. Aux prêtres auxquels, dans mon long ministère, j’ai pu faire un peu de bien, je demande la charité de célébrer une messe pour mon âme.
Je les remercie tous pour le don de leur amitié sacerdotale. Je souhaite aux séminaristes – à tous ceux que Dieu a mis un jour sur mon chemin – un sacerdoce saint et fécond : qu’ils soient des âmes de prière, qu’ils savourent la croix, qu’ils aiment le Père et Marie ! Je demande à mes religieux et religieuses bienaimés, « ma gloire et ma couronne », de vivre avec une joie profonde leur consécration et leur mission. Je dis la même chose aux très chers laïcs consacrés dans la vocation providentielle des instituts séculiers. Je demande à tous de me pardonner les mauvais exemples que j’ai donnés et mes péchés par omission.
Magnificat ! Je rends grâce à Dieu d’avoir pu consumer mes pauvres forces et talents en me consacrant à mes chers laïcs, dont l’amitié et le témoignage m’ont enrichi spirituellement. J’ai beaucoup aimé l’Action catholique.
Si je n’ai rien fait de plus, c’est parce que je n’ai pas su le faire. Dieu m’a accordé de travailler avec les laïcs à partir de la simplicité paysanne de Mercedes (en Argentine) jusqu’au Conseil pontifical pour les laïcs. Magnificat !
Je demande pardon à Dieu pour mes innombrables péchés, à l’Église de ne pas l’avoir servie avec plus de générosité, aux âmes de ne pas les avoir aimées de manière plus héroïque et concrète. Si j’ai offensé quelqu’un, je lui demande pardon : je désire mourir la conscience tranquille. Et si quelqu’un croit m’avoir offensé, je veux qu’il éprouve la joie de mon pardon et de mon accolade fraternelle.
Je remercie chacun pour son amitié et sa confiance. Je remercie mes parents bienaimés – que je vais maintenant retrouver au ciel – pour la foi qu’ils m’ont transmise. Je remercie tous mes frères pour leur compagnie spirituelle et pour leur affection, surtout ma sœur Zulema.
J’aime le pape Jean-Paul II de toute mon âme, je lui redis ma disponibilité totale, je lui demande pardon pour tout ce que je n’ai pas su faire comme préfet de la Congrégation pour les religieux et pour les instituts séculiers et comme président du Conseil pontifical pour les laïcs. Dieu est témoin de mon entier dévouement et de ma bonne volonté.
Je le remercie d’avoir voulu, avec bonté et délicatesse, me nommer cardinal évêque du diocèse suburbicaire de Sabina-Poggio Mirteto.
Aux bienaimées Servantes du Christ prêtre, qui m’ont accompagné pendant de nombreuses années, je renouvelle toute ma gratitude, mon affection paternelle et ma profonde vénération pour leur vocation spécifique, si providentielle dans l’Église. Je les aime beaucoup, je prie pour elles et je les bénis dans le Christ et dans la très sainte Vierge Marie.
Je remercie mon cher et fidèle secrétaire, le R.P. Fernando Vérgez, Légionnaire du Christ, pour son affection et sa fidélité, pour sa compagnie toujours proche et efficace, pour sa collaboration, sa patience et sa bonté.
Je demande que soient célébrées des messes pour moi et que l’on prie pour mon âme et pour toutes celles auxquelles personne ne pense. Je désire particulièrement que l’on prie pour la sanctification des prêtres, des religieux, des religieuses et de toutes les âmes consacrées.
Je désire mourir paisible et serein : pardonné par la miséricorde du Père, par la bonté maternelle de l’Église, par l’affection et la compréhension de mes frères. Je n’ai pas d’ennemis, grâce à Dieu ; je n’éprouve ni rancœur ni envie envers qui que ce soit. Je demande à tous de me pardonner et de prier pour moi.
À quand nous serons réunis dans la Maison du Père ! Je vous embrasse tous de tout cœur pour la dernière fois au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ! Je vous dépose tous dans le cœur de Marie, la Vierge pauvre, contemplative et fidèle. Ave Maria ! Et je lui demande : « Après cet exil, montrez-nous Jésus, le fruit béni de vos entrailles ».
Oh Dios, Padre nuestro, que has llamado a tu Siervo Eduardo Francisco Pironio a servir a tu Iglesia como sacerdote y obispo confortado por la materna solicitud de la Virgen María y lo has hecho alegre anunciador de la esperanza y de la cruz, concédenos que siguiendo su ejemplo podamos proclamar y testimoniar nuestra fe con un corazón misericordioso y acogedor y, por su intercesión, danos la gracia que confiadamente te pedimos.
Prière pour la béatification des Serviteurs de Dieu
Teresa Sivilli et Francesco Ugenti
Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, nous Te remercions d’avoir fait naître dans l’Église d’aujourd’hui les époux Francesco et Teresa comme témoins de Ton Amour ineffable, dans le mariage et la vie de famille.
Par leur exemple, ils nous montrent la sainteté comme un niveau élevé de la vie chrétienne ordinaire.
Et ils sont pour toutes les familles d’aujourd’hui un beau défi pour accepter la vie et la garder avec amour, pour éduquer les enfants avec abnégation et responsabilité, pour promouvoir l’unité et la stabilité de la famille.
Accorde à nos familles, plus que jamais menacées par de fausses illusions, de découvrir la beauté de la Foi et de la vivre avec joie, afin de témoigner au monde de l’Amour de Dieu.
Aussi, au Nom de Jésus et par leur intercession, nous Te demandons la grâce qui nous tient le plus à cœur…
Par le Christ notre Seigneur. Amen.
« Gloire au Père… »
Prière traduite de l’italien par Patrick ROBLES, le mardi 5 décembre 2017.
Francesco UGENTI
né le 28 juillet 1913 à Toritto (Bari, Pouilles - Italie)
Santissima Trinità, Padre, Figlio e Spirito Santo, ti ringraziamo di aver suscitato nella Chiesa di oggi gli sposi Francesco e Teresa come testimoni del Tuo ineffabile Amore, nel matrimonio e nella vita familiare.
Con il loro esempio essi ci indicano la santità come misura alta della vita cristiana ordinaria.
E sono per tutte le famiglie di oggi un'amabile sfida ad accettare la vita e a custodirla con amore, ad educare i figli con impegno e responsabilità, a promuovere l'unità e la stabilità della famiglia.
Concedi alle nostre famiglie, mai come oggi cosi minacciate da false illusioni, di scoprire la bellezza della fede e di viverla con gioia, per testimoniare al mondo l'Amore di Dio.
E, in Nome di Gesù e per loro intercessione, ti chiediamo la grazia che ci sta più a cuore…
Teresa nacque a Grumo Appula (Bari) il 29 aprile 1913 da una numerosa famiglia artigiana, composta da sei figli e dai genitori, che ella adorava. Era la primogenita delle quattro sorelle. Come tale, si sentì in dovere di aiutare i genitori nella cura della casa e nell’educazione dei fratelli e delle sorelle minori. All’età di 29 anni si sposò con Francesco, con il quale si trovò sempre in perfetta sintonia spirituale e affettiva. Ai suoi sette figli ella diede il meglio di sé, con abnegazione e saggezza, educandoli alla preghiera, alla fede e alla responsabilità nelle loro scelte. Rivelò la sua profonda adesione alla volontà di Dio, in particolare nella perdita di due sue figlie, soprattutto di Mina che volò al cielo all’età di 15 anni. Accompagnò con grande cura il figlio Antonio al sacerdozio considerandolo come un grande dono di Dio. Visse insieme al marito 42 anni di matrimonio alimentandolo con la preghiera e con la comunione eucaristica, donde attingeva la forza per superare tutti gli ostacoli e le fatiche della vita quotidiana. Viveva costantemente nella serenità e nella gioia. Nel 1974, assieme al marito Francesco, entrò a far parte dell’istituto “Santa Famiglia”, sotto la guida spirituale di Don Stefano Lamera. Il 2 novembre 1978 essi emisero i voti perpetui di obbedienza, castità povertà e fedeltà al Papa, vivendoli fedelmente nel contesto della vita familiare. Fu una svolta decisiva nella loro vita. Essi compresero che la santità era possibile non solo nel matrimonio, ma anche mediante il matrimonio. Essi riscoprirono così il sacramento del matrimonio come via di santità che rende possibile la stabilità e la perfezione dell’amore. Devotissima alla Madonna, Teresa affrontò con serenità la dura prova della malattia che la portò alla morte. Un grave tumore ai polmoni la colpì nel 1981 che fu asportato all’ospedale Forlanini di Roma. Ma nel 1984 esso si ripresentò al cervello. E fu la fine. Il 21 maggio 1984 Teresa si spense dolcemente a Roma, con il sorriso sulle labbra, che le rimase sul volto, caratteristica di tutta la sua vita.
Francesco Ugenti
Francesco nacque a Toritto (Bari) l'8 Luglio 1912 da una famiglia contadina, povera e onesta, dignitosa e generosa. I suoi genitori erano profondamente cristiani. Egli era il secondogenito di due figli. Rimasto orfano di mamma all'età di circa sei anni, egli assecondò il desiderio del padre di seguirlo nei lavori di campagna. E divenne un provetto contadino. Fino a 30 anni trascorse una difficile giovinezza, tra sacrifici e fatiche. Nel contempo coltivò l'amicizia con alcuni compagni, che ebbe cari fino alla morte. Nel 1942, in piena guerra, si sposò con Teresa, dalla quale ebbe sette figli, che educò all'onesta e alla fede, soprattutto con l'esempio. Due figlie volarono al cielo in giovanissima età e uno divenne sacerdote paolino, con sua grande soddisfazione. Trasferitosi a Grumo Appula (Bari), fu assunto come impiegato presso l'Acquedotto Pugliese, dove lavorò con esemplare dedizione per vent'anni, apprezzato da tutti i concittadini per la sua gentile disponibilità e la puntuale precisione con cui compiva il suo dovere. Ritiratosi in pensione, dopo alcuni anni perse la moglie Teresa e rimase vedovo per 15 anni, nella fedeltà assoluta alla moglie che adorava. Continuò a dedicarsi attivamente alla campagna e alla cura dei suoi nipoti, che amava teneramente come i suoi figli. Dopo una vita così faticosa e tribolata, verso gli 80 anni, arrivò per lui anche la via crucis, scandita da 14 stazioni (ricoveri tra ospedali e case di cura) e dal calvario (la sedia a rotelle). Tre ictus cerebrali e tre cadute avevano minato il suo fisico. Francesco accettò con pazienza e dignità questo lungo periodo di sofferenze, durato cinque anni, ripetendo spesso quello che era il programma di tutta la sua vita: “Come Dio ce la manda, così ce la dobbiamo prendere”. Francesco si spense serenamente nella sua casa di Grumo Appula (Bari), con il sorriso sulle labbra, il 18 novembre 1998, lasciando dietro di sé il profumo di solide virtù e, in quanti lo conobbero, il ricordo di una vita pienamente realizzata nel compiere ogni giorno la volontà di Dio, in qualsiasi modo essa si rivelasse.
Dieu tout-puissant, avec joie vos fidèles se confient à la protection du Nom de la sainte Vierge Marie : sur son intercession bienveillante, faites donc qu’ils soient affranchis de tous les malheurs d’ici-bas et méritent d’obtenir les joies éternelles du ciel. Par notre Seigneur Jésus-Christ.
Vous êtes bénie et digne de vénération, ô Vierge Marie ! Sans que pâlit l’éclat de votre virginité, vous êtes devenue la Mère du Sauveur.
V. Vierge Mère de Dieu, celui que le monde entier ne peut contenir, en s’incarnant, s’est renfermé dans votre sein. Alléluia, alléluia.
R. Après la naissance de votre Fils, vous êtes demeurée vierge toute pure : Mère de Dieu, intercédez pour nous. Alléluia.
Hymne à la Mater Dolorosa
1. Que le soir tombe rapidement et que le soleil hâte la fin de ce jour épouvantable, alors que je rappelle la mort cruelle et le trépas humiliant de l’Homme-Dieu, ce drame divin.
2. Ô Mère, vous étiez là, présente à son supplice, accablée de douleur, mais le cœur ferme et sans défaillance, pendant que votre Fils, suspendu à la croix, poussait un grand cri.
3. Sous vos yeux, votre Fils est attaché à la Croix, labouré de coups atroces, sillonné de plaies béantes : innombrables sont les traits qui pénètrent et percent votre cœur.
4. Ô oui ! les crachats, les soufflets, les verges, les blessures, les clous, le fiel, l’aloës, l’éponge, la lance, la soif, les épines, le sang répandu, voilà les multiples douleurs qui ont cruellement blessé votre cœur.
5. Cependant, vaillante entre tous les Martyrs, la Vierge se tient debout, meurt en tant que mère, mais sans que la mort mette un terme à sa souffrance de crucifiée.
6. Gloire, louange, honneur à la Trinité divine, à qui je demande humblement, en une instante prière, de pouvoir imiter la force d’âme de Marie, par mon courage dans l’adversité. Amen.
V. Reine des Martyrs, priez pour nous.
R. Vous qui vous teniez debout au pied de la Croix de Jésus.
Mon Dieu, c’est pendant votre Passion que, selon ce qu’avait prédit Siméon, un glaive de douleur transperça l’âme très aimante de la glorieuse Vierge Marie, votre Mère : faites donc, dans votre bonté, qu’en honorant pieusement ses douleurs, nous recueillions les heureux effets de votre Passion. Vous qui, étant Dieu, vivez et régnez.
Dieu, vous avez admirablement préservé du péché originel dès sa conception la Mère de votre Fils unique : nous vous en prions, faites, que, soutenus par son intercession, nous puissions dans la pureté du cœur prendre part à sa fête. Par le même Jésus-Christ notre Seigneur.
Prières à l’Immaculée Conception
Dès l’origine, au commencement de la création, le Seigneur m’a possédée. Dès l’éternité et dès les temps anciens, avant la création du monde, le Seigneur m’a établie. Les abîmes n’étaient pas encore, et déjà j’étais conçue.
Dieu, par la Conception immaculée de la sainte Vierge, vous avez préparé une digne demeure à votre Fils, et, en prévision des mérites de la mort de ce même Fils, vous avez préservé sa mère de toute souillure : que l’intercession de celle-ci nous purifie nous aussi et nous aide à monter jusqu’à vous. Par le même Jésus-Christ notre Seigneur.
Seigneur, daignez agréer le sacrifice du salut que nous vous offrons en la solennité de la conception immaculée de la bienheureuse Vierge Marie ; faites qu’en la proclamant exempte de toute souillure par un effet de votre grâce, nous soyons, sur son intercession, délivrés de tous nos péchés. Par notre Seigneur Jésus-Christ, votre Fils.
Seigneur Dieu, faites que la réception des saints mystères nous guérisse des blessures de ce péché originel dont vous avez, par un privilège unique, préservé la Conception immaculée de la bienheureuse Vierge Marie. Par notre Seigneur Jésus-Christ.
Source :« Missel quotidien et vespéral » : page 777 (« 7 décembre - Vigile de l’Immaculée Conception de la T. Se Vierge Marie », ‘Collecte’) ; pages 779-783 (« 8 décembre – Fête de l’Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge Marie », ‘Capitule’, ‘Collecte’, ‘Secrète’ et ‘Postcommunion’) ; pages 1088-1089 (« 12 septembre - Le Saint Nom de Marie », ‘Collecte’ et ‘Graduel-Benedicta’), et pages 1093-1094 (« 15 septembre - Fête des VII Douleurs de la Très Sainte Vierge », ‘Hymne’ et ‘A la messe’) » ; éditions Brepols, Turnhout (Belgique).
Prières retranscrites en novembre-décembre 2017 par Patrick ROBLES.
Marie, toi qui es apparue à Bernadette dans le creux du rocher, dans le froid et l’ombre de l’hiver,
tu apportais la chaleur d’une présence, l’amitié d’un sourire, la lumière et la beauté de la grâce.
Dans le creux de nos vies souvent obscures, dans le creux de ce monde où le Mal est puissant, apporte l’espérance, redonne la confiance.
Toi qui as dit à Bernadette "Je suis l’Immaculée Conception", viens en aide aux pécheurs que nous sommes.
Donne-nous le courage de la conversion, l’humilité de la pénitence et la persévérance de la prière.
Nous te confions tous ceux que nous portons dans notre cœur et, particulièrement, les malades et les désespérés, toi qui es "Notre-Dame du Bon Secours".
Toi qui as guidé Bernadette à la découverte de la source, guide-nous vers Celui qui est la source de la vie éternelle, Celui qui nous a donné l’Esprit Saint pour que nous osions dire :
Notre Père qui es aux cieux.....
Très Sainte Vierge Marie, nous croyons qu’à la fin de ta vie terrestre, tu as été élevée corps et âme au Ciel, parce que tu es la Mère de Dieu, Immaculée.
La Très Sainte Trinité t'a couronnée Reine de l’univers.
Avec tous les anges et les saints du Ciel, tu intercèdes pour nous, pèlerins de la terre, et pour les âmes des défunts qui ont encore besoin de purification.
Aide-nous à orienter notre vie vers Dieu qui a un Dessein d’amour sur chacun de nous.
Aide-nous à prier, à recourir aux sacrements de l’Église et à faire le bien, pour notre bonheur véritable dès ici-bas.
Donne-nous une foi et une espérance inébranlables en l’Amour infini de Dieu, au milieu des luttes et des épreuves inévitables et nécessaires de cette vie.
Car les souffrances du temps présent ne sont rien en comparaison du bonheur qui nous attend. Amen.
Chante, ô ma langue, les louanges du pontife Nicolas, afin que le suprême Adonaï, Roi et Père de tous les êtres, nous fasse aborder par l’entremise de son divin Fils au port du salut.
A l’âge où Nicolas pendait encore aux mamelles de sa mère, jamais on ne le vit plus d’une fois le jour s’y désaltérer, à la quatrième et sixième férié de la semaine : il craignait, le pieux enfant, de rompre son jeûne par une goutte de lait.
Élevé à l’honneur de Prélat, Nicolas fit pleuvoir si abondamment la rosée de la piété sur tous les peuples, qu’à peine a-t-il son pareil dans toute la série des siècles.
Par l’usage qu’il fait de son or, il sauve trois vierges de la prostitution ; dans la famine il multiplie le blé et le distribue au peuple ; il retire un vase tombé dans la mer, et porte secours aux nautoniers qui craignaient le naufrage.
Du milieu des morts est par lui ressuscité un homme qui avait commis un vol, par lui un Juif est baptisé et recouvre le bien qu’on lui avait dérobé ; l’un est rendu à la vie, l’autre s’élance dans la voie de la foi.
Des Pontifes l’ornement, l’honneur et la gloire, Nicolas, que la grâce dont vous êtes enrichi vienne en aide au peuple et au clergé ; qu’elle assiste nos âmes, nos mains et nos lèvres, et nous fasse rendre à Dieu nos vœux !
Louange à la souveraine Trinité : à Elle puissance et victoire ; qu’Elle daigne nous accorder d’entrer, après la vie, chargés de palmes, dans la patrie des cieux, en part des joies éternelles de Nicolas.
Amen.
Que le clergé, déployant la voix et les chants de l’allégresse, exalte et préconise Nicolas, du clergé le père et le patron !
Que le cœur prompt et docile se dilate au son de la voix !
Que tous, Grecs, Latins, langues, tribus, nations ; étendue des terres, profondeurs des mers ; sexes, conditions, hôtes, citoyens, étrangers ; tous chantent avec un pareil enthousiasme !
Il n’a cessé, ne cesse, ne cessera de nous combler tous de ses bienfaits, cet immortel Prélat, dont le nom ne s’échappera jamais de notre mémoire.
Par lui, tout homme qui sema dans la tristesse fleurira comme le lis. Ce héros magnanime, revêtu de la chair, méprisa les œuvres de la chair, ne faisant, ne disant rien que de salutaire ; délivré des liens du corps, il vole enfin au séjour éthéré.
Quelle fut sa vertu de charité ; l’huile qui coule de son tombeau le déclare assez hautement jusqu’en ce siècle même ; elle donne au peuple qui implore son assistance le bienfait de la santé.
Louange à la souveraine Trinité : à elle puissance et victoire ; qu’elle daigne nous accorder d’entrer, après la vie, chargés de palmes, dans la patrie des cieux, en part des joies éternelles de Nicolas.
Amen.
Tu as vraiment habité à Myre, exhalant un parfum précieux ; parfumé toi-même d’un baume spirituel, ô bienheureux Nicolas, grand Hiérarque du Christ ; et tu parfumes la face de ceux qui, avec foi et amour, honorent ton illustre mémoire, les délivrant de toutes nécessités et tribulations, ô Père saint, par tes prières auprès du Seigneur.
Ton nom propre est véritablement : "Victoire du peuple", bienheureux Nicolas, souverain prêtre du Christ ; car, invoqué en tous lieux, tu préviens aussitôt ceux qui avec amour requièrent ta protection ; apparaissant nuit et jour à ceux qui t’invoquent avec foi, tu les délivres des nécessités et des tentations.
Tu apparus à l’Empereur Constantin et à Ablavius, et leur inspiras une terrible frayeur par ces mots, afin de les engager à la clémence :
« Les innocents que vous retenez dans les fers ne méritent point un injuste supplice ; et si tu méprises mes paroles, ô Prince ! j’en porterai contre toi ma plainte au Seigneur ! »
Ton œil intrépide a pu fixer les sublimes hauteurs de la Gnose, et tu as sondé le profond abîme de la Sagesse, toi qui as enrichi le monde de tes enseignements, ô Père saint ! prie pour nous le Christ, ô grand Pontife Nicolas !
Le Christ t’a fait voir à ton troupeau, comme la règle de la foi et l’image de la douceur, ô grand Hiérarque Nicolas ! Car tu répands à Myre un précieux parfum, tout y resplendit de la gloire de tes œuvres, ô protecteur des veuves et des orphelins ! prie sans cesse le Seigneur de sauver nos âmes !
Réjouis-toi, ô très sainte âme, demeure très pure de la Trinité, colonne de l’Église, soutien des fidèles, appui de ceux qui sont fatigués, astre rayonnant qui, par l’éclat de tes agréables prières, dissipes en tous lieux les ténèbres des tentations ; saint Pontife Nicolas, port tranquille où trouve un abri quiconque dans la fureur de la tempête réclame ton secours, prie le Christ qu’il daigne accorder à nos âmes une grande miséricorde !
Réjouis-toi, homme rempli d’un divin zèle, qui, par un terrible avertissement et par l’éclat de ta voix menaçante dans un songe, as délivré ceux que le glaive allait immoler !
Fontaine abondante, tu répands dans Myre la richesse de tes parfums ; tu verses dans les âmes une douce rosée, tu écartes les ordures des passions mauvaises, tu coupes avec le glaive l’ivraie de l’erreur ; prends le van de ton zèle, dissipe les futiles enseignements d’Arius, et prie le Christ d’accorder à nos âmes une grande miséricorde !
Roi très haut de tous les rois, Vous dont la puissance est infinie, à la prière de notre saint Pasteur, rendez paisible, ô Verbe, nous Vous en conjurons, la vie de tous les Chrétiens !
Donnez contre les barbares à notre pieux Empereur la force et la victoire, afin que tous, et toujours, nous chantions votre puissance, et l’exaltions dans les siècles des siècles !
Les malades sont rendus à la santé par l’huile miraculeuse.
Au milieu du naufrage, Nicolas est d’un puissant secours.
Il ressuscite du tombeau un mort étendu sur le chemin.
Réjouissons-nous et tressaillons, unis de bouche et de cœur, à cette solennelle fête du bienheureux Nicolas !
Encore enfant au berceau, il observe les jeûnes ;
Encore enfant à la mamelle, déjà il mérite les joies suprêmes.
Adolescent, il embrasse l’étude des lettres,
Sans pécher, sans connaître la licence de son âge.
Bienheureux Confesseur, une voix venue du ciel l’appelle aux dignités.
Promu par elle, il monte au faîte le plus élevé de la Prélature.
Il avait dans le cœur une tendre miséricorde, et il prodiguait ses bienfaits aux opprimés.
Par ses trésors, des vierges sont sauvées de l’opprobre ; et la pauvreté de leur père est soulagée.
Des matelots en mer luttaient contre la furie des flots, sur une nef à demi brisée.
Déjà désespérant de la vie, en ce danger si pressant, ils crient et disent tous d’une voix :
« O bienheureux Nicolas ! Ramenez-nous à un port de mer ; sauvez-nous de ce péril de mort. Ramenez-nous à un port de mer, vous dont la compassion généreuse est tant de fois venue en aide ! »
Pendant qu’ils criaient, et non sans fruit, voici quelqu’un qui leur dit :
« J’arrive à votre secours ! »
Soudain souffle un vent favorable, et la tempête est apaisée, et les mers sont en repos.
De sa tombe découle une huile abondante, qui guérit tous les malades par l’intercession du Saint.
Nous que voici en ce monde, naufragés déjà plus d’une fois dans l’abîme du vice, Glorieux Nicolas, menez-nous au port du salut où sont paix et gloire !
Obtenez-nous du Seigneur, par vos secourables prières, l’onction qui sanctifie ; cette onction qui a guéri les blessures d’innombrables iniquités dans Marie la pécheresse.
Qu’à jamais soient dans la joie ceux qui célèbrent cette fête ; et qu’après cette course de la vie, le Christ les couronne !
Seigneur, tu appelles tous les chrétiens à être de vrais témoins de ta vie et de ton amour. Aujourd’hui, nous te rendons grâce pour nos voyants, pour leur mission de témoigner des messages de la Reine de la Paix. Nous te confions tous leurs besoins et nous prions pour chacun d’eux personnellement, afin que tu leur sois proche et qu’ils puissent sans cesse grandir dans l’expérience de Ta force. Nous te prions : guide-les à travers une prière plus profonde et plus humble vers le témoignage de plus en plus authentique de la présence de la Gospa en ce lieu. Amen.
Seigneur, Tu es la seule source de la vie, le seul qui peux étancher notre soif d’amour et d’amitié. Merci pour ton humilité par laquelle tu te donnes à ton peuple à travers la personne du prêtre qui n’est qu’un homme, par laquelle tu te donnes dans la Sainte Messe, dans les sacrements, dans la bénédiction… Aujourd’hui, nous te prions tout particulièrement pour tous les prêtres au service du sanctuaire de la Reine de la Paix, afin qu’ils puissent découvrir davantage la puissance de la foi, par laquelle tu feras tout ce qu’ils te demanderont. Fais d’eux de vrais artisans de paix, et que ce soit un fruit de leur amitié de plus en plus grande avec Toi. Amen.
Merci, Seigneur, pour ton amour ; merci pour l’appel à demeurer dans ton amour avec notre cœur et à porter beaucoup de fruit. Merci d’avoir tout particulièrement choisi cette paroisse, en lui envoyant ta Mère, la Reine de la Paix, pour – à partir de ce lieu – appeler le monde à la paix et à la réconciliation, à la conversion à travers le jeûne et la prière… Merci pour l’ouverture de chaque cœur qui a su accueillir Marie et qui est devenu son image, au service de tous ceux qui viennent en ce lieu. Aujourd’hui, nous te prions, Seigneur, de faire de cette paroisse un signe plus grand encore du Royaume de Dieu et d’aider ses habitants à être de joyeux et saints fruits de la présence de la Gospa. Amen.
Merci, Seigneur, de nous avoir donné l’Eglise pour Mère et Epouse, afin qu’elle nous conduise vers toi sur un chemin de lumière. Merci, parce qu’en elle, nous sommes tous frères et membres d’un même corps mystique. Nous te prions aujourd’hui pour tous ceux qui guident l’Eglise, afin qu’ils renouvellent intérieurement sans cesse leur alliance avec toi, la seule et vraie Tête, pour ainsi devenir de fidèles et joyeux porteurs de la paix et de la Vérité dans ce monde inquiet. Amen.
Nos vies, Seigneur, sont entre tes mains. Toi seul sais ce dont nous avons besoin pour être sauvés. Nous te remercions de nous l’apprendre ici, à Medjugorje, depuis 20 ans déjà, à travers Marie, ta Mère, qui est venue pour nous conduire sur un nouveau chemin, le chemin du salut. Bénis et fortifie tous ceux qui ont commencé à marcher ici sur le chemin de la conversion et de la prière. Fortifie leur foi, leur espérance et leur charité, afin qu’ils ne renient jamais leur alliance avec toi. Amen.
Ce n’est pas nous qui t’avons choisi, mais c’est toi, Seigneur, qui nous as choisis ! Toi seul connais tous ces petits qui recevront la révélation de ton amour à travers ta Mère, ici à Medjugorje. Nous te prions pour tous les pèlerins qui viendront ici, afin que tu protèges leurs cœurs de toute attaque satanique et que tu les rendes ouverts à toutes les inspirations de ton Cœur et du Cœur de Marie. Amen.
L’amour est le signe selon lequel on reconnaît tes disciples, Seigneur. Merci pour toute réponse d’amour faite à travers le don et le service des autres. Nous te prions pour tous les membres des groupes de prière de Medjugorje et pour tous les Centres de Paix, afin qu’ils puissent montrer ce chemin étroit, le seul qui mène à Toi. Qu’ils le fassent ensemble avec ta Mère, dans les lieux et les familles où ils vivent, avec de plus en plus de courage et de détermination. Aide-les à grandir de jour en jour jusqu’à la plénitude de ton Amour ! Amen.
Merci, Père, de nous avoir donné ton Fils et Marie, sa Mère, afin qu’aucun de ceux qui croient en eux et qui les écoutent, ne se perdent. Merci de prendre soin de chaque homme et, dans ta miséricorde, de ne juger personne. Nous te prions aujourd’hui pour tout ce que la Gospa t’a demandé, pour toutes les grâces qui se sont déversées ici et qui se sont déversées sur le monde à partir de ce lieu, afin qu’elles portent le fruit de sainteté et servent ton plan du salut. Amen.
Merci, ô Père, pour le don de la prière, par laquelle nous pouvons toucher ton cœur, la prière dans laquelle tu te donnes entièrement à nous, et nous apprends à nous donner entièrement à toi. Aujourd’hui, nous te prions pour toutes les intentions de la Reine de la Paix, pour tout ce qui est nécessaire pour que le monde, par Marie, puisse entrer dans Ta gloire, la gloire de la Très Sainte Trinité. Amen.
« Notre cher frère Slavko ! Nous rendons grâce à Dieu de t’avoir eu. Nous rendons grâce à Dieu de t’avoir appelé dans cette communauté franciscaine. Nous rendons grâce à Dieu pour tous les dons qu’il t’a accordés et que tu as utilisés au maximum. Nous rendons grâce à ta famille de t’avoir donné à cette Province, pour laquelle tu seras une des figures les plus lumineuses. Nous croyons que nous avons en toi un intercesseur au ciel, une aide et un guérisseur de toutes ces blessures qui oppressent ce peuple et cette Eglise, mais aussi un réconciliateur qui implore la paix du Christ, la paix du Christ-Roi pour nous tous. »
GOSPA/MADONNA pr. Wayne Films, New York / Marianfilm, Toronto / Jadran film, 1994. – r. Jakov Sedlar, sc. Ivan Aralica, Paul Gronseth (savjetnik na scenariju: Barry Morrow) – k. Vjekoslav Vrdoljak – gl. David Stewart, Nona Hendrix – mt. John Grover – sgf. Željko Senečić, Joso Špralja – kgf. – ul. Martin Sheen, Morgan Fairchild, Ray Girardin, Paul Guilfoyle, Michael York, George Coe, William Hootkins, Tony Zazula, Vasek C. Simek, Tonko Lonza, Boris Miholjević, Mustafa Nadarević, Božidar Orešković, Ranko Zidarić, Vanja Drach – dugometražni igrani – 35 mm, 3150 m, boja.
Many hundreds of thousands, if not millions of people, throughout the world, believe that the Blessed Virgin Mary has been appearing, since 25th June 1981, to six young people in Medjugorje, a village in Bosnia-Herzegovina.
On the second day she revealed herself to the children as being the Mother of God and the Queen of Peace. The group of six children all initially saw Our Lady daily. Currently, three of them still see her daily and the others now see her less often but at specific times during the year.
Our Lady, known as “The Gospa” to the local Croatian speakers, brings a specific and urgent message to mankind:
‘I have come to tell the world that God exists.
He is the fullness of life,
and to obtain this fullness and obtain peace,
you must return to God.’
Our Lady says that the world is in a state of crisis and that ‘Mankind must be reconciled with God, and one another.’ The messages are meant for the entire world, and as at Fatima in 1917, she restates the conditions for peace and gives us her plan. She asks us to return to God through individual conversion of the heart and she invites us to attend Holy Mass, to read Holy Scripture, to pray with the heart, to say the Rosary, to make monthly confession and also to fast. Our Lady Queen of Peace says that peace begins in our own hearts: